Rapport d'information n° 445 (2007-2008) de M. Bernard SEILLIER , fait au nom de la Mission commune d'information pauvreté et exclusion, déposé le 2 juillet 2008
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AVANT-PROPOS
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INTRODUCTION
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TITRE PREMIER - LA MESURE DE LA PAUVRETÉ ET
DE L'EXCLUSION SOCIALE : QUELS INDICATEURS ?
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I. LA PAUVRETÉ MONÉTAIRE : UNE
MESURE DES INÉGALITÉS
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II. LA PAUVRETÉ MONÉTAIRE : UNE
APPROCHE À COMPLÉTER
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III. QUELLE GRILLE DE LECTURE ?
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I. LA PAUVRETÉ MONÉTAIRE : UNE
MESURE DES INÉGALITÉS
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TITRE II - PRIVILÉGIER LES POLITIQUES
PRÉVENTIVES ET GLOBALES POUR GARANTIR L'ACCÈS DE TOUS AUX DROITS
DE TOUS
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I. UN ACCÈS ENCORE DIFFICILE AUX DROITS
FONDAMENTAUX POUR LES PERSONNES LES PLUS VULNÉRABLES
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A. LA PAUVRETÉ TOUCHE LES CATÉGORIES
LES PLUS FRAGILES DE LA POPULATION
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1. Une part de personnes pauvres importante parmi
les bénéficiaires de minima sociaux
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a) Les minima sociaux visent à garantir aux
personnes qui les perçoivent un revenu minimum
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b) Les minima sociaux offrent des revenus
inférieurs au seuil de pauvreté
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c) Une faible revalorisation des minima sociaux
par rapport au Smic
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d) Plus de la moitié des personnes vivant
dans un ménage bénéficiaire de minima sociaux ne sont pas
pauvres
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a) Les minima sociaux visent à garantir aux
personnes qui les perçoivent un revenu minimum
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2. Les demandeurs d'emploi, plus exposés au
risque de pauvreté
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3. Un phénomène nouveau, les
« travailleurs pauvres »
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4. L'isolement, facteur d'aggravation de la
pauvreté
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5. La concentration des personnes en situation de
précarité à la périphérie des villes et dans
les zones urbaines sensibles
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1. Une part de personnes pauvres importante parmi
les bénéficiaires de minima sociaux
-
B. LA PAUVRETÉ, UN PHÉNOMÈNE
MULTIDIMENSIONNEL QUI SE TRADUIT PAR DES DIFFICULTÉS D'ACCÈS AUX
DROITS FONDAMENTAUX ET PAR DES ATTEINTES À LA DIGNITÉ DE
L'INDIVIDU
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1. Des difficultés d'accès aux soins
et un état de santé souvent précaire
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2. Des difficultés d'accès au
logement accrues par la crise de l'immobilier
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a) Une offre de logements inadaptée
à la demande
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b) Une hausse continue du taux d'effort des
ménages pour le logement
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c) La relégation des personnes en situation
de précarité à la périphérie des centres
urbains
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d) Le développement des situations de
« mal-logement »
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e) Le cas spécifique des personnes
sans-abri
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a) Une offre de logements inadaptée
à la demande
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3. Un accès difficile au crédit et
aux services bancaires qui résulte d'une augmentation
préoccupante du surendettement des ménages
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4. Le développement de la
« grande exclusion »
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1. Des difficultés d'accès aux soins
et un état de santé souvent précaire
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C. UN SYSTÈME DE SOLIDARITÉ COMPLEXE
ET CLOISONNÉ ENCORE PEU INCITATIF À LA REPRISE
D'ACTIVITÉ
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D. LA PERSISTANCE DE NOMBREUX OBSTACLES AU RETOUR
À L'EMPLOI
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A. LA PAUVRETÉ TOUCHE LES CATÉGORIES
LES PLUS FRAGILES DE LA POPULATION
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II. MALGRÉ LA MISE EN oeUVRE DE POLITIQUES
AMBITIEUSES, DES DIFFICULTÉS SUBSISTENT
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A. LES LIMITES DE LA COUVERTURE MALADIE
UNIVERSELLE
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1. Les publics exclus du fait des effets de
seuil
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2. Un tiers des bénéficiaires
potentiels n'a pas recours à la couverture maladie universelle
complémentaire
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3. Le refus de soins par les médecins
limite l'accès aux soins des personnes bénéficiant de la
couverture maladie universelle
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4. Une réticence à recourir aux
structures d'accueil et de soins gratuits
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5. Une rationalisation des coûts de la CMU
pénalisante pour les personnes les plus démunies
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1. Les publics exclus du fait des effets de
seuil
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B. LES OBSTACLES À LA MISE EN oeUVRE
EFFECTIVE D'UN DROIT AU LOGEMENT OPPOSABLE
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C. L'AUGMENTATION DU SURENDETTEMENT DES
MÉNAGES NÉCESSITE UN RENFORCEMENT DES POLITIQUES DE LUTTE CONTRE
L'EXCLUSION BANCAIRE
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D. DES RÉFORMES PONCTUELLES DU
SYSTÈME DE SOLIDARITÉ DANS L'ATTENTE D'UNE INÉVITABLE
REFONTE GLOBALE
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A. LES LIMITES DE LA COUVERTURE MALADIE
UNIVERSELLE
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III. LES PROPOSITIONS DE LA MISSION :
PRIVILÉGIER LES POLITIQUES GLOBALES DE PRÉVENTION ET POURSUIVRE
LES ACTIONS ENTREPRISES EN FAVEUR DE L'INSERTION DURABLE
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A. AMÉLIORER ENCORE LA PRISE EN CHARGE ET
L'ACCÈS AUX SOINS DES PERSONNES DÉFAVORISÉES
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1. Généralisation des permanences
d'accès aux soins de santé
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2. Développer les unités mobiles de
soins et de prise en charge
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3. Développement des programmes de
prévention et de dépistage
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4. Favoriser l'accès à la CMU,
à la CMU-c et à l'ACS
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5. Responsabiliser les bénéficiaires
de la CMU et les médecins pour limiter les refus de soins
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1. Généralisation des permanences
d'accès aux soins de santé
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B. CONCENTRER LES ACTIONS EN FAVEUR DE
L'HÉBERGEMENT ET DU LOGEMENT SUR LES PERSONNES EN SITUATION DE GRANDE
PRÉCARITÉ, SUR LES ZONES LES PLUS TENDUES ET SUR LA
PRÉVENTION
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1. Responsabiliser les maires et développer
des partenariats avec les associations de proximité afin de ne laisser
dans la rue aucun SDF
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2. Améliorer la prise en charge des grands
exclus
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3. Inciter les communes à produire plus de
logements très sociaux de type PLA-I
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4. Redéfinir les conditions d'accès
au logement social au profit des personnes les plus
défavorisées
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5. Prévenir les expulsions locatives
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6. Mobiliser plus activement le parc privé
à vocation sociale
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7. Favoriser l'accession sociale à la
propriété
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1. Responsabiliser les maires et développer
des partenariats avec les associations de proximité afin de ne laisser
dans la rue aucun SDF
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C. AMÉLIORER L'ACCÈS AU
CRÉDIT ET AUX SERVICES BANCAIRES ET RENFORCER LA PRÉVENTION POUR
LUTTER CONTRE LE SURENDETTEMENT
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D. RÉFORMER LE SYSTÈME DES MINIMA
SOCIAUX POUR LE RENDRE PLUS EFFICACE, PLUS LISIBLE, PLUS ÉQUITABLE ET
UNIVERSEL
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E. AMÉLIORER L'ACCOMPAGNEMENT DES USAGERS
DANS LEUR PARCOURS D'INSERTION POUR GARANTIR L'EFFECTIVITÉ DE LEURS
DROITS
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1. Poser le principe d'un référent
unique ou d'un binôme assurant l'accompagnement social et professionnel
pour toute personne en insertion
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2. Favoriser le développement de formations
polyvalentes des travailleurs sociaux et des accompagnateurs
référents
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3. Définir de façon concertée
des principes communs d'évaluation des professionnels de
l'insertion
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4. Intensifier les relations entre les entreprises
du bassin d'emploi et les professionnels de l'insertion
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1. Poser le principe d'un référent
unique ou d'un binôme assurant l'accompagnement social et professionnel
pour toute personne en insertion
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A. AMÉLIORER ENCORE LA PRISE EN CHARGE ET
L'ACCÈS AUX SOINS DES PERSONNES DÉFAVORISÉES
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I. UN ACCÈS ENCORE DIFFICILE AUX DROITS
FONDAMENTAUX POUR LES PERSONNES LES PLUS VULNÉRABLES
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TITRE III - L'ÉCOLE NE JOUE PAS SON
RÔLE DANS LA RÉDUCTION DE LA PAUVRETÉ ET DANS LA
PRÉVENTION DE L'EXCLUSION SOCIALE
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I. L'ÉCOLE, REPRODUCTRICE
D'INÉGALITÉS ?
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II. L'ÉCHEC DES POLITIQUES
CENTRALISÉES
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III. LIBÉRER LES INITIATIVES
ÉDUCATIVES
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I. L'ÉCOLE, REPRODUCTRICE
D'INÉGALITÉS ?
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TITRE IV - FAIRE DE L'INSERTION PAR
L'ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE UNE PRIORITÉ
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I. UN DÉVELOPPEMENT INÉDIT DE
L'EXCLUSION PAR L'EMPLOI
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A. UN LIEN BIEN ÉTABLI ENTRE QUALITÉ
DE L'EMPLOI ET EXCLUSION
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1. Une partie substantielle de la population en
marge du marché du travail
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2. Les travailleurs pauvres, un
phénomène nouveau et préoccupant
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3. Une augmentation des formes précaires de
travail
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1. Une partie substantielle de la population en
marge du marché du travail
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B. UN ACCÈS À L'EMPLOI DIFFICILE
POUR LES POPULATIONS ÉLOIGNÉES DU MARCHÉ DU TRAVAIL
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C. DES ASSOCIATIONS TRÈS INVESTIES
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D. DES ENTREPRISES ENCORE INSUFFISAMMENT
IMPLIQUÉES
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1. Une perception encore ambiguë du monde de
l'entreprise
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2. La responsabilité sociale des
entreprises, une idée neuve
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3. Parrainage et tutorat, des outils efficaces
restant à développer
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4. La lente montée en puissance de la
fondation d'entreprise
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5. Un recours encore limité aux groupements
d'employeurs pour l'insertion et la qualification
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1. Une perception encore ambiguë du monde de
l'entreprise
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A. UN LIEN BIEN ÉTABLI ENTRE QUALITÉ
DE L'EMPLOI ET EXCLUSION
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II. DES INSTRUMENTS D'ACTION RESTANT À
ADAPTER AUX ENJEUX
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A. LA FORMATION PROFESSIONNELLE, MAILLON FAIBLE DU
SYSTÈME D'INSERTION
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1. La difficulté d'accès des publics
précaires à la formation
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2. Une diminution de l'effort des entreprises en
faveur de la formation continue
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3. Une inégalité entre travailleurs
stables et travailleurs précaires
-
4. Un partage de compétences complexe entre
différentes structures
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5. Une validation des acquis de
l'expérience très insuffisamment développée
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6. Des instruments de formation peu efficaces en
vue d'un retour à l'emploi
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1. La difficulté d'accès des publics
précaires à la formation
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B. LA CRÉATION D'ENTREPRISE, VOIE
PRIVILÉGIÉE D'INSERTION
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1. Un potentiel très important du fait de
la place du secteur informel
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2. Une efficience économique et sociale
avérée
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3. Des dispositifs incitatifs existants
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4. Une montée en puissance progressive du
micro crédit et des fonds d'investissement
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5. Des obstacles restant à lever pour
solliciter pleinement les potentiels existants
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1. Un potentiel très important du fait de
la place du secteur informel
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C. L'INSERTION PAR L'ACTIVITÉ
ÉCONOMIQUE, UN DISPOSITIF LARGEMENT PERFECTIBLE
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1. Un secteur central dans le domaine de
l'insertion
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2. Un rapport coût-résultat
insatisfaisant
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3. Des carences statistiques et une absence
d'indicateurs
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4. Des difficultés à l'entrée
dans le dispositif
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5. Des parcours d'insertion partiellement
inadaptés aux besoins
-
6. Une sortie du dispositif
problématique
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1. Un secteur central dans le domaine de
l'insertion
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D. LES CONTRATS AIDÉS, UN DISPOSITIF EN
ATTENTE DE SIMPLIFICATION
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1. Quatre grands types de contrat pour les
secteurs marchand et non marchand
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2. Un empilement de dispositifs nuisant à
la lisibilité du système
-
3. Un coût restant élevé pour
une gestion incohérente
-
4. Une efficacité difficilement mesurable
et très variable selon les types de contrats
-
5. Une plus-value réduite en termes de
qualification et de formation
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6. Le cas particulier du contrat de
professionnalisation
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7. Vers un contrat unique
d'insertion ?
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1. Quatre grands types de contrat pour les
secteurs marchand et non marchand
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E. LE SERVICE PUBLIC DE L'EMPLOI, UN INSTRUMENT
ESSENTIEL EN COURS DE RÉFORME
-
1. Une organisation complexe associant un grand
nombre d'acteurs
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2. Une vaste réforme en cours de mise en
oeuvre
-
3. La nécessité d'un profond
remaniement structurel
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a) Des agences pour l'emploi mal adaptées
à l'accueil d'un nombre important de chômeurs
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b) Une relation de confiance entre chômeurs
et agences de l'emploi entamée
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c) Une procédure de sanction des
chômeurs propre à les stigmatiser
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d) Un service de l'emploi inadapté au
traitement des problématiques sociales
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e) Un rôle d'« orientateur en
dernier ressort » délicat à tenir
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f) Un recours discuté à des
prestataires extérieurs pour le placement des chômeurs
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a) Des agences pour l'emploi mal adaptées
à l'accueil d'un nombre important de chômeurs
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1. Une organisation complexe associant un grand
nombre d'acteurs
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A. LA FORMATION PROFESSIONNELLE, MAILLON FAIBLE DU
SYSTÈME D'INSERTION
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III. DES PROPOSITIONS POUR UNE INSERTION
PROFESSIONNELLE DYNAMISÉE
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A. PRÉCONISATIONS
GÉNÉRALES
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B. RENFORCER LA FORMATION PROFESSIONNELLE EN LIEN
AVEC L'EMPLOI
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1. Inciter les entreprises à mettre en
place des instruments de formation adaptés au profil de leurs
travailleurs les moins qualifiés
-
2. Rendre la formation des chômeurs
obligatoire
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3. Développer les groupements d'employeurs
pour l'insertion et la qualification
-
4. Soutenir l'établissement public
d'insertion de la Défense (EPIDe)
-
5. Rendre plus attractif le recours à la
validation des acquis de l'expérience
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1. Inciter les entreprises à mettre en
place des instruments de formation adaptés au profil de leurs
travailleurs les moins qualifiés
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C. SOUTENIR LES ASSOCIATIONS DANS LEUR ACTION
POUR L'INSERTION PROFESSIONNELLE
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D. MOBILISER LES ENTREPRISES
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E. ENCOURAGER LE TRAVAIL
INDÉPENDANT
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F. MUSCLER L'INSERTION PAR L'ACTIVITÉ
ÉCONOMIQUE
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G. RENFORCER L'EFFICACITÉ DU SERVICE
PUBLIC DE L'EMPLOI
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H. RENDRE PLUS OPÉRANTS LES CONTRATS
AIDÉS ET DE PROFESSIONNALISATION
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A. PRÉCONISATIONS
GÉNÉRALES
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I. UN DÉVELOPPEMENT INÉDIT DE
L'EXCLUSION PAR L'EMPLOI
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TITRE V - LA GOUVERNANCE : UNE COMPLEXITE
EXCESSIVE
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I. LA REPARTITION DES COMPÉTENCES ENTRE
L'ETAT ET LES COLLECTIVITES : UNE DÉCENTRALISATION INACHEVEE
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A. DU TRANSFERT DE L'AIDE SOCIALE À
L' « ACTE II » DE LA DÉCENTRALISATION :
UNE POLITIQUE PARTIELLEMENT DÉCENTRALISÉE
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B. LE MAINTIEN DE FORTES COMPÉTENCES DE
L'ETAT ET LA QUESTION RÉCURRENTE DU FINANCEMENT DES COMPÉTENCES
DÉCENTRALISÉES
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C. LA MULTIPLICITÉ DES ORGANISMES
D'OBSERVATION ET D'ÉVALUATION
-
D. LES FINANCEMENTS EUROPÉENS
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A. DU TRANSFERT DE L'AIDE SOCIALE À
L' « ACTE II » DE LA DÉCENTRALISATION :
UNE POLITIQUE PARTIELLEMENT DÉCENTRALISÉE
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II. UNE GOUVERNANCE TERRITORIALE ILLISIBLE
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A. L'AFFIRMATION DIFFICILE DU CONSEIL
GÉNÉRAL COMME CHEF DE FILE DE LA LUTTE CONTRE L'EXCLUSION
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1. L'élaboration de la stratégie
d'insertion des départements
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2. La difficile construction des partenariats des
départements avec les acteurs de la lutte contre la
pauvreté
-
3. La relative efficacité du dispositif
pour aider les personnes les moins éloignées de l'emploi
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1. L'élaboration de la stratégie
d'insertion des départements
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B. LA PERSISTANCE DE LA COMPLEXITÉ DU
SECTEUR DE L'INSERTION
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1. La multiplicité des acteurs
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a) Les multiples acteurs de l'insertion
professionnelle
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b) L'insuffisante intégration de l'IAE aux
dispositifs départementaux d'insertion
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c) L'association des partenaires privés
à la politique de l'emploi
-
d) Le rôle essentiel des associations dans
le dispositif
-
e) Une participation croissante des partenaires
sociaux
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f) Une tentative de guichet unique : les maisons
de l'emploi
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a) Les multiples acteurs de l'insertion
professionnelle
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2. La coordination des acteurs : une
superposition d'instances
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3. L'éclatement des compétences en
matière de logement
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4. La coordination en matière de
santé
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1. La multiplicité des acteurs
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C. DES DISPOSITIFS D'INSERTION À
L'EFFICACITÉ PARFOIS INCERTAINE FAUTE D'ÉVALUATIONS
SUFFISANTES
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A. L'AFFIRMATION DIFFICILE DU CONSEIL
GÉNÉRAL COMME CHEF DE FILE DE LA LUTTE CONTRE L'EXCLUSION
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III. SIMPLIFIER LA GOUVERNANCE DE LA LUTTE CONTRE
L'EXCLUSION
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A. L'ETAT DOIT ACCEPTER PLEINEMENT LA
DÉCENTRALISATION EN RESTANT LE GARANT DE L'ÉQUITÉ DES
POLITIQUES D'INSERTION
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1. Garantir la stabilité du financement
des compétences d'action sociale du Conseil général
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2. Donner davantage de contenu au rôle de
chef de file du Conseil général
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3. Un Etat garant de l'équité des
politiques d'insertion
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4. L'unification des organismes
d'évaluation et de contrôle
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5. Mieux mobiliser les financements
européens
-
1. Garantir la stabilité du financement
des compétences d'action sociale du Conseil général
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B. DÉVELOPPER LA CONTRACTUALISATION
TERRITORIALE ET LA COORDINATION DES ACTEURS POUR SIMPLIFIER LES PARCOURS
D'INSERTION
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A. L'ETAT DOIT ACCEPTER PLEINEMENT LA
DÉCENTRALISATION EN RESTANT LE GARANT DE L'ÉQUITÉ DES
POLITIQUES D'INSERTION
-
I. LA REPARTITION DES COMPÉTENCES ENTRE
L'ETAT ET LES COLLECTIVITES : UNE DÉCENTRALISATION INACHEVEE
-
RÉCAPITULATIF GÉNÉRAL DES
PROPOSITIONS DE LA MISSION
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EXAMEN DU RAPPORT DE LA MISSION
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CONTRIBUTION DE MME ANNIE DAVID ET DE M. GUY
FISCHER AU NOM DU GROUPE CRC