Rapport n° 428 (2009-2010) de M. Philippe MARINI , fait au nom de la commission des finances, déposé le 4 mai 2010
Disponible en une seule page HTML (602 Koctets)
Disponible au format Acrobat (755 Koctets)
Tableau comparatif au format Acrobat (110 Koctets)
-
INTRODUCTION
-
EXPOSÉ GÉNÉRAL
-
I. LE CONTEXTE
-
A. LA CRISE GRECQUE
-
B. LES CAUSES DE LA CRISE GRECQUE
-
1. Avec la chute de sa croissance, le
déficit de la Grèce ne permet plus la stabilisation de sa
dette
-
2. Un risque d' « effet boule de
neige » résultant de l'inéluctable ralentissement de la
croissance de l'économie grecque au cours des prochaines
décennies
-
3. L'absence de confiance des marchés en la
capacité du Gouvernement grec à réaliser
spontanément les efforts requis
-
1. Avec la chute de sa croissance, le
déficit de la Grèce ne permet plus la stabilisation de sa
dette
-
C. LE RISQUE DE DIFFUSION DE LA CRISE
GRECQUE
-
A. LA CRISE GRECQUE
-
II. LA RÉACTION DE L'UNION EUROPÉENNE
ET LE DISPOSITIF PROPOSÉ PAR LE PRÉSENT PROJET DE LOI
-
A. LA MISE EN PLACE PROGRESSIVE D'UN
MÉCANISME DE PRÊTS BILATÉRAUX SOUMIS À FORTE
CONDITIONNALITÉ
-
1. La décision de recourir à des
instruments multilatéraux : la déclaration du Conseil
européen du 11 février 2010
-
2. La décision de recourir au FMI : la
déclaration des chefs d'Etat et de Gouvernement de la zone euro du 25
mars 2010
-
3. Les éléments
chiffrés et les conditions : la déclaration des chefs d'Etat
et de Gouvernement de la zone euro du 11 avril 2010
-
4. Un programme d'ajustement de grande
ampleur
-
5. Une procédure activée le 2 mai
2010
-
1. La décision de recourir à des
instruments multilatéraux : la déclaration du Conseil
européen du 11 février 2010
-
B. L'IMPORTANCE DE LA CONDITIONNALITÉ DE
L'AIDE
-
C. LE DISPOSITIF PROPOSÉ PAR LE
PRÉSENT PROJET DE LOI
-
A. LA MISE EN PLACE PROGRESSIVE D'UN
MÉCANISME DE PRÊTS BILATÉRAUX SOUMIS À FORTE
CONDITIONNALITÉ
-
III. LA NÉCESSITÉ D'ALLER PLUS
LOIN
-
A. LES SOLUTIONS INSTITUTIONNELLES QUI ONT PU
ÊTRE AVANCÉES CORRESPONDENT À DES SUJETS DE LONG TERME ET
NE RÈGLENT PAS LE FOND DU PROBLÈME
-
B. LA NÉCESSITÉ POUR LES ETATS
EUROPÉENS DE SE DOTER RAPIDEMENT D'INSTRUMENTS ET DE RÈGLES
CRÉDIBLES DE PILOTAGE DE LEURS FINANCES PUBLIQUES
-
1. Les insuffisances du pacte de stabilité
et de croissance
-
2. La faiblesse de la gouvernance
économique de la zone euro
-
3. La nécessité pour les Etats de
mener dès à présent une politique résolue et
crédible de réduction de leur déficit primaire
-
4. La nécessité d'instituer une
autorité des comptes publics européenne
indépendante
-
1. Les insuffisances du pacte de stabilité
et de croissance
-
C. LES ENSEIGNEMENTS POUR LA FRANCE
-
1. Des programmes de stabilité à ce
jour sans aucun impact sur l'évolution des finances publiques
-
2. Le respect du programme de stabilité
2010-2013, condition de la crédibilité de la France
-
3. L'appréciation portée par la
Commission européenne
-
4. La nécessité de maîtriser
la dépense mais aussi d'accroître les recettes
-
5. L'utilité de se doter rapidement d'une
règle efficace de pilotage des finances publiques
-
1. Des programmes de stabilité à ce
jour sans aucun impact sur l'évolution des finances publiques
-
A. LES SOLUTIONS INSTITUTIONNELLES QUI ONT PU
ÊTRE AVANCÉES CORRESPONDENT À DES SUJETS DE LONG TERME ET
NE RÈGLENT PAS LE FOND DU PROBLÈME
-
IV. LES DIFFICULTÉS ACTUELLES
REMETTENT-ELLES EN CAUSE LA PERTINENCE DE LA MONNAIE UNIQUE ?
-
I. LE CONTEXTE
-
EXAMEN DES ARTICLES
-
PREMIÈRE PARTIE - CONDITIONS
GÉNÉRALES DE L'ÉQUILIBRE FINANCIER
-
TITRE II - DISPOSITIONS RELATIVES A
L'ÉQUILIBRE DES RESSOURCES ET DES CHARGES
-
SECONDE PARTIE - MOYENS DES POLITIQUES PUBLIQUES
ET DISPOSITIONS SPECIALES
-
ANNEXE I
-
I. LES FINANCES PUBLIQUES DES ETATS DE L'UNION
EUROPÉENNE
-
II. LES PRINCIPALES DÉCLARATIONS RELATIVES
À L'AIDE À LA GRÈCE
-
A. DÉCLARATION PAR LES CHEFS D'ETAT OU DE
GOUVERNEMENT DE L'UNION EUROPÉENNE (11 FÉVRIER 2010)
-
B. DÉCLARATION DES CHEFS D'ÉTAT ET
DE GOUVERNEMENT DE LA ZONE EURO (25 MARS 2010)
-
C. DÉCLARATION DES CHEFS D'ÉTAT ET
DE GOUVERNEMENT DE LA ZONE EURO (11 AVRIL 2010)
-
D. DÉCLARATION DES MINISTRES DE
L'EUROGROUPE (2 MAI 2010)
-
A. DÉCLARATION PAR LES CHEFS D'ETAT OU DE
GOUVERNEMENT DE L'UNION EUROPÉENNE (11 FÉVRIER 2010)
-
I. LES FINANCES PUBLIQUES DES ETATS DE L'UNION
EUROPÉENNE
-
ANNEXE II : TRAVAUX PRÉPARATOIRES DE LA
COMMISSION
-
I. COMMUNICATION A LA COMMISSION DES FINANCES DE
M. PHILIPPE MARINI, RAPPORTEUR GÉNÉRAL, SUR LA SITUATION
ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU PORTUGAL (24 MARS 2010)
-
II. COMPTE-RENDU DES AUDITIONS CONSACRÉES
À LA DETTE PUBLIQUE ET AUX COMPTABILITÉS NATIONALES (31 MARS
2010)
-
A. AUDITION DE MM. PAUL CHAMPSAUR,
PRÉSIDENT DE L'AUTORITÉ DE LA STATISTIQUE PUBLIQUE, ET
JEAN-PHILIPPE COTIS, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L'INSEE
-
B. AUDITION DE M. BENOÎT COEURÉ,
ÉCONOMISTE EN CHEF, DIRECTEUR GÉNÉRAL ADJOINT DE LA
DIRECTION GÉNÉRALE DU TRÉSOR
-
C. AUDITION DE M. GALLO GUEYE, CHEF DE
L'UNITÉ C1 À LA DIRECTION DES COMPTES NATIONAUX ET
EUROPÉENS D'EUROSTAT
-
A. AUDITION DE MM. PAUL CHAMPSAUR,
PRÉSIDENT DE L'AUTORITÉ DE LA STATISTIQUE PUBLIQUE, ET
JEAN-PHILIPPE COTIS, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE L'INSEE
-
III. AUDITION DE MME CHRISTINE LAGARDE, MINISTRE
DE L'ÉCONOMIE, DE L'INDUSTRIE ET DE L'EMPLOI ET DE
M. FRANÇOIS BAROIN, MINISTRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE
LA RÉFORME DE L'ETAT (4 MAI 2010)
-
I. COMMUNICATION A LA COMMISSION DES FINANCES DE
M. PHILIPPE MARINI, RAPPORTEUR GÉNÉRAL, SUR LA SITUATION
ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU PORTUGAL (24 MARS 2010)
-
ANNEXE III : AVIS DE LA COMMISSION DES
FINANCES SUR LE PROJET DE DÉCRET D'AVANCE RELATIF AU FINANCEMENT DES
OPÉRATIONS D'URGENCE EN HAÏTI ET À L'INDEMNISATION DES
COLLECTIVITÉS TOUCHÉES PAR LA TEMPÊTE XYNTHIA
-
EXAMEN EN COMMISSION
-