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Par M.
Roger BESSE
au nom de la commission des finances - Notice du document
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Rapport d'information n° 17 (2003-2004) de M. Roger BESSE , fait au nom de la commission des finances, déposé le 14 octobre 2003
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RAPPORT D'INFORMATION
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AVANT-PROPOS
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PRINCIPALES OBSERVATIONS DE VOTRE RAPPORTEUR
SPÉCIAL
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INTRODUCTION :
LE FONDS NATIONAL D'AMÉNAGEMENT ET DE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE
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I. LE CADRE INSTITUTIONNEL
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II. LA NATURE DES DÉPENSES DU FNADT
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III. LES PRINCIPES DE GESTION DU FONDS
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I. LE CADRE INSTITUTIONNEL
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1. PREMIÈRE PARTIE :
UNE RÉPARTITION PROBLÉMATIQUE DES CRÉDITS EN TROIS SECTIONS
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I. LES SECTIONS DU FNADT
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A. LA SECTION GÉNÉRALE EST
CENSÉE FINANCER LA POLITIQUE NATIONALE, CE QUI N'EST PAS TOUJOURS
LE CAS EN PRATIQUE
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1. L'absence de véritables critères
de sélection pour la section générale
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a) Les trois grands types d'opérations
susceptibles d'être financées par le FNADT
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b) Des opérations d'intérêt
régional trop importantes pour être financées par la
section locale
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c) Les actions précédemment
financées par le FAD
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d) La « section
générale » mérite-t-elle son
appellation ?
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e) Recentrer la section générale sur
le financement de projets d'ampleur nationale ?
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a) Les trois grands types d'opérations
susceptibles d'être financées par le FNADT
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2. Une instruction des dossiers souvent
imparfaite
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3. Une gestion des crédits confiée
aux préfets pour les subventions d'investissement et à la DATAR
pour les subventions de fonctionnement
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1. L'absence de véritables critères
de sélection pour la section générale
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B. UNE SECTION LOCALE SERVANT ESSENTIELLEMENT AU
FINANCEMENT DES CONTRATS DE PLAN ETAT-RÉGIONS
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A. LA SECTION GÉNÉRALE EST
CENSÉE FINANCER LA POLITIQUE NATIONALE, CE QUI N'EST PAS TOUJOURS
LE CAS EN PRATIQUE
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II. LA RÉPARTITION DES
CRÉDITS
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I. LES SECTIONS DU FNADT
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DEUXIÈME PARTIE :
UNE AUTORISATION BUDGÉTAIRE SANS GRANDE SIGNIFICATION
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I. UN FONDS DONT LA RÉPARTITION EST EN
GRANDE PARTIE FIXÉE PAR LE PREMIER MINISTRE
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II. UNE SOUS-CONSOMMATION CHRONIQUE DES
CRÉDITS QUI EXPLIQUE EN PARTIE CELLE DES FONDS STRUCTURELS
COMMUNAUTAIRES
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I. UN FONDS DONT LA RÉPARTITION EST EN
GRANDE PARTIE FIXÉE PAR LE PREMIER MINISTRE
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TROISIÈME PARTIE :
LE CHOIX DES OPÉRATIONS EST-IL JUSTIFIÉ ?
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I. LES OBJECTIFS DE LA LOI DU 25 JUIN 1999
SEMBLENT EN PARTIE PERDUS DE VUE
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A. L'ÉVOLUTION DES OBJECTIFS DE LA
POLITIQUE D'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE DEPUIS LA CRÉATION DU
FNADT
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B. LES « OBJECTIFS » DE LA
DATAR DESTINÉS À PERMETTRE L'ÉVALUATION DES
DÉPENSES NE CORRESPONDENT PAS AUX OBJECTIFS PRÉVUS PAR LA LOI DE
1999
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A. L'ÉVOLUTION DES OBJECTIFS DE LA
POLITIQUE D'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE DEPUIS LA CRÉATION DU
FNADT
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II. UN SUIVI ENCORE INSUFFISANT ET UNE
ÉVALUATION QUASIMENT INEXISTANTE
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A. L'INSUFFISANCE DU SUIVI DES
CRÉDITS
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B. L'INSUFFISANCE DE L'ÉVALUATION
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C. VERS PLUS DE TRANSPARENCE POUR LE FINANCEMENT
DES ASSOCIATIONS
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A. L'INSUFFISANCE DU SUIVI DES
CRÉDITS
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III. QUEL EST L'IMPACT DES SUBVENTIONS DU
FNADT ?
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I. LES OBJECTIFS DE LA LOI DU 25 JUIN 1999
SEMBLENT EN PARTIE PERDUS DE VUE
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EXAMEN EN COMMISSION