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Par M.
Jean-Claude CARLE
au nom de la commission d'enquête - Notice du document
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Rapport de commission d'enquête n° 340 (2001-2002) de MM. Jean-Claude CARLE et Jean-Pierre SCHOSTECK , fait au nom de la commission d'enquête, déposé le 27 juin 2002
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INTRODUCTION
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CHAPITRE PREMIER
LA DÉLINQUANCE DES MINEURS
N'EST PAS UN FANTASME
OU UN SENTIMENT
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I. UNE ÉVOLUTION PRÉOCCUPANTE
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A. UN PHÉNOMÈNE
ÉTERNEL ?
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B. UNE DÉLINQUANCE QUI AUGMENTE ET SE
MODIFIE
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C. UNE DÉLINQUANCE SOUS-ESTIMÉE ET
MAL APPRÉHENDÉE
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D. L'OPPRESSION QUOTIDIENNE
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A. UN PHÉNOMÈNE
ÉTERNEL ?
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II. QUI SONT LES MINEURS
DÉLINQUANTS ?
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I. UNE ÉVOLUTION PRÉOCCUPANTE
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CHAPITRE 2
EN PREMIÈRE LIGNE : LA FAMILLE ET L'ÉCOLE
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I. LA FAMILLE : UNE INSTITUTION
RELÉGUÉE
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II. L'ÉCOLE, UNE DIGUE
FISSURÉE
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I. LA FAMILLE : UNE INSTITUTION
RELÉGUÉE
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CHAPITRE 3
LES POLITIQUES DE PRÉVENTION :
EMPILEMENT ET CONFUSION
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I. LE RÔLE CLEF DU DÉPARTEMENT
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A. LES DISPOSITIFS DE PRÉVENTION
DÉPARTEMENTAUX AU MILIEU DU GUÉ
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B. L'AIDE SOCIALE À L'ENFANCE : DES
RAPPORTS À PACIFIER AVEC SES PARTENAIRES
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A. LES DISPOSITIFS DE PRÉVENTION
DÉPARTEMENTAUX AU MILIEU DU GUÉ
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II. UNE POLITIQUE DE LA VILLE DONT
L'EFFICACITÉ RESTE À PROUVER
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I. LE RÔLE CLEF DU DÉPARTEMENT
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CHAPITRE 4
UNE JUSTICE DES MINEURS
INCOMPRÉHENSIBLE POUR LES MINEURS
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I. L'ORDONNANCE DE 1945 : TOTEM ET
TABOU
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II. LA CHAÎNE PÉNALE ET SES
DÉRAILLEMENTS
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A. LA POLICE ET LA GENDARMERIE : UN
RÔLE ESSENTIEL
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B. L'AFFIRMATION DU PARQUET ET SES LIMITES
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C. DES JURIDICTIONS POUR MINEURS
SATURÉES
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D. LE VRAI SCANDALE DE LA JUSTICE DES
MINEURS : LA MISE EN oeUVRE DES PEINES ET MESURES
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A. LA POLICE ET LA GENDARMERIE : UN
RÔLE ESSENTIEL
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III. L'ENFERMEMENT DES MINEURS : EN PARLER
QUAND MÊME !
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I. L'ORDONNANCE DE 1945 : TOTEM ET
TABOU
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CHAPITRE 5
PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE :
TOUT CHANGE ET POURTANT RIEN NE CHANGE
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I. LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE :
TROP DE MISSIONS POUR UNE TOUTE PETITE ADMINISTRATION ?
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II. UNE EXÉCUTION TRÈS IMPARFAITE
DES DÉCISIONS DE JUSTICE
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III. UNE PRISE EN CHARGE DES MINEURS
DÉLINQUANTS PEU ADAPTÉE AUX BESOINS
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A. DEPUIS 10 ANS, LE SECTEUR PUBLIC DE LA PJJ SE
RECENTRE SUR SON PUBLIC PRIORITAIRE, AU PRIX DE DOULOUREUSES ADAPTATIONS
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B. L'HÉBERGEMENT TRADITIONNEL FAIT
DÉFAUT
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C. QUELLE CONTINUITÉ DE L'ACTION
ÉDUCATIVE ?
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D. L'ÉDUCATION RENFORCÉE :
L'AVENIR DE LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE ?
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E. OÙ SONT LES CPI ?
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A. DEPUIS 10 ANS, LE SECTEUR PUBLIC DE LA PJJ SE
RECENTRE SUR SON PUBLIC PRIORITAIRE, AU PRIX DE DOULOUREUSES ADAPTATIONS
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IV. QUELS ÉDUCATEURS POUR
DEMAIN ?
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A. UNE ÉVOLUTION DU RECRUTEMENT
PROBLÉMATIQUE
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B. LA FORMATION DES PERSONNELS DE LA PJJ TARDE
À S'ADAPTER À L'ÉVOLUTION DES MÉTIERS
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C. GESTION DES PERSONNELS ET AFFECTATION DANS LES
DIFFÉRENTS POSTES
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D. CONDITIONS DE TRAVAIL : PEUT-ON ÊTRE
FONCTIONNAIRE ET ÉDUCATEUR ?
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A. UNE ÉVOLUTION DU RECRUTEMENT
PROBLÉMATIQUE
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I. LA PROTECTION JUDICIAIRE DE LA JEUNESSE :
TROP DE MISSIONS POUR UNE TOUTE PETITE ADMINISTRATION ?
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CHAPITRE 6
LES PROPOSITIONS DE LA COMMISSION D'ENQUÊTE :
ÉDUQUER EN SANCTIONNANT,
SANCTIONNER EN ÉDUQUANT
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CONTRIBUTION DES SÉNATEURS DU GROUPE
SOCIALISTE
MEMBRES DE LA COMMISSION D'ENQUÊTE
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CONTRIBUTION DES SÉNATEURS
DU GROUPE COMMUNISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN
MEMBRES DE LA COMMISSION D'ENQUÊTE