-
Par M.
Henri de RICHEMONT
au nom de la commission des lois - Sommaire
- Dossier législatif
- Tous les documents sur ces thèmes :
Rapport n° 231 (2002-2003) de M. Henri de RICHEMONT , fait au nom de la commission des lois, déposé le 2 avril 2003
Disponible en une seule page HTML (150 Koctets)
Disponible au format Acrobat (145 Koctets)
Tableau comparatif au format Acrobat (38 Koctets)
-
LES CONCLUSIONS DE LA COMMISSION DES LOIS
-
EXPOSÉ GÉNÉRAL
-
I. LA LOI DU 4 MARS 2002 RELATIVE AU NOM DE
FAMILLE : LA CONCILIATION ENTRE RENFORCEMENT DE L'ÉGALITÉ
ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES ET STABILITÉ DE L'ÉTAT DES
PERSONNES
-
A. LES ORIGINES DE LA LOI DU 4 MARS 2002
-
B. UNE LOI DU 4 MARS 2002 INNOVANTE, MAIS SOUCIEUSE
D'ÉVITER UN BOULEVERSEMENT DES REGLES DE DÉVOLUTION DU NOM
-
1. Le principe de la loi : l'exercice par les
deux parents d'une triple option et, à défaut, la
dévolution du nom du père lors de la déclaration de
naissance
-
2. Les possibilités de modifier le nom
postérieurement à la déclaration de naissance pour exercer
cette triple option à raison d'événements concernant la
filiation
-
3. Les autres modifications postérieures
autorisées par la loi
-
4. La loi du 4 mars 2002 met fin à certaines
inégalités entre hommes et femmes
-
5. Les conséquences des nouvelles
règles de dévolution : la réforme de l'état
civil
-
1. Le principe de la loi : l'exercice par les
deux parents d'une triple option et, à défaut, la
dévolution du nom du père lors de la déclaration de
naissance
-
A. LES ORIGINES DE LA LOI DU 4 MARS 2002
-
II. LA PRÉSENTE PROPOSITION DE LOI :
CONFIRMER LES PRINCIPES DÉGAGÉS PAR LA LOI DU 4 MARS 2002 ET EN
ASSURER L'APPLICATION EFFECTIVE
-
A. RÉSOUDRE DES PROBLÈMES CONCRETS
D'APPLICATION
-
B. ÉTENDRE LE DISPOSITIF SANS REMETTRE EN
CAUSE LES POSSIBILITÉS DE TRANSMISSION DU NOM DE LA MÈRE
-
C. APPORTER DES PRÉCISIONS UTILES
-
1. L'affirmation du principe de l'unicité
du choix
-
2. L'affirmation de la compétence de
l'officier de l'état civil en cas de substitution du nom de l'enfant
naturel dont la filiation est établie successivement à
l'égard de ses deux parents après sa naissance
-
3. La limitation du nombre de noms de
l'adopté simple
-
4. La clarification des dispositions transitoires
en matière d'adjonction du nom du parent n'ayant pas transmis le sien
-
1. L'affirmation du principe de l'unicité
du choix
-
A. RÉSOUDRE DES PROBLÈMES CONCRETS
D'APPLICATION
-
III. LES CONCLUSIONS DE VOTRE COMMISSION DES
LOIS : APPROUVER LE PRINCIPE DE LA PROPOSITION DE LOI TOUT EN APPORTANT
DIVERSES PRÉCISIONS ET CORRECTIONS RÉDACTIONNELLES
-
I. LA LOI DU 4 MARS 2002 RELATIVE AU NOM DE
FAMILLE : LA CONCILIATION ENTRE RENFORCEMENT DE L'ÉGALITÉ
ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES ET STABILITÉ DE L'ÉTAT DES
PERSONNES
-
EXAMEN DES ARTICLES
-
Article 1er
(art. 311-21 du code civil)
Transmission du nom de la mère à l'enfant naturel
Application aux Français nés à l'étranger
-
Article 2
(art. 311-22 du code civil)
Suppression de la possibilité d'adjonction de nom entre la majorité
et la naissance du premier enfant
-
Article 3
(art. 311-23 du code civil)
Affirmation du principe d'unicité
du choix de dévolution du nom de famille
-
Article 4
(art. 332-1 du code civil)
Extension à la légitimation post nuptias
-
Article 5
(art. 333-5 du code civil)
Légitimation par autorité de justice
-
Article 6
(art. 334-2 du code civil)
Compétence de l'officier de l'état civil en cas de substitution
du nom de l'enfant naturel dont la filiation est établie
successivement à l'égard de ses deux parents après sa naissance
-
Article 7
(art. 363 du code civil)
Limitation du nombre de noms de l'adopté simple
-
Article 8
(art. 23 de la loi n° 2002-304 du 4 mars 2002 relative au nom de famille)
Application de la loi dans le temps- dispositions transitoires
-
Article 9
(art. 25 de la loi n° 2002-304 du 4 mars 2002 relative au nom de famille)
Report de l'entrée en vigueur de la loi
-
Article 1er
-
TEXTE PROPOSÉ PAR LA COMMISSION