(1)
Ce comité, composé de pharmaciens, de psychologues, de
médecins, de chimistes et de travailleurs sociaux, a été
créé par la loi de 1971. Il doit être consulté sur
toutes les questions relatives au classement des produits stupéfiants
illicites.
(2) Il s'agit d'infractions « relevant d'une juridiction ou de
l'autre », et donc susceptibles d'être jugées
sommairement par une magistrates'court ou sur acte d'accusation par la Crown
Court (équivalent de la cour d'assises).
(3) La réprimande, si elle est officielle, est mentionnée au
casier judiciaire et peut être invoquée ultérieurement
devant un tribunal.
(4) Il s'agit d'une infraction « relevant d'une juridiction ou de
l'autre », et donc susceptible d'être jugée sommairement
par une magistrates'court ou sur acte d'accusation par la Crown Court
(équivalent de la cour d'assise).
(5) La Fondation de la police est un organisme à but non lucratif
créé en 1979 et dont l'objet est de fournir une vision objective
et indépendante sur les questions relatives aux politiques et aux
pratiques des services de police.
(6) De façon générale, le code pénal ne
détermine pas le montant des amendes, car le législateur laisse
aux juges le soin de le faire en fonction de l'ensemble des
éléments dont ils disposent, et notamment en fonction du
passé du contrevenant.
(7) Cette limite est loin d'être absolue. Certaines décisions de
justice considèrent comme destinées à la consommation
personnelle des quantités très supérieures. En revanche,
pour les autres produits stupéfiants, les plafonds sont nettement
inférieurs.
(8) Pour les drogues considérées comme plus dangereuses, la peine
de prison est comprise entre trois et neuf ans, et l'amende se monte au
triple de la valeur de l'objet du délit.
(9) Il s'agit d'établissements du secteur de l'hôtellerie et de la
restauration dans lesquels aucune boisson alcoolique n'est vendue.
La dépénalisation de la consommation du cannabis
Etudes de législation comparée
Étude de législation comparée n° 99 -