F. LES INFORMATIONS COMMUNIQUEES À LA MISSION D'INFORMATION
- La mission d'information a reçu deux études
substantielles : la première porte sur le processus d'orientation
et d'information des DEUG MIAS, MASS, SM, TI de l'USTL de Lille
(pré-inscription, entretiens post bac, amphis d'information, bilan de
début d'année, orientation de fin d'année, information des
étudiants et des enseignants ;
- la seconde est consacrée aux modalités d'information et
d'orientation à l'Université Joseph Fourier de Grenoble aussi
bien avant l'entrée à l'université que pendant les
études, tout au long du cursus (sensibilisation des lycéens aux
études post-bac, salon, journée du lycéen,
pré-inscription, accueil de rentrée, actions d'information des
conseillers d'orientation et des professeurs principaux de terminale,
journées des premiers cycles et des maîtrises, jeudi de la CELAIO,
journal d'information, suivi des étudiants et annuaire des
diplômés, accueil à la CELAIO, développement du
tutorat, action auprès des redoublants...).
G. LES REMARQUES SUR LA SYNTHÈSE DES MESSAGES REÇUS PAR LA MISSION D'INFORMATION
- la teneur de certains messages critiquant le
recours aux
PRAG
dans les premiers cycles est à nouveau sévèrement
jugée et la qualité de ces enseignants est soulignée ainsi
que leur adaptation pour assurer une transition entre le lycée et
l'université ;
- on rappelle également que le recrutement et la carrière des
enseignants-chercheurs se font exclusivement sur
critères de
recherche
, ce qui peut expliquer les faiblesses pédagogiques de
certains ;
- certains soulignent les
efforts d'information de certaines
académies
(journée banalisée dans les
universités, salon de l'étudiant, forum des formations
techniques, journée d'information des professeurs principaux des
terminales) mais aussi le
désintérêt de beaucoup de
lycéens
pour ces formules et détaillent les modalités
d'information et d'orientation des nouveaux bacheliers à
l'université, via des amphis d'information coordonnés par les
directeurs d'études ;
- on rappelle également que la formation des "
bac
pro
" est totalement inadaptée à la poursuite de DEUG
généralistes ;
- d'autres remarquent que les PRAG ne sont pas destinés à
enseigner dans le supérieur, en particulier dans les disciplines
scientifiques qui évoluent rapidement et notent que ces
agrégés ont été formés pour être des
" enseignants d'élite " du secondaire, mais pas du
supérieur.
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