Rapport n° 259 (1999-2000) de M. André DULAIT , fait au nom de la commission des affaires étrangères, déposé le 8 mars 2000
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INTRODUCTION
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I. LA CONVENTION DE ROME CONFÈRE A LA COUR
PÉNALE INTERNATIONALE DES CAPACITÉS ÉLARGIES A
L'ÉGARD DES AUTEURS DES CRIMES LES PLUS GRAVES COMMIS CONTRE LE DROIT
HUMANITAIRE INTERNATIONAL
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A. LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE SERA UNE
INSTANCE PERMANENTE
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B. SA COMPÉTENCE MATÉRIELLE SERA
CONCENTRÉE SUR LES CRIMES LES PLUS GRAVES, DONT
L'IMPRESCRIPTIBILITÉ EST CONFIRMÉE
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C. SA COMPÉTENCE SERA COMPLÉMENTAIRE
DE CELLE DES TRIBUNAUX NATIONAUX DES ETATS PARTIES
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D. LA COUR PÉNALE ET LES
SOUVERAINETÉS NATIONALES
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A. LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE SERA UNE
INSTANCE PERMANENTE
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II. LA DÉPENDANCE DE LA COUR PÉNALE
À L'ÉGARD DES ETATS
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III. LE FONCTIONNEMENT DE LA COUR
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IV. DES QUESTIONS IMPORTANTES EN SUSPENS OU EN
DÉBAT
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I. LA CONVENTION DE ROME CONFÈRE A LA COUR
PÉNALE INTERNATIONALE DES CAPACITÉS ÉLARGIES A
L'ÉGARD DES AUTEURS DES CRIMES LES PLUS GRAVES COMMIS CONTRE LE DROIT
HUMANITAIRE INTERNATIONAL
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CONCLUSION
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EXAMEN EN COMMISSION
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ANNEXE 1 -
DÉCLARATION INTERPRÉTATIVE DE LA FRANCE
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ANNEXE 2 -
LISTE DES ETATS SIGNATAIRES DE LA CONVENTION
DE ROME ET LISTE DES ETATS AYANT RATIFIE