1
Cotisations, subvention
d'équilibre et
AAH non comprises.
2
Il s'agit du Fonds forestier national (FFN), du Fonds national de
développement des adductions d'eau (FNDAE) et du Fonds national des
haras et activités hippiques.
3
Pour éviter les doubles comptes, on soustrait
également la subvention de l'Etat et le remboursement de l'AAH au BAPSA.
4
Non inclus dans les résultats présentés qui
ne retracent que les dépenses bénéficiant à
l'agriculture et à la forêt, hors pêche.
5
Tel qu'enregistré par le Service central d'études et
enquêtes statistiques
6
En 1993, le montant moyen s'est établi à plus de 102
000 francs par exploitation, en raison de la coexistence des nouvelles aides
directes et de la persistance des dépenses liées aux anciens
dispositifs de soutien des prix.
7
Dans son Rapport sur l'exécution des lois de finances pour
l'année 1997, publié en juillet 1998, p. 337.
8
En raison de sa lourdeur et de son coût, cette étude
ne peut être réalisée que tous les trois ans.
9
Cela est inférieur à la situation exceptionnelle de
1996 (25 % des crédits avaient été affectés), mais
reste supérieur aux années précédentes (10 % en
1995 et 13 % en 1995).
10
Avec en particulier un report de 300 millions de francs portant
sur le chapitre du FGER.
11
" Interventions en faveur de l'orientation et de la
valorisation de la production agricole ".
12
82 % par exemple pour la 4
ème
partie :
" Matériel et fonctionnement des services ".
13
Voir rapport de la Cour des comptes, p. 128.
14
Cette situation est imputable à la faible consommation
d'un chapitre qui représente les ¾ du titre VI . Ce chapitre
61-83 " Cofinancement de l'Union européenne au titre des objectifs
1, 5a et 5b et au titre de l'Instrument financier d'orientation de la
pêche " n'a supporté des paiements qu'à hauteur de 48
%.
15
Celle-ci dispose que les règles d'unité et
d'universalité budgétaires font obstacle à ce que des
dépenses, qui présentent un caractère permanent (agents de
l'Etat), ne soient pas prises en charge par le budget ou soient
financées par des ressources que celui-ci ne détermine pas.
16
Ce pourcentage était de 2,6 % en 1998.
17
Pour plus de détails, se reporter à l'annexe
n° 42 relative au budget annexe des prestations sociales agricoles (BAPSA).
18
Notamment l'installation, l'enseignement et les retraites.
19
Chapitre 44-84 (nouveau).
20
Institut national de la recherche agronomique (INRA).
21
Centre national du machinisme agricole des eaux et des
forêts (CEMAGREF).
22
Institut français de recherche pour l'exploitation de la
mer (IFREMER).
23
Centre de coopération international en recherche
agronomique pour le développement (CIRAD).
24
A comparer avec les 9 204 installations aidées
réalisées en 1997.
25
Notamment pour le fonctionnement du futur quatrième
comité de l'INAO.
26
Centre national
d'études vétérinaires et
alimentaires.
27
Agence française de la sécurité sanitaire
des aliments.
28
Cette " priorité " est développée
dans l'annexe n° 42 relative au BAPSA.
29
Rédaction telle qu'issue de l'article 66 de la loi du 2
juillet 1998.
30
Il avait été question, lors de la
préparation du projet de loi pour l'aménagement et le
développement durable du territoire, de redéfinir les missions du
FGER. Finalement, il a été décidé de maintenir le
FGER sous le contrôle du ministère de l'agriculture et de
créer un autre fonds, destiné à financer les espaces
naturels.
31
Institut français de recherches pour l'exploitation de la
mer.
32
Office interprofessionnel des produits de la mer.
33
Les autorisations de programme prévues à ce
chapitre sont stables en 1999 à 150,18 millions de francs.
34
Les dossiers d'investissement d'un montant inférieur
à 10 millions de francs font l'objet d'une procédure
déconcentrée au niveau des régions et la dotation
affectée à ces dossiers a été
contractualisée dans le cadre des contrats de plan Etat-Région.
35
En 1997, le nombre de dossiers primés en POA nationale ou
déconcentrée s'élève à 303, soit environ 117
millions de francs d'aides nationales pour soutenir 1 579 millions
d'investissement.
36
Toutefois ce fonds ne bénéficie actuellement
d'aucun financement.
37
Le BCRD a représenté 97 % des crédits
publics de recherche dans le domaine agricole en 1996.
38
En particulier les exportations de vins et spiritueux ont cru de
18 % et celles de produits laitiers de 10 %.
39
Les autres bénéficiaires de ces crédits sont
le Centre français du commerce extérieur (CFCE, 12 %), le
Comité des expositions de Paris pour l'organisation du Salon de
l'agriculture (4 %) et l'Association pour le développement des
échanges internationaux de produits et techniques agro-alimentaires
(ADEPTA, 1 %).
40
Il s'agit d'une aide en capital dont le montant moyen varie entre
82 700 et 171 700 francs selon la zone géographique.
41
Etude du ministère de 1995.
42
Il s'agit de nouveaux exploitants relevant de l'AMEXA
nouvellement inscrits en 1997 assujettis au régime agricole ; ils
bénéficient ou non d'aides à l'installation telles que la
DJA.
43
Centre national pour l'aménagement des structures des
exploitations agricoles.
44
Décret n° 98-311 du 23 avril 1998 qui restreint la
préretraite aux seuls agriculteurs en difficulté, contraints de
cesser leur activité pour des raisons économiques ou
d'invalidité.
45
Les crédits budgétés au ministère de
l'agriculture au titre des préretraites passent de 657,5 millions de
francs en loi de finances initiale pour 1998 à 555 millions de francs
dans le projet de loi de finances pour 1999, soit une baisse de 15,6 %. Or,
celles-ci avaient permis entre 1995 et 1997 l'installation de jeunes sur plus
de 400 000 hectares.
46
Chapitre 46-33 " Participation à la garantie contre
les calamités agricoles ".
47
Voir Journal officiel du 12 novembre 1998, p.
8802.
Projet de loi de finances pour 1999 : Agriculture et pêche
Rapports législatifs
Rapport général n° 66 (1998-1999), tome III, annexe 3, déposé le