1/ « Loi sur le placement du conseil des Anciens, de celui des Cinq-cents, et du Directoire exécutif », 2e jour complémentaire an III (18 septembre 1795), Les annales de la République française depuis la Constitution de l’an III, t. 1, Paris, Laveaux imprimeur, an VII, p. 105-106.
2/  Louis FAVRE, Le Luxembourg, Paris, Paul Ollendorf, 1882, p. 174.
3/ Alphonse  de GISORS, Le palais du Luxembourg, Paris, Plon, 1847, p.82.
4/ Selon le récit de Louis-Marie LA RÉVELLIÈRE-LEPEAUX, Mémoires, tome 1, Paris, Plon, 1895, p. 316.
5/ Ibidem
6/ Cité par Patrice GUENIFFEY dans Le Dix-huit Brumaire, Paris, Gallimard, 2019, p. 164.
7/  Ce passage de Louis Favre est rédigé en 1882. Gisors fait référence au premier étage du pavillon Ouest, sur la rue de Vaugirard, op.cit., p. 82.
8/  Bernard MORICE, Le palais du Luxembourg et ses métamorphoses, Paris, Draeger, 1975, p. 23.
9/ Louis-Marie LA RÉVELLIÈRE-LEPEAUX, Mémoires, op.cit., p. 338.
10/ Voir Jean TULARD, Napoléon, les grands moments d’un destin, Paris, Fayard, 2006, p. 86. D’après ceux-ci c’est chez Joséphine elle-même que BONAPARTE fit sa rencontre.
11/ Jean TULARD, Napoléon, les grands moments d’un destin, op.cit., p. 123.
12/ Jacques-Olivier BOUDON, Histoire du Consulat et de l’Empire, Paris, Perrin, 2000, p. 35.
13/ Thierry LENTZ, Le Grand Consulat, Paris, Fayard, 1999, p. 69.
14 Jean TULARD, Napoléon, les grands moments d’un destin, op.cit., p. 133.
15/ Jean TULARD, op.cit., p. 140. D’autres historiens, à l’instar de Jacques-Olivier BOUDON, jugeant que c’est BONAPARTE qui s’est servi de Sieyès comme caution parlementaire.
16/ Jacques HABERT, Le palais du Luxembourg sous la Révolution française, actes du IIIe colloque international de l’Association internationale des docteurs des universités de France, à la Société de Géographie, Paris, p. 161, Bibliothèque du Sénat, cahier 84-90, coffre 1939.
17/ Bernard MORICE, Le palais du Luxembourg et le destin des hommes, Paris, France-Empire, 1971, p. 112.
18/ Pierre-Louis RŒDERER, Notice de ma vie pour mes enfants, tome 3, Paris, Firmin Didot frères, 1846, p. 304 305.
19/ Idem, p. 113.
20/ Jacques-Olivier BOUDON, Histoire du Consulat et de l’Empire, op.cit., p. 55.
21/ Laurence CHATEL DE BRANCION, Cambacérès, Paris, Perrin, 2009, p. 255.
22/ Claude GOYARD, « Constitution de l’an VIII », in Jean TULARD (dir.), Dictionnaire Napoléon, Paris, Fayard, t.1, p. 519-524. SIEYÈS a joué un rôle déterminant dans la rédaction de la Constitution libérale de l’an III (qui fonde le Directoire) et a prononcé par la suite plusieurs discours à propos de modifications constitutionnelles.
23/ Le Sénat aurait le pouvoir de démettre le Grand Électeur si celui-ci s’avérait représenter un risque de tyrannie (Jean TULARD, Napoléon ou le mythe du sauveur, op.cit. p. 116).
24/ Jean TULARD, op.cit., p. 117.
25/ Bernard MORICE, Le palais du Luxembourg et le destin des hommes, op.cit., p. 115.
26/ Jacques de MENDITTE, Une porte ouverte sur le palais du Luxembourg, Nice, Altaïr, 1988, p. 107.
27/ Claude GOYARD, « Constitution de l’an VIII », in TULARD Jean (dir.), Dictionnaire Napoléon, op.cit. p. 522.
28/ Idem, p. 522-523.
29/ Emmanuelle FLAMENT-GUELFUCCI, Isabelle CHAVE (dir.), Guide de recherche dans les archives du Conseil d’État, Paris, DILA, 2018, p. 17.
30/ Cf. l’huile sur toile d’Auguste COUDER : Installation du Conseil d'État au palais du Petit-Luxembourg le 25 décembre 1799, datant de 1856 (reproduite en couverture).
31/ Laurence CHATEL DE BRANCION, Cambacérès, Paris, Perrin, 2009, p. 255.
32/ Jean-Baptiste DUVERGIER, Collection complète des lois, décrets ordonnances, règlements et avis du Conseil d’État, tome 12, Paris, A. Guyot, 1826, p. 49.
33/ Article 17, in Jean-Baptiste DUVERGIER, idem.
34/ Sénatus-consulte du 14 nivôse an XI, article 2, in Jean-Baptiste DUVERGIER, Collection complète des lois, décrets ordonnances, règlements et avis du Conseil d’État, tome 12, Paris, A. Guyot, 1826, p. 79.
35/ Jean-Baptiste DUVERGIER, Collection complète des lois, décrets ordonnances, règlements et avis du Conseil d’État, op.cit., 1826, p. 79.
36/ Ibid., p. 80.
37/ Idem.
38/ Jacques PATUREAU, « Chalgrin, auteur du premier Sénat » in Chalgrin et son temps, textes réunis par Basile BAUDEZ et Dominique MASSOUNIE, Willam Blake & Co, 2016, p. 69.
39/ PATUREAU Jacques, article cité, p. 70.
40/ Le Moniteur universel, 12 décembre 1797.
41/ Le Moniteur universel, 12 décembre 1797. À l’instar des autres autels de la patrie érigés dans de nombreuses communes de France, celui-ci sera détruit sous l’Empire.
42/ Jacques HABERT, Le palais du Luxembourg sous la Révolution française, op.cit., p. 159 ; article consultable à la Bibliothèque du Sénat, cahier 84-90.
43/ Patrice GUENIFFEY, Le Dix-huit Brumaire, op. cit., p. 161.
44/ Le Moniteur universel, idem.
45/ Jacques PATUREAU, article cité, p. 71.
46/ Le Moniteur, 12 décembre 1797.
47/ Normand né au Havre, il exerce à Rome ses talents dans un atelier de sculpture pour des commanditaires princiers influents (les princes BORGHESE) ou ecclésiastiques (le pape PAUL V, pour lequel il exécute notamment deux anges et une Vierge pour la basilique Sainte-Marie-Majeure). Le goût italianisant de Marie de MÉDICIS lui offre l’occasion de travailler, une fois nommé sculpteur ordinaire de la reine, à orner le palais du Luxembourg.
48/ Emily RAWLINSON-MAZERI, « Bertelot et Kulikowski au Luxembourg. Conservation d’un exceptionnel ensemble de moulages », In Situ [En ligne], 28 | 2016, mis en ligne le 11 mars 2016, consulté le 02 octobre 2019.
49/ L’article 15 de la Constitution de l’an VIII crée, le 13 décembre 1799, le Sénat conservateur. L’article 7 alinéa 1 de « la loi sur la mise en activité de la Constitution » du 3 nivôse an VIII (24 décembre 1799), affecte officiellement « le palais du Luxembourg, au Sénat conservateur. » DUVERGIER Jean-Baptiste, Collection complète des lois, décrets ordonnances, règlements et avis du Conseil d’État, tome 12, Paris, A. Guyot, 1826, p. 24 et 49.
50/ Antoine Chrysostome QUATREMÈRE DE QUINCY, Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. de Chalgrin, Paris, 1816, p. 10.
51/ Rejetant les excès foisonnants du style rococo, le néoclassicisme célèbre un retour à la « vertu » et à la simplicité, prenant pour modèle l’épure de l’antique.
52/ Longue de 60 m, elle abritait jusqu’en 1790 les 24 tableaux commandés à RUBENS par Marie de MÉDICIS, lesquels sont aujourd’hui exposés dans l’aile Richelieu du musée du Louvre.
53/ Claude Madeleine GRIVAUD DE LA VINCELLE, Notice sur le palais de la Chambre des Pairs de France, Nepveu, Paris, 1818, p. 1.
54/ Idem, p. 20.
55/ Clauses et conditions de diverses parties de sculptures sur pierre et plâtre à faire pour décorer le grand escalier du palais du Sénat conservateur, 20 décembre 1802, Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
56/ Rapport à la commission administrative du Sénat par CHALGRIN, le 9 floréal an XI (29 avril 1803), Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
57/ Leur prix passe ainsi de 6 000 francs chacune à 2 000, pour le même effet produit.
58/ Statues de la salle des Séances, du grand escalier et au bas dudit, ventôse an XII, Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
59/ Idem, p. 18.
60/ État des travaux d’appropriation et de grosses réparations à exécuter aux Bâtiments et au jardin public de la Chambre des Pairs, 1847.
61/ Les mêmes colonnes sont placées sur le péristyle qui donne sur la rue de Tournon.
62/ Service de l’Architecture, des Bâtiments et des Jardins du Sénat, L’escalier d’honneur, 1995, p. 23.
63/ Antoine Chrysostome QUATREMÈRE DE QUINCY, Notice historique sur la vie et les ouvrages de M. de Chalgrin, op.cit., p. 10.
64/ Détails, clauses et conditions des travaux dans la salle des gardes par Ramey et Duret, signé le 1er mars 1804, Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
65/ Claude Madeleine GRIVAUD DE LA VINCELLE, Notice sur le palais de la Chambre des Pairs de France, Nepveu, Paris, 1818, p. 22.
66/ Note de Philippe MARTIAL, Bibliothèque du Sénat, classeur 1 à 8.
67/ Rapport de STURLER aux préteurs pour les peintures dans les salles neuves, « Rapport à Messieurs les Préteurs, membres du Sénat », le 5 thermidor an XII, Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « 1er établissement ans XI et XII ».
68/ Le Patrimoine du Sénat, Attique éditeur, 2007, p. 67.
69/ Jacques PATUREAU, « Chalgrin, auteur du premier Sénat » op.cit., p. 76.
70/  Rapport de CHALGRIN à la commission administrative du Sénat conservateur dans lequel il indique, le 10 thermidor an XI, que deux bas-reliefs, signés Louis-Simon BOIZOT (1743-1809), au-dessus des portes représenteront les qualités du Sénat : la Sagesse et la Vérité d’une part, la Morale et la Vigilance d’autre part. « Il en sera ajouté au milieu de chacune un bouclier sur lequel sera le chiffre du Sénat. », Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, bas-reliefs, éclairage, etc. ».
71/ Arthur HUSTIN, Le palais du Luxembourg ses transformations, son agrandissement, ses architectes, sa décoration, ses décorateurs, Paris, P. Mouillot, 1904, p. 72.
72/ Claude Madeleine GRIVAUD DE LA VINCELLE, Notice sur le palais de la Chambre des Pairs de France, op.cit., p. 27.
73/ Rapport de CHALGRIN à la commission administrative du Sénat conservateur sur le plafond de la salle de Réunion, le 25 germinal an XI. Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
74/ Datée du 22 germinal an XI (12 mai 1803), Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
75/ Jacques de MENDITTE, Une porte ouverte sur le palais du Luxembourg, Nice, Altaïr, 1988, p. 113.
76/ Brigitte GALLINI, « La participation d’Antoine-François Callet au décor peint du Sénat, 1803-1807 », dans Société d’Histoire de l’Art français, séance du 25 janvier 1992, p. 169-178.
77/ Jacques de MENDITTE, Une porte ouverte sur le palais du Luxembourg, op.cit., p. 113.
78/ Idem, p. 113-114. Outre le dessin préparatoire du tableau présenté supra, il existe un modèle réduit de la composition de REGNAULT. Il a été présenté à l'exposition « La Maison de l'Empereur », mise en exergue à l'étape de Fontainebleau sous la forme reconfigurée « Servir et magnifier Napoléon Ier », en 2019, non reproduite dans le catalogue par Sylvain Cordier (dir.), Christophe Beyeler, et alii. : Napoléon. La Maison de l'Empereur, Montréal, musée des Beaux-Arts, et Paris, Hazan, 2017.
79/ Toujours d’après MENDITTE, la toile est conservée « sous le rouleau numéro 30, numéro d'inventaire MV 5579 ».
80/ Il est possible que cette peinture corresponde à celle aujourd’hui exposée à côté de la plaque d’Elchingen dans l’un des salons Boffrand du Petit-Luxembourg. Mais deux éléments conduisent à s’interroger sur la véracité de ce récit. Tout d’abord la date du tableau, qui est terminé en 1806 alors que la salle de Réunion est achevée deux ans plus tôt, en 1804. Par ailleurs, on sait que la peinture de la salle de Réunion a été fortement retouchée, la tête de NAPOLÉON étant repeinte en LOUIS XVIII sous la Restauration. Or le tableau du salon de Boffrand semble inaltéré. Robert LEFÈVRE, qui a peint plus d’une quarantaine de portraits de NAPOLÉON, a très bien pu être sollicité plusieurs fois pour orner le Luxembourg de la figure impériale. (Voir Le Patrimoine du Sénat, Attique éditeur, 2007, p. 83.)
81/ Brigitte GALLINI, « La participation d’Antoine-François Callet au décor peint du Sénat, 1803-1807 », op.cit., p. 169-170.
82/ Ibid.
83/ Le sénatus-consulte organique du 16 thermidor an X (4 août 1802) porte à cent-vingt le nombre des membres du Sénat, initialement fixé à quatre-vingt par la Constitution de l’an VIII.
84/ Idem, p. 77-78.
85/ Détail, clauses et conditions des travaux de peinture en décor à exécuter dans le voûte de la salle des Séances du palais du Sénat conservateur, approuvé par les questeurs, 4 mai 1804, Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
86/ Soumission de sculptures d’ornement pour les salles des Séances et de réunion au palais du Sénat, fructidor an XII (aout/septembre 1804), Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
87/ Programme des bas-reliefs de la salle des Séances par MEYNIER, le 25 décembre 1803, Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. »,.
88/ Projet de soumission des ébénistes JACOB pour l’architecte CHALGRIN à propos du mobilier de la salle des Séances, daté du 10 germinal an XII, Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
89/ Idem. Ce qui signifie que l’hémicycle n’est pas inauguré avant cette date…
90/ Note du service de l’Architecture, des Bâtiments et des Jardins, non datée, Bibliothèque du Sénat, classeur 20-33, coffre 1939.
91/ Cariatides et couronnement de l’Impériale du trône, soumission de DURET, RAMEY et MOSSMANN, le 7 thermidor an XII (26 juillet 1804), Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
92/ Le Patrimoine du Sénat, Attique éditeur, 2007, p. 77.
93/ Détail, clauses et conditions des travaux de marbrerie à faire pour les six piédestaux qui porteront les cariatides du trône, par CHALGRIN, 27 juillet 1804, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. », Archives du Sénat.
94/ Détail, clauses et conditions des travaux de dorure à faire pour l’établissement du trône dans la salle des Séances du Sénat conservateur, par STURLER, le 18 fructidor an XII (5 septembre 1804), Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
95/ Note du service de l’Architecture, des Bâtiments et des Jardins, Idem.
96/ CHALGRIN écrit, dans un rapport destiné aux préteurs et à propos du mobilier du Sénat conservateur : « L’ameublement de la salle des Séances est un travail de longue haleine non seulement parce qu’il est considérable mais encore par les soins et la précision qu’il faut apporter dans son exécution ». Rapport daté du 23 ventôse an XII, Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
97/ Débillarder : tailler une pièce de bois (ou une pierre) en diagonale pour lui donner la forme désirée (généralement une forme courbe).
98/ Leur achat groupé auprès des JACOB a coûté 30 000 francs. Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».
99/ Frédérique FAUBLÉE, « Les trônes de Napoléon Ier : un symbole, quatre destins », In Situ [En ligne], 2016, mis en ligne le 21 juillet 2016, consulté le 10 octobre 2019.
100/ Peut-être terminée par un disciple, la toile est datée de 1811 alors que Regnault semble être mort en 1810. Commandée par Napoléon pour orner le palais du Luxembourg, elle est aujourd’hui conservée à Versailles. Voir le catalogue des collections du château de Versailles, collections.chateauversailles.fr.
101/ Datée du XXVI vendémiaire an XIV, (18 octobre 1805), elle est signée du camp d’Elchingen.
102/ De fait, malgré le chiffre de « quarante drapeaux » que mentionne l’adresse, l’ajout de ceux pris à Austerlitz porte leur nombre à cinquante-deux présentés au Sénat lors de la cérémonie.
103/ Catalogue des sculptures du Palais du Luxembourg, Direction de l’Architecture, du Patrimoine et des Jardins, édition 2018, p. 207.
104/ En l’absence d’une constitution écrite, l’ensemble tacite de principes qui forment le Mos Majorum fait office de code non écrit de lois de la République romaine.
105/ Idem, p. 49.
106/ Alphonse de GISORS, Le palais du Luxembourg, Paris, Plon, 1847, p. 95.
107/ Lettre signée à Claude RAMEY, datée du 26 mai 1806, vendue par le ministère de l’étude Conan, Paris, catalogue de la vente du 23 mai 2019.
108/ Rapport à messieurs les préteurs membres du Sénat, Chalgrin, le 4 février 1807, carton 573 S 17, liasse « Rapport », Archives du Sénat.
109/ Ibidem.
110/ Brigitte GALLINI, « La participation d’Antoine-François Callet au décor peint du Sénat, 1803-1807 », dans Société d’Histoire de l’Art français, séance du 25 janvier 1992, p. 169-178.
111/ Claude Madeleine GRIVAUD DE LA VINCELLE, Notice sur le palais de la Chambre des Pairs de France, Nepveu, Paris, 1818, p. 38.
112/ Mémoire de LANGLOIS à CHALGRIN et BARAGUEY, 25 mai 1808, Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Salle de l’empereur et 2 salles pour les bustes des sénateurs morts ».
113/ Devis soldé de VAVIN pour la décoration de la salle de l’empereur, le 12 décembre 1808, Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Salle de l’Empereur et 2 salles pour les bustes des sénateurs morts ».
114/ Archives du Sénat, carton 573 S 17 liasse « Salle de l’Empereur et 2 salles pour les bustes des sénateurs morts ».
115/ Jean TULARD, Napoléon et 40 millions de sujets, Paris, Tallandier, 2014, p. 11.
116/ Jean-Marc TICCHI, Le voyage de Pie VII à Paris pour le sacre de Napoléon (1804-1805). Religion, politique et diplomatie, Paris, Honoré Champion, 2013, p. 175. Le Catalogue des tableaux, statues, bustes, etc. composant la galerie du Sénat Conservateur, datant de 1808, figure à la Bibliothèque du Sénat sous la cote RPF1168.B.
117/ Texte original en italien reproduit dans Jean-Marc TICCHI, « De Rome à Paris à la suite de Pie VII : La visite de l’abbé Cancellieri en France lors du sacre de Napoléon Ier (1804-1805) d’après son journal de Voyage » dans Benedictina, 51 2 (juil. déc.    2004), p. 394-395.
118/ Emmanuel de WARESQUIEL, Talleyrand, le prince immobile, Paris, Fayard, 2003, p. 441.
119/ Thierry LENTZ, Nouvelle histoire du Premier Empire, t.2, Paris, Fayard, 2004, p. 563.
120/ Idem, p. 565.
121/ Emmanuel de WARESQUIEL, Talleyrand, le prince immobile, idem, p. 444.
122/ Le Moniteur universel, 2 avril 1814.
123/ Thierry LENTZ, Nouvelle histoire du Premier Empire, op.cit., p. 565.
124/ Ibidem.
125/ Emmanuel de WARESQUIEL, Talleyrand, le prince immobile, op.cit., p. 445.
126/ Édifié par CHALGRIN vers 1760.
127/ Le Moniteur universel, 2 avril 1814.
128/ Idem, 4 avril 1814.
129/ Jacques de MENDITTE, Une porte ouverte sur le palais du Luxembourg, Nice, autoédité chez Altaïr, 1988, p. 114-115.
130/ Louis FAVRE, Le Luxembourg, Paul Ollendorf, Paris, 1882, Archives du Sénat, p. 260-261 ; Jacques de MENDITTE, idem, p. 115-116.
131/ Louis FAVRE, Le Luxembourg, op. cit., note p. 284.
132/ Jean-Philippe GARRIC, « La culture italienne d’un élève de Charles Percier. Le recueil de calques d’Alphonse de Gisors dessiné sous la Restauration », dans Antonio BRUCCULERI et Sabine FROMMEL, Renaissance italienne et architecture au XIXe siècle. Interprétations et restitutions, Rome, Campisano editore, 2016, p. 113-122.
133/ Ainsi que du projet de chapelle et tombeau pour le prince Jérôme Napoléon aux Invalides, dont les plans sont conservés aux Archives du Sénat.
134/ Marie-Laure CROSNIER-LECONTE, « Alphonse Henry Guy de Gisors » dans Revue générale de l’architecture et des travaux publics, Paris, Mare Martin, 2017.
135/ Loi qui ouvre des crédits pour le complément des dépenses de la salle provisoire construite au Luxembourg, et pour la construction définitive d’une salle des Séances de la chambre des Pairs. L’article unique dispose qu’il est ouvert au ministre de l’Intérieur : « sur l’exercice 1836, un crédit d’un million neuf cent cinq mille francs dont cent cinq mille francs pour le complément des dépenses de la salle provisoire construite au Luxembourg […]. Sur l’exercice 1837, un crédit de douze cent mille francs, pour le complément des dépenses de cette construction définitive. » Jean-Baptiste DUVERGIER, Collection complète des lois, décrets ordonnances, règlements et avis du Conseil d’État, tome 36, Paris, A. Guyot, 1837, p. 189.
136/ La tentative malheureuse ayant fait un grand nombre de victimes (77 du côté des insurgés, 50 parmi les militaires), les Pairs jugèrent sévèrement les coupables. Les chefs de l’insurrection, Armand BARBÈS, Auguste BLANQUI et Martin BERNARD furent condamnés à la déportation. BARBÈS, initialement condamné à la peine capitale pour avoir tué un officier, fut gracié par LOUIS-PHILIPPE, sa peine étant commuée en déportation.
137/ Enfermé au palais du Luxembourg durant son jugement, Louis-Napoléon BONAPARTE fut condamné à un emprisonnement à perpétuité au fort de Ham d’où il s’échappa en 1846.
138/ Gustave HIRSCHFELD, Le Palais du Luxembourg, Paris, Henri Laurens éditeur, 1931.
139/ Localisé, côté jardin, par un pied de buis situé près de la balustrade de droite.
140/ La salle des Séances du Sénat, Bibliothèque du Sénat, 3D5720, p. 19.
141/ Gustave HIRSCHFELD, Le Palais du Luxembourg, Paris, Henri Laurens, éditeur, 1931, p. 60.
142/ Francis CHOISEL, « La procédure de révision constitutionnelle (1852-1870) », dans Parlement[s], Revue d'histoire politique, 2008/3 (n° HS 4), p. 50-68.
143/ Déclaration de Louis-Napoléon Bonaparte préliminaire à la Constitution du 14 janvier 1852. Jean-Baptiste DUVERGIER, Collection complète des lois, décrets ordonnances, règlements et avis du Conseil d’État, tome 52, Paris, A. Guyot, 1852, p. 18-19.
144/ Article 4 du décret impérial concernant le Sénat et le corps législatif prévoyant les sénatus-consultes de février 1861. Jean-Baptiste DUVERGIER, Collection complète des lois, décrets ordonnances, règlements et avis du Conseil d’État, tome 52, Paris, A. Guyot, 1852, p. 22.
145/ Ibidem.
146/ « Décret impérial portant règlement des rapports du Sénat et du Corps législatif avec l’Empereur et le conseil d’État, et établissant les conditions organiques de leurs travaux » du 16 février 1867. DUVERGIER Jean-Baptiste, Collection complète des lois, décrets ordonnances, règlements et avis du Conseil d’État, année 1867, tome 67, Paris, A. Guyot, 1867, p. 29.
147/ Francis CHOISEL, « La procédure de révision constitutionnelle (1852-1870) », article cité, p. 50-68.
148/ Xavier LACROIX, Le marquis de Moustier, ministre des Affaires étrangères de Napoléon III, mémoire de Master, sous la direction d’Éric ANCEAU, Sorbonne Université, 2019, Bibliothèque du Sénat.
149/ Article 1 du Projet de sénatus-consulte du 28 mars 1870.
150/ Jean-Baptiste DUVERGIER, Collection complète des lois, décrets ordonnances, règlements et avis du Conseil d’État, tome 52, Paris, A. Guyot, 1826, p. 773-774.
151/Frédéric D’AGAY (dir.), D’encre et de lumières, itinéraires secrets dans la bibliothèque du Sénat, op. cit., p. 232-233.
152/ Pour plus d’informations, voir la vidéo dédiée à l’ouvrage exécutée par la Bibliothèque du Sénat et accessible sur le site du Sénat : videos.senat.fr/video.779021_5b4db10bc622c.tresors-du-senat--le-registre-des-abeilles-et-les-actes-d-etat-civil-de-la-famille-imperiale.
153/ Arthur HUSTIN, Le palais du Luxembourg ses transformations, son agrandissement, ses architectes, sa décoration, ses décorateurs, op.cit., 1904, p. 83.
154/ Camille NAPOLITANO, La coupole de Jean ALAUX dans la salle des Conférences du palais du Luxembourg, Division des Archives du Sénat, juin 2019.
155/ Idem.
156/ Notons l’existence d’une peinture de Victor Duval située dans le pourtour Est de l’hémicycle représentant la « Galerie du trône sous le Second Empire au palais du Luxembourg » et qui semble reproduire avec une certaine précision les compositions murales d’époque.
157/ Archives du Sénat, carton 573 S 36, travaux de GISORS, travaux d’art (1836-1857). Pour plus de précisions sur la coupole d’ALAUX, voir Camille NAPOLITANO, La coupole de Jean ALAUX dans la salle des Conférences du palais du Luxembourg, Division des Archives du Sénat, juin 2019.
158/ Collectif, Le patrimoine du Sénat, Paris, Flohic éditions, 1996, p. 145.
159/ Les descriptions proviennent de l’ouvrage collectif, Le patrimoine du Sénat, Paris, Flohic éditions, 1996, p. 150.
160/ Idem.
161/ Gustave HIRSCHFELD, Le Palais du Luxembourg, Paris, Henri Laurens éditeur, 1931, p. 95.
162/ Emmanuel ROBICHON, Guide du palais du Luxembourg, E. Desfossé-néogravure, Paris, 1947, p. 35.
163/ Gustave HIRSCHFELD, Le Palais du Luxembourg, op.cit., p. 95.
164/ Lettre du ministère des Travaux publics du 13 décembre 1850,  Sénat, coffre 1939, référence égarée.
165/ Voir Jacques de MENDITTE, Une porte ouverte sur le palais du Luxembourg, op.cit.
166/ Un constat que vient renforcer l’évocation de son maître, François-André VINCENT (1746-1816), dont la peinture se caractérise par un coup de pinceau inspiré à la fois de DAVID et de FRAGONARD, deux maîtres pourtant à l’opposé l’un de l’autre.
167/ Sujet de la coupole d’Alaux tel que présenté à la commission du Sénat et à Napoléon, reproduite dans Camille NAPOLITANO, La coupole de Jean ALAUX dans la salle des Conférences du palais du Luxembourg, op.cit., p. 13.
168/ Idem, p. 14.
169/ Ibidem.
170/ Collectif, Le patrimoine du Sénat, Paris, op.cit., p. 153.
171/ Lettre de Victor HUGO datée du 17 mai 1868, destinataire inconnu, Correspondance de Victor Hugo, année 1868, 1952, p. 120.
172/ Arthur HUSTIN, « Les Arts au Palais du Luxembourg », (magazine inconnu), n°187, pp. 2-15, Bibliothèque du Sénat, coffre 1939.
173/ Ibidem.
174/ Est-ce celle qui est aujourd’hui exposée au musée des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau dont l’auteur est Pierre-Joseph PETIT (1768-1825), peintre au sein de l’atelier Delaneuville ?
175/ Arthur HUSTIN, Le palais du Luxembourg, ses transformations, son agrandissement, ses architectes, sa décoration, ses décorateurs, Paris, P. Mouillot, imprimeur du Sénat, 1904, p. 79.
176/ Frédéric VILLOT, Notices des peintures du Musée impérial du Luxembourg, Paris, Charles de Mourgues frères, 1855, p. XIX.
177/ Gratifiée d’une notice dans l’Encyclopédie de DIDEROT et D’ALEMBERT mais détruite par un bombardement durant la Seconde Guerre mondiale. Voir Brigitte GALLINI, « Antoine-François Callet (1741-1823), évolution d’un style lié aux aléas de l’histoire », article cité.
178/ Brigitte GALLINI, « La participation d’Antoine-François Callet au décor peint du Sénat, 1803-1807 », Société d’Histoire de l’Art français, séance du 25 janvier 1992, p. 169-178, Bibliothèque du Sénat, cahier 20-33, coffre 1939.
179/ Ibidem.
180/ Ibid.
181/ Georges DILLEMANN, « La médaille du Sénat conservateur et le symbole de la Prudence », article paru dans la revue Produits et Problèmes pharmaceutiques, vol. 21, n°5, mai 1996, p. 223-229, Bibliothèque du Sénat, classeur 38-49, coffre 1939. Georges DILLEMANN (1903-1999), professeur à la Faculté de Pharmacie de Paris, est connu pour ses travaux sur l’histoire pharmaceutique.
182/ Honoré LACOMBE DE PREZEL, Dictionnaire iconologique ou introduction à la connaissance des peintures, sculptures, médailles et estampes, Paris, 1761, p. 229.
183/ Georges DILLEMANN, « La médaille du Sénat conservateur et le symbole de la Prudence », idem.
184/ Ibidem.
185/ Cette commande de 82 chaises en acajou dorées de l’emblème du Sénat lui permet de devenir l’un des ébénistes favoris de NAPOLÉON après Jacob DESMALTER.
186/ Clauses et conditions des travaux de sculpture à faire au palais du Sénat pour l’établissement de la porte principale sur la rue de Tournon, par MOSSMANN et DURET, 1806, Archives du Sénat, carton 573 S 17, liasse « Sénat conservateur : ameublement, Bas-reliefs, éclairage, etc. ».

Chalgrin, restaurer et adapter

Gisors, moderniser et agrandir