1
Les engagements annuels moyens des CPER
1984-1988 équivalaient à 0,34 % du produit intérieur brut
(PIB) de 1984 ; les engagements annuels moyens des CPER 1989-1993
équivalaient à 0,35 % du PIB de 1989 ; les engagements
annuels moyens des CPER 1994-1998 représentaient à l'origine
l'équivalent de 0,47 % du PIB de 1994, selon les calculs de votre
rapporteur.
2
Cf. la circulaire du Premier ministre du 31 juillet 1998 relative
à la préparation de la quatrième génération
de CPER.
3
Cf. Le rapport " plus de région, mieux d'Etat "
(mai 1998) réalisé par M. Jacques CHÉRÈQUE, ancien
ministre de l'Aménagement du territoire, à la demande de Mme
VOYNET, ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement,
dans le cadre des travaux préparatoires aux contrats de plan
Etat-Région 2000-2006.
4
Rapport pour 1998, page 140.
5
Cf. par exemple la lettre de mission du 2 février 1998 de
Mme VOYNET, ministre de l'Aménagement du territoire et de
l'Environnement, à M. CHÉRÈQUE.
6
En écho aux qualifications successives du plan national
comme une " ardente obligation " par le général DE
GAULLE, puis comme une " ardente ambition " par Michel ROCARD, alors
ministre du Plan et de l'Aménagement du territoire, la circulaire du
Premier ministre du 31 mars 1992 évoquait en ces termes les
troisièmes CPER.
7
Parmi lesquelles les rapports précités de M.
CHÉRÈQUE (1998) et de la Cour des Comptes (1998), ainsi que les
rapports présentés au Conseil Economique et social par Mme
Jacqueline MENGIN (" Développement local et politiques
d'aménagement du territoire ", octobre 1998) et par M. Jean BILLET
(" Le suivi et la réalisation des contrats de plan dans le cadre de
la planification ", mai 1997).
8
Non publiée au Journal officiel.
9
Cf. par exemple " L'évaluation des nouveaux
CPER ", Henri ISAIA, L.G.D.J., 1999, p.66 : " Sous ces diverses
formes, cette évaluation du processus représenterait un des
aspects les plus intéressants d'une évaluation globale du contrat
de plan Etat-Région. Tenter de l'appliquer, même de façon
limitée...marquerait une avancée importante ".
10
Des questionnaires adaptés ont été
adressés au ministre de l'Emploi et de la Solidarité, au ministre
de la Justice, au ministre de l'Education nationale, de la Recherche et de la
Technologie, au ministre de l'Intérieur, au ministre de la
Défense, au ministre de l'Equipement, des Transports et du Logement, au
ministre de la Culture et de la Communication, au ministre de l'Agriculture et
de la Pêche, au ministre de l'Aménagement du territoire et de
l'Environnement, au ministre de la Jeunesse et des Sports, au ministre
délégué à la Ville, au secrétaire d'Etat au
Commerce extérieur, au secrétaire d'Etat au Budget, au
secrétaire d'Etat aux Petites et moyennes entreprises, au Commerce et
à l'Artisanat, au secrétaire d'Etat à l'Industrie et au
secrétaire d'Etat au Tourisme.
11
Alsace, Aquitaine, Auvergne, Bourgogne, Bretagne, Centre, Corse,
Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Lorraine,
Basse-Normandie, Haute-Normandie, Pays de la Loire, Picardie, Poitou-Charentes
et Rhône-Alpes.
12
Certaines Régions, notamment parmi celles qui
étaient en négociations avec l'Etat au moment où elles
répondaient au questionnaire, ont souhaité que leurs
appréciations ne puissent leur être précisément
imputées. De manière générale, les citations
reproduites dans ce rapport ne mentionnent donc pas la Région
correspondante.
13
Certaines Régions regrettent ainsi que les fonctionnaires
de la DATAR chargés de la rédaction de ces circulaires ne se
soient pas assez rendus " sur le terrain ".
14
Rapport 1998, p. 140.
15
Parmi les documents transmis à votre rapporteur, les
contrats de plan pour la Région Auvergne et pour la Région
Rhône-Alpes constituent ainsi des exceptions.
16
Notons que c'est pourtant l'article 12 de la loi
précitée (et non l'article 11) qui évoque la portée
des contrats de plan.
17
La plupart des deuxièmes contrats de plan avaient
été signés avant même l'élaboration des
" plans régionaux ".
18
Cf. la circulaire du 31 mars 1992.
19
Rapport précité, p. 70.
20
Réponse à la question n°6.
21
Assez irréaliste, ce principe a été assoupli
pour la préparation des CPER 2000-2006.
22
Cf. M. Pontier, Revue du droit public, 1993, p. 675.
23
Rapport précité, p. 2.
24
Réponse à la question n°1.
25
Cf. réponse à la question n°1.
26
Cf. réponse à la question n°6.
27
Cf. le rapport précité, p. 23.
28
Cf. la réponse à la question n°5, relative aux
marges de manoeuvre des préfets.
29
Cf. réponse à la question n°4.
30
Cf. le rapport précité, p. 140.
31
Cf. réponses aux questions n° 1 et 3.
32
Cf. réponse à la question n°3, cf. l'annexe 4
pour une description plus fine de la procédure.
33
Cf. réponses aux questions n°1 et 2.
34
Le ministère de l'Industrie indique avoir
élaboré ses propositions sur la base notamment " des suivis
et évaluations des procédures mises en oeuvre dans les CPER
précédents ".
35
Cf. la réponse à la question n°26.
36
Source : réponses de la Région Bretagne.
37
Cf. réponses de la Région Picardie.
38
Source : réponses de la Région Lorraine.
39
Rapport précité p. 18.
40
Cf. notamment le rapport précité de M. Jean BILLET
pour le Conseil économique et social, 1997, p. 34.
41
Cf. notamment " 1994-1998, les contrats de plan
Etat-Région ", Michèle CASCALES, Revue française de
finances publiques, 1995.
42
Cf. " Décentralisation et contractualisation en
région Picardie ", Myriam BACHIR, contributions à la
journée d'études de l'Institut de la Décentralisation du
13 septembre 1999, pp. 90-91.
43
Rapport précité, p. 30.
44
Cf. réponse à la question n°11.
45
Cf. réponse à la question n°9.
46
Cf. Interrégion n°221, novembre-décembre 1998.
47
Selon la réponse de la DATAR à la question
n°11 " En dépit des efforts faits par l'Etat, la
négociation n'avait pas été considérée comme
équilibrée ".
48
Cf. réponse à la question n°4.
49
Par exemple 61 % en Bretagne, 71 % en Pays de la Loire et en
Picardie, 75 % en Languedoc-Roussillon.
50
Cf. réponse à la question n°10.
51
Dans certains cas, les projets préparés par les DDE
intéressaient d'ailleurs beaucoup plus les Départements que les
Régions.
52
Rapport pour 1998, p. 143.
53
Rapport précité, p. 37.
54
Cf. "1994-1998, les Contrats de plan Etat-Région ",
Michèle CASCALES, Revue Française de Finances Publiques, 1995, p.
152.
55
Cf. le contrat de plan pour l'Alsace, p. 57.
56
Le coût final de certains projets routiers, notamment en
zone urbaine, a pu tripler par rapport à l'estimation initiale.
57
Cf. " Réflexions pour servir à
l `élaboration d'une nouvelle génération de
CPER ", Gérard MONÉDIAIRE, in Pouvoirs locaux n°41,
1999.
58
Cf. rapport précité, p. 27.
59
Cf. réponse à la question n°10, relative au
noyau dur.
60
Cf. réponse n°13 du ministère de la Ville.
61
Cf. réponse du ministère du Commerce
extérieur à la question n°5.
62
Cf. réponse du ministère de l'Agriculture à
la question n°23.
63
Cf. réponse du ministère du Commerce
extérieur à la question n°25.
64
Cf. à cet égard les conclusions du rapport
précité de Mme MENGIN pour le Conseil économique et
social,1998, p. 24.
65
Cf. rapport précité, p. 19.
66
Cf. l'opinion de M. Martin MALVY, Président de la
Région Midi-Pyrénées, in Interrégions n°221,
novembre 1998, p. 20.
67
Cf. Jean-louis DESTANDEAU, in Pouvoirs locaux n°41, 1999.
68
Cf. " Contractualisation et planification ", Jean-Marie
PONTIER, Revue de Droit Public, 1993, n°3.
69
Cf. " La coopération contractuelle en Europe ",
Gérard MARCOU, in Pouvoirs locaux n°35, 1999.
70
Cf. " La coopération contractuelle en Europe ",
Gérard MARCOU, in Pouvoirs locaux n°35, 1999.
71
Cf. ibid.
72
Cf. sur ce point " Contrats et accords entre les
régions et les collectivités locales : l'expérience
italienne ", Leonardo ZANETTI, in " Décentralisation et
contractualisation, clarifier les règles du jeu ", contributions
à la journée d'études du 13 septembre 1999
co-organisée par l'Institut de la décentralisation et la
Région Nord Pas de Calais.
73
Cf. ibid.
74
Cf. " La contractualisation de la
société ", Alain SUPIOT, Conférence du 22
février 2000 à l'Université de tous les savoirs
organisée par le CNAM, extrait reproduit dans Le Monde du 7 mars
2000.
75
P. 8.
76
P. 6.
77
Cf. " La contractualisation de la
société ", Alain SUPIOT, Conférence du 22
février 2000 à l'Université de tous les savoirs
organisée par le CNAM, extrait reproduit dans Le Monde du 7 mars
2000.
78
Cf. Contrat de plan 1994-1998 pour la Bretagne.
79
Cf. contrat de plan pour la Bretagne.
80
Cf. contrat de plan pour le Languedoc-Roussillon.
81
Cf. contrat de plan pour la Franche-Comté.
82
Cf. contrat de plan pour la Bourgogne.
83
Cf. contrat de plan pour la Bretagne.
84
Cf. l'avis du Conseil économique et social du 28 octobre
1998 " Développement local et politiques d'aménagement du
territoire ".
85
Cf. rapport précité, p. 141.
86
Cf. réponse n°6 du ministère de la
Défense.
87
Cf. réponses du ministère de la Jeunesse et des
Sports.
88
Cf. la lettre de mission du 2 février 1998 de Mme VOYNET,
ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement, à
M. CHEREQUE.
89
Cf. les commentaires de M. Michel SAPIN, alors Président
de la Région Centre, in Interrégions n°221, p. 11.
90
Cf. les commentaires de M. Alain LE VERN, Président de la
Région Haute-Normandie, in Interrégions n°221, p. 24.
91
Cf. les commentaires de M. Adrien ZELLER, Président de la
Région Alsace, in Interrégions n°221, p. 5.
92
Cf. Rapport public 1998, p. 137.
93
Cf. les suggestions de M. Adrien ZELLER, Président de la
Région Alsace, in Interrégions n°221, p. 5.
94
Cf. contrat de plan pour la Bourgogne.
95
Cf. rapport pour 1998, p.138.
96
Cf. rapport pour 1998, p.137.
97
Les règles communautaires reposent sur le respect de deux
critères :
- un critère formel, celui de la notification préalable de
l'aide ou du régime d'aide à la Commission par l'Etat
membre : toute aide conforme au droit national actuel est ainsi
supposée notifiée, puisque celui-ci est supposé l'avoir
été. Inversement, toute aide attribuée par une
collectivité locale en violation du droit national est " non
notifiée ", donc non conforme au droit communautaire, sauf
dérogation expresse préalable ;
- un critère économique : le cumul des aides publiques, y
compris les aides " indirectes ", comme la mise à disposition
de terrains pour des prix inférieurs à ceux du marché, ne
doit pas dépasser certains plafonds.
98
Cf. le rapport d'information du Sénat n°288, relatif
aux contrats de plan Etat-Région, 1992.
99
Cf. " Le contrat de plan Etat-Région est-il un outil
de programmation pluriannuelle ? ", Michèle CASCALES, in revue
Française de Droit administratif, 1998.
100
Cf. Contrat de plan 1994-1998 pour la Bretagne.
101
Cf. Contrat de plan 1994-1998 pour Rhône-Alpes.
102
Cf. avis du 13 mai 1997, p. 7.
103
Certains contrats comportent malgré cela des dispositions
visant à en faciliter le suivi, par exemple :
- le contrat de plan pour la Lorraine stipulait que "
les
crédits d'Etat mobilisés dans le présent contrat feront
l'objet d'un suivi technique spécifique en liaison avec le
Trésorier payeur général de région et d'une
identification particulière destinée à permettre un suivi
précis des engagements et des paiements
" ;
- de même le contrat de plan pour la Bretagne disposait que
"
pour faciliter la tâche du comité régional [de
suivi], les signataires s'engagent à mettre en oeuvre tous moyens,
notamment ceux d'une
codification informatique
exhaustive et
concordante, permettant d'extraire de leur comptabilité les informations
nécessaires au suivi de l'exécution du contrat de
plan
".
104
Rapport pour 1998, page 148.
105
Rapport pour 1998, page 148.
106
Cf. Rapport public pour 1998. p. 146.
107
Cf. rapport précité, p. 22.
108
Cf. entretien au Journal Le Monde du 24 juillet 1999.
109
En réponse à la question n°9.
110
Cf. rapport pour 1998, p. 146.
111
Cf. " Les contrats de plan Etat-Région ", P.
CHAIN, in Regards sur l'actualité, novembre 1995.
112
Anciens comptes nationaux, et sur la base d'une estimation de
croissance de 2,9 % pour 1999.
113
Cf. réponse à la question n°6.
114
Cf. L'actualité juridique - Droit administratif, 20
février 1988, p. 140.
115
Cf. La Revue administrative, mars-avril 1988, p. 143.
116
Ou selon l'arrêt du Conseil d'Etat du 17 novembre 1995,
Commune de Théziers et autres
.
117
Cf. " Les incertitudes de la force juridique des contrats
de plan ", Y. MADIOT, in Revue française de droit administratif,
mars-avril 1997, p. 345.
118
Cf. " La notion de contrat de plan Etat-Région et
les responsabilités encourues par les parties ", L. LALLIOT,
in " Décentralisation et contractualisation, clarifier les
règles du jeu ", contributions à la journée
d'études du 13 septembre 1999 coorganisée par l'Institut de la
décentralisation et la Région Nord - Pas de Calais.
119
Communiqué à votre rapporteur par le Conseil
régional.
120
Cf. " La coopération contractuelle en Europe ",
G. MARCOU, in Pouvoirs locaux n°41, 1999.
121
Cf. " Les incertitudes de la force juridique des contrats
de plan ", Y. MADIOT, in Revue française de Droit administratif,
mars-avril 1997.
122
Cf. " Contractualisation et planification ",
Jean-Marie PONTIER, in Revue du Droit Public, n°3, 1993.
123
Cf. la circulaire du Premier ministre du 31 mars 1992.
124
La DATAR n'a pas transmis d'évaluation précise
à votre rapporteur.
125
Cf. allocution du 13 octobre 1999 lors du 69ème
congrès de l'Assemblée des départements de France.
126
Selon certaines Régions, les relations entre les
préfets et les exécutifs locaux connaîtraient d'ailleurs un
cycle lié à la procédure de contrat de plan,
c'est-à-dire qu'elles se dégraderaient progressivement au cours
des négociations, avant de devenir emphatiques peu après la
signature des contrats, puis de s'assoupir lors de leur exécution.
127
Cf. " Aides économiques régionales et
développement durable ", R. ROMI et B. TOMASI, in Les petites
affiches, 24 janvier 1996.
128
Rapport pour 1998, p. 146.
129
Cf. " Décentralisation et contractualisation en
région Picardie ", M. BACHIR, contribution à la
journée d'études du 13 septembre 1999 coorganisée par
l'Institut de la décentralisation et la Région Nord-Pas-de-Calais.
130
Le ministère de la Ville souligne toutefois que
" l'Etat a mené au cours des dernières années des
efforts soutenus de clarification et de simplification. La mise en oeuvre du
Fonds interministériel à la ville (FIV) notamment a tenté
de simplifier la gestion locale des crédits en
" fongibilisant " les crédits de diverses origines et en
affirmant le rôle du préfet comme animateur et coordonnateur de
l'interministériel. Si cet outil s'est heurté au début de
sa mise en oeuvre aux réticences de nombreuses administrations
centrales, il est aujourd'hui largement reconnu comme un progrès
incontestable dans la gestion de la politique de la ville. Pour autant, des
progrès sont encore réalisables tant dans la mutualisation que
dans la maîtrise des règles comptables. Ceux ci sont
réalisés dans la loi de finances pour 2000 qui, en dehors des
crédits du ministère de la Culture, a inscrit en base ceux des
autres ministères concourant à la politique de la ville ".
131
En vertu du principe " d'additivité ", l'Union
européenne n'alloue des subventions à un projet dans le cadre des
fonds structurels que si les subventions communautaires sont adossées
à des financements nationaux au moins équivalents, que l'on
qualifie de " contreparties nationales ".
132
Cf. rapport précité, p. 65.
133
Actuellement, le préfet de région préside
les comités de programmation des fonds structurels, et donc
sélectionne les projets de cofinancements européens qu'il juge
conformes au DOCUP établi par ses services et approuvé par ceux
de la Commission.
134
Cf. ainsi les propositions, dans Interrégions n°221
de novembre-décembre 1998, de M. Alain ROUSSET, Président de la
Région Aquitaine, de M.. Alain LE VERN, Président de la
Région Haute-Normandie et de M. Jean-Pierre RAFFARIN, Président
de la Région Poitou-Charentes.
135
Cf. Les échos du 6 mars 1998.
136
Cf. rapport pour 1998, pp.145-146.
137
A priori, ces deux aspects ne sont nullement
contradictoires : le rapport CHEREQUE rappelait ainsi que l'exercice de
compétences bien identifiées n'interdit aucunement leur
complémentarité, par exemple entre l'emploi et la formation
professionnelle.
138
Cf. l'Avis du Conseil économique et social des 27 et 28
octobre 1998, p. 29.
139
Cf. rapport précité, p. 63.
140
Cf. bulletin Quotidien du 14 octobre 1999.
141
Cf. Rapport pour 1998, pp. 145-146.
142
Id. p. 155.
143
Cf. " La contractualisation des actions et des moyens
publics d'intervention ", M. HECQUARD-THERON, in L'actualité
juridique - Droit administratif, 20 juin 1993.
144
P.32.
145
Cf. rapport précité, pp. 30-31.
146
C'est-à-dire les dépenses de Formation brute de
capital fixe (FBCF).
147
Source : Rapport économique, Social et Financier
annexé au projet de loi de finances pour 2000, pp. 303 à 306.
148
Rapport public 1998, p.146.
149
En fait, ces crédits, correspondant notamment aux
programmes routiers dits " d'accélération ",
étaient hors contrats de plan.
150
Rapport pour 1998, p. 142.
151
En fait, comme le précise la DATAR, l'Etat ne prend en
charge que 33 % des routes nationales parallèles aux autoroutes.
152
Cf. Rapport public pour 1998.
153
Cf. Allocution du 12 mai 2000 devant les élus de la
région Auvergne.
154
Cf. Rapport public pour 1998, p. 142.
155
Cf. " 1994-1998, les contrats de plan
Etat-Région ", M. CASCALES, in Revue française de finances
publiques, 1998.
156
Cf. " Le suivi et la réalisation des contrats de
plan dans le cadre de la planification ", Avis du Conseil
économique et social du 13 mai 1997.
157
Selon le ministère de la Culture, " la
procédure de contrat de plan contribue [ainsi] au
rééquilibrage des charges qui pèsent le plus souvent sur
les grandes villes et les villes moyennes qui supportent l'essentiel de la
dépense publique en matière culturelle ".
158
Cf. " Les contrats de plan Etat-Régions ", P.
CHAIN, in Regards sur l'actualité, novembre 1995.
159
Cf. rapport précité, p.31.
160
Cf. notamment " Les contrats de plan Etat-Régions
1994-1999 : analyse comparée des méthodes et des pratiques
d'évaluation ", C. DAVID et P. CLAUZADE, note du Commissariat
général du Plan, mars 2000.
161
En Auvergne, l'Etat avait prévu 970 000 francs pour
l'évaluation, soit 0,05 %, (et non 0,06 %) de ses engagements
contractualisés, qui s'élevaient à 1,855 milliards de
francs selon la DATAR.
162
" Les contrats de plan Etat-Région 1994-1999 :
analyse comparée des méthodes et des pratiques
d'évaluation ", Céline DAVID et Patricia CLAUZADE, note du
Commissariat général du Plan, mars 2000.
163
Le coût annuel d'un fonctionnaire de catégorie A
dont le salaire net, primes comprises, s'établit à 15 000 francs
par mois, est de l'ordre de 300 000 francs par an, si l'on prend en compte le
coût réel des pensions pour l'Etat-employeur. Cela correspond, sur
la base d'une durée annuelle du travail effectif de 1800 heures,
à un coût horaire de 166 francs, soit 333 francs pour une
réunion de deux heures, auxquels il faut ajouter les temps de transport
et de préparation de la réunion.
164
Intervention citée dans " L'évaluation des
nouveaux contrats de plan Etat-Région (2000-2006) ", Henry
ISAIA, éditions L.G.D.J., 1999, p.28.
165
Cf. aussi " Décentralisation et
contractualisation ", G. MONEDIAIRE et S. DUROUSSEAU, in
" Décentralisation et contractualisation, clarifier les
règles du jeu ", contributions à la journée
d'études du 13 septembre coorganisée par l'Institut de la
Décentralisation et la Région Nord-Pas-de-Calais, p. 63.
166
Cf. " Pour une contractualisation équitable et
solidaire ", in Pouvoirs locaux n°41 II/1999, p.33.
167
Selon les informations transmises à votre rapporteur, les
derniers arbitrages relatifs à cette circulaire ont eu lieu à la
fin du mois de février 2000. Quatre mois plus tard cette circulaire
n'est néanmoins toujours pas parue.
168
S'agissant plus particulièrement de la politique de la
ville, le ministère de la Ville indique ainsi que " La D.I.V., en
association avec l'INSEE et certains ministères, s'est engagée
dans la constitution d'un outil statistique adapté, comportant notamment
les éléments suivants :
- une exploitation du recensement de la population de 1990 sur le
périmètre des zones urbaines sensibles disponibles sur la France
entière ;
- une exploitation du fichier des demandeurs d'emploi sur les zones de
redynamisation urbaine disponible sur certaines régions (il est
prévu de la compléter pour obtenir un échantillon valable
sur la France entière) ;
- certaines enquêtes des services statistiques des ministères
prenant en compte les périmètres des sites des politiques de la
ville (enquêtes sur l'occupation des logements sociaux et des emplois
aidés notamment) ;
- des tableaux de bord régionaux de la politique de la ville
(déjà opérationnels dans certaines régions :
Centre, Rhône-Alpes, Franche-Comté, Haute-Normandie...).
De manière plus générale, l'INSEE a prévu une
diffusion des données standard du recensement de 1999 sur le
périmètre de quartiers homogènes de 2000 habitants environ
(données disponibles à partir de juin 2000). L'INSEE s'engage
progressivement à mettre à disposition, au niveau de ces
quartiers, les données issues du traitement de grands fichiers
administratifs (impôt sur le revenu, Caisses d'allocations familiales,
ANPE).
Enfin, l'INSEE prévoit de modifier radicalement la méthode du
recensement de la population. Celui-ci s'effectuerait dorénavant en
continu tous les ans et utilisera une méthode de sondage. Par ce
système, l'INSEE assurerait un accès à des données
fiables au niveau infracommunal tous les cinq ans au maximum. "
169
Cf. Rapport public pour 1998, pp. 149-150.
170
Cf. rapport précité, p.19 et p.24.
171
Cf. Les Echos du 14 janvier 1999.
172
En réponse aux observations de la Cour des Comptes, in
Rapport public pour 1998, p.154.
173
Sauf précision contraire, toutes les citations qui
suivent sont extraites des deux circulaires précitées.
174
Par ailleurs, lorsqu'une agglomération
bénéficiera d'un contrat de ville, celui ci sera à son
tour intégré au contrat d'agglomération.
175
Cf. discours du Premier ministre à l'occasion du CIADT
d'Arles du 23 juillet 1999.
176
Cf. Rapport public pour 1998, p. 162.
177
Cf. discours du Premier ministre à l'occasion du CIADT
d'Arles du 23 juillet 1999.
178
Cf. réponse du ministre de l'Intérieur au Rapport
public de la Cour des Comptes pour 1998, p. 155.
179
Source DATAR, Hors DOM-TOM et telles que réparties lors
du CIADT d'Arles, c'est à dire hors enveloppes supplémentaires.
180
Cf. réponses de la ministre aux observations de la Cour
des Comptes, in Rapport public pour 1998, p. 162.
181
Cf.
Bulletin quotidien
du 19 mai 2000.
182
Cf. par exemple les commentaires de M. Michel DELEBARRE,
Président de la Région Nord-Pas-de-Calais, lors de son audition
du 19 janvier 2000 par la Délégation du Sénat
à l'Aménagement et au Développement durable du Territoire.
183
Cf.
Le Monde
du 14 septembre 1999.
184
Selon le ministère de la Justice : " plusieurs
thèmes prioritaires de contractualisation ont été retenus
pour la période 2000-2006 :
- assurer la cohérence de l'implantation des structures du
ministère et tout particulièrement des établissements
relevant de la protection judiciaire de la jeunesse ;
- améliorer la prise en charge des publics Justice :
détenus, probationnaires, jeunes délinquants et mineurs en
danger :
- développer la justice de proximité, notamment au travers des
conseils départementaux de l'accès au droit, des maisons de
justice et du droit et du réseau associatif d'aide aux victimes ;
- participer aux actions de prévention des expulsions et de
règlement des difficultés juridiques rencontrées dans le
domaine de l'accès au logement ;
- améliorer la formation des personnes intervenant dans le champ de la
Justice ".
185
186
Cf.
le Monde
du 24 juillet 1999.
187
Le terme est emprunté au rapport précité de
M. CHÉRÈQUE.
188
Cf. " La contractualisation des politiques publiques,
étude bibliographique ", J. VALLUY, in
" Décentralisation et contractualisation, clarifier les
règles du jeu ", contributions à la journée
d'études organisée le 13 septembre 1999 par l'Institut de la
décentralisation et la Région Nord-Pas-de-Calais.
189
C'est précisément ce que l'arrêt du Conseil
d'Etat " Association Estuaire-Écologie " a
récusé pour les contrats de plan Etat-Régions en France.
190
Cf. Rapport public pour 1998, p. 137.
191
Rapport public 1998, p. 141.
192
Rapport public 1998, p. 141.
193
Rapport public 1998, p. 141.
Les troisièmes contrats de plan Etat-régions (1994-1999): une ambition inachevée
Rapports d'information
Rapport d'information n° 446 (1999-2000), déposé le