1
C'est-à-dire d'origine humaine.
2
Source : ministère de l'Industrie.
3
Rapport de l'atelier " Quelle politique pour la
France ", p. 70.
4
Source OCDE " Réchauffement planétaire ",
1995.
5
Le pouvoir de réchauffement de ces gaz est très
variable : le " forçage radiatif " des CFC est ainsi
plusieurs milliers de fois supérieur à celui du CO
2
.
6
Par convention, le " forcage radiatif " de l'ensemble
des gaz à effet de serre est rapporté à celui du
CO
2
. Par ailleurs, les émissions sont le plus souvent
exprimées en tonnes d'équivalent carbone (il y a 1 tonne de
carbone dans 3,66 tonnes de CO
2
).
7
partie par million en volume = 1 cm
3
par
m
3
d'air.
8
Cf. " Energie 2010-2020, rapport de l'atelier Les
défis du long terme ", Commissariat général du Plan,
1998.
9
Cf. " Impacts potentiels du changement climatique en France
au XXème siècle ", rapport de la Mission
interministérielle de l'effet de serre (MIES), novembre 1998.
10
Source GIEC (1995).
11
Il s'agit d'un phénomène déjà connu
à petite échelle entre 1968 et 1974, et lié à la
hausse de la pluviosité sur le Canada et l'Arctique.
12
Le succès de la maîtrise des émissions de
gaz à effet de serre dépendra ainsi très largement du mode
de croissance de la Chine et de l'Inde : si les Chinois et les Indiens
consomment à l'avenir autant d'énergie que les Américains
d'aujourd'hui, les émissions mondiales de gaz à effet de serre
seront multipliées dans des proportions considérables.
13
Cet ordre de grandeur est supérieur au ralentissement de
la croissance (de l'ordre de 0,01 % à 0,05 % par an selon des
simulations l'OCDE) qui pourrait résulter dans les pays
industrialisés de la mise en oeuvre et du prolongement du protocole de
Kyoto. Ces chiffres ne sont néanmoins pas directement comparables.
L'estimation des dommages résulte en effet de l'addition de coûts
microéconomiques, dont l'impact sur la croissance économique
telle que mesurée par le PIB est incertain : une catastrophe
naturelle peut ainsi accélérer le PIB à court terme (en
stimulant la construction notamment), même si elle réduit le
bien-être de la population et freine la croissance à long terme. A
l'inverse, l'évaluation des coûts du protocole de Kyoto
résulte de l'utilisation de modèles macroéconomiques, et
ces coûts seraient cumulatifs. Par ailleurs, le respect durable du
protocole de Kyoto ne ferait qu'infléchir légèrement le
changement climatique, c'est-à-dire en réduirait peu les dommages.
14
Le GIEC souligne toutefois "
qu'il arrive que des
subventions soient créées et que les distorsions dans les
structures de prix soient maintenues en raison de considérations
sociales et pour des motifs de répartition, ce qui en rend difficile
l'élimination
".
15
D'après " Energie 2010-2020, rapport de l'atelier
les défis du long terme ", Commissariat général du
Plan, 1998.
16
1 tonne de CO
2
= 0,273 tonne d'équivalent
carbone
17
D'après " Energie 2010-2020 ", Rapport de
l'atelier " Les défis du long terme ", Commissariat
général du plan, 1998, pp. 79-80.
18
Par exemple, la mise en oeuvre d'une taxe sur le CO
2
d'un montant de 800 F/tonne de carbone, compensée par des
allégements de charges sociales, accroîtrait (jusqu'à
2 %) les coûts de production de sept des branches
délimitées par la Comptabilité nationale, tout en
réduisant (jusqu'à 0,75 %) les coûts des 28 autres
branches (cf. " Fiscalité de l'environnement ", rapport du
Conseil d'analyses économiques, 1998, p. 63). A très long terme,
la valeur ajoutée des activités les plus intensives en
énergie pourrait ainsi se ralentir.
19
Si la maîtrise des émissions ralentit la croissance
des pays industrialisés, les pays en développement s'en
trouveront toutefois pénalisés.
20
C'est-à-dire que " l'élasticité
prix " de la consommation d'énergie fossile à 5 ans
serait seulement de - 0,3 en France.
21
Source : " Effets globaux de l'écotaxe
européenne ", Giuseppe NICOLETTI, Joaquim OLIVEIRA-MARTINS, Revue
Economique, mai 1994.
22
Cette date passée a été choisie comme
point de départ de la simulation pour des raisons essentiellement
techniques.
23
C'est-à-dire le ratio consommation d'énergie/
valeur ajoutée : lorsque ce ratio diminue, cela signifie que l'on
utilise moins d'énergie pour la même production, donc que
l'efficacité énergétique s'améliore.
24
" Fiscalité et environnement ", 1998, p .
22.
25
" Le prix implicite " de ces émissions
résulte des prix des différentes énergies.
26
Rapport du Sénat n° 439, 1998.
27
Cf. la proposition de directive du Conseil du
30 juin 1992 visant à instaurer une taxe sur les
émissions de dioxyde de carbone et sur l'énergie.
28
On peut d'ailleurs remarquer qu'entre 1984 et 1994,
"
pour une augmentation de 7 % du salaire net médian en
francs constants, les taxes sur le supercarburant ont augmenté de
12 %, mais elles ont baissé pour les utilisateurs de sans plomb et
de diesel (- 8 %), qui constituent les carburants dominants, tandis
que l'écart entre le salaire brut et le salaire net croissait de
26 %
" (cf. Conseil d'analyses économiques, " La
fiscalité environnementale ", 1998, p. 58).
29
C'est-à-dire si l'évolution des salaires est
supposée s'infléchir par rapport aux comportements
observés dans le passé.
30
En sens inverse, les taxes sur le CO
2
présentent un effet vertueux que ces résultats ne prennent
guère en compte : en présence d'incertitudes sur les
débouchés et de rigidité de l'emploi, des taxes assises
sur l'énergie, facteur de production flexible, sont
a priori
plus
favorables à l'emploi et à la croissance, à recette
budgétaire moyenne constante. En effet, les taxes sur l'énergie
sont bien corrélées au cycle des affaires (leur poids diminue
lorsque la production baisse), alors que cela n'est pas le cas des charges
sociales (l'emploi ne s'ajustant pas instantanément à la
production, le coût des charges sociales pour les entreprises est
proportionnellement plus important lorsque l'activité est ralentie). Au
contraire des écotaxes, les charges sociales incitent donc les
entreprises à licencier davantage lorsque la conjoncture est ralentie,
et les dissuadent d'embaucher lorsque la reprise est peu assurée. Au
total, remplacer des cotisations sociales par une écotaxe
transfère le risque lié aux aléas de la conjoncture des
entreprises vers les finances publiques (les recettes d'une écotaxe
seraient plus volatiles), ce qui améliore le bien-être
général, car le Trésor public est moins fragile (donc
moins averse au risque) que les entreprises.
31
En théorie, ces pertes de compétitivité
pourraient être compensées par des taxes à l'importation ou
des détaxes à l'exportation. En pratique, la mise en oeuvre de
ces mesures serait toutefois problématique, car il est difficile de
déterminer le contenu en énergie des biens et services
échangés, c'est-à-dire l'assiette de la taxe ou le montant
de la détaxe.
32
La Suède a aussi mis en place une taxe de
0,653 F/litre d'essence et de 0,8 F/litre de diesel, ce qui, selon le
Conseil d'analyse économique, équivaut, après exemptions,
à une taxe d'environ 600 F/tonne de carbone. Le prix des produits
pétroliers domestiques s'est ainsi accru de 10 à 15 %,
favorisant notamment le développement de la cogénération.
33
Ainsi, dans une moindre mesure, qu'à l'Espagne, riche en
électricité hydraulique.
34
Cet avantage aurait été à
double
tranchant
. En effet, la France émettant pour les mêmes raisons
moins de CO
2
, le produit d'une taxe harmonisée assise sur le
CO
2
aurait été proportionnellement beaucoup moins
élevé en France qu'en Allemagne, en Italie ou au Royaume-Uni, si
bien que les allégements de charges permis par l'instauration de
l'écotaxe auraient été également moins importants.
Au total, le "
double dividende
" escompté de la
réforme fiscale aurait été plus faible en France que dans
les autres pays européens.
35
Cf. " Les permis d'émission négociables et la
lutte contre la pollution atmosphérique ", Olivier GODARD,
Séminaire Économie de l'environnement du Commissariat
général du Plan. 14 octobre 1998.
36
Cf. " Le commerce de permis d'émission de gaz
à effet de serre et les enjeux de la concurrence industrielle
internationale ", Olivier GODARD, À paraître dans le cadre du
colloque " Réforme fiscale verte et instruments économiques
pour une coopération internationale : le contexte
post-Kyoto ", organisé par le ministère de l'Environnement.
Université de Toulouse, mai 1998.
37 Cf. " Un marché qui sent le soufre ", Fiona MULLINS, in
courrier de la Planète/Global Chance, mars-avril 1998.
38
Cf. " Le marché de permis négociables sur les
émissions de dioxyde de soufre aux Etats-Unis : Quels
enseignements ? " ; Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, note de la
Direction de la Prévison, novembre 1997.
39
Ibid.
40
Cf. " La fiscalité de l'environnement ",
Conseil d'analyses économiques, 1998, p.128.
41
Les centrales thermiques rejetant du SO
2
ont ainsi
dû équiper chaque chaudière d'un dispositif
d'enregistrement en continu.
42
Cf. " Les instruments des politiques de
l'environnement " X. DELACHE et JP. GASTALDO, in Economie et Statistique
n° 258-259, octobre-novembre 1992.
43
La Documentation française, 1998.
44
Ibid.
45
Cf. " Les instruments des politiques de
l'environnement " . X. DELACHE et JP. GASTALDO, in Economie et Statistique
n° 258-259, octobre-novembre 1992.
46
Augmenter l'efficacité des moteurs n'engendre toutefois
par une baisse proportionnelle des émissions : les consommateurs
peuvent en effet profiter de la baisse du coût au kilomètre pour
voyager plus, acheter une plus grosse cylindrée ou choisir des
équipements de confort qui consomment beaucoup d'énergie, comme
la climatisation.
47
Commissariat général du Plan, 1998,
résumé du rapport, p. 3.
48
Ibid. p. 122.
49
Source : " Energie 2010-2020 ", Commissariat
général du Plan, 1998.
50
Entre les pays concernés, c'est-à-dire les pays
industrialisés + l'Inde et la Chine.
51
Cf. " Réchauffement planétaire ", OCDE,
1995.
52
" Le réchauffement planétaire ", 1995.
53
Cf. " La fiscalité environnementale ", Conseil
d'analyses économiques, 1998, p. 98.
54
CO
2
, méthane, N
2
O, HFC, CFC,
SF
6
.
55
En fait, au choix par rapport au niveau de 1990 ou au niveau de
1995 pour les HFC, PFC et le SF
6
.
56
Un sort particulier est toutefois fait aux pays pour lesquels
les changements d'utilisation des sols (urbanisation, déforestation)
constituaient une source nette d'émissions en 1990 : ces parties
calculeront leurs émissions globales d'origine, en tenant compte des
émissions dues aux changements d'affectation des sols en 1990.
57
En signant le protocole, les pays en développement ont
toutefois accepté implicitement ces quotas.
58
Cf. " Énergie 2010-2020, rapport de l'Atelier le
contexte international " Commissariat général du Plan, 1998.
59
Il s'agit là d'un objectif moitié moins
contraignant que les engagements pris à Kyoto par les pays
industrialisés.
60
in " La fiscalité de l'environnement ", 1998.
p. 110.
61
Cf. " Changement climatique - vers une stratégie
communautaire post-Kyoto ", Communication de la Commission au Conseil et
au Parlement européen, COM(98)353 du 3 juin 1998, p. 21.
62
Cf. " Les instruments des politiques internationales de
l'environnement : la prévention du risque climatique et les
mécanismes de permis négociables ", Olivier GODARD et Claude
HENRY, in " La fiscalité de l'environnement ", rapport du
Conseil d'analyses économiques, 1998, p. 136.
63
Cf. ibid.
64
ibid, pp. 109-110.
65
Cf. dossier de presse réalisé par la Mission
interministérielle de l'effet de serre, à l'occasion d'une
conférence de presse du 16 octobre 1998.
66
Les économistes parlent alors " d'aléa
moral ".
67
Cf. " Le réchauffement planétaire ",
OCDE, 1995, p. 51.
68
Cf.
Les Échos
, 10 mars 1999.
69
Sur la base d'un prix du permis d'émission de 50 à
200 $/tonne de carbone.
70
" Hot Air ".
71
Cf. " Les permis négociables et la convention sur le
climat ", Olivier GODARD, in Revue de l'énergie, octobre 1997.
72
Ibid.
73
Cf. " La lutte contre l'effet de serre : la raison des
règles et les règles de la raison ", Nathalie
KOSCIUSKO-MORIZET et Henri LAMOTTE, document de travail de la Direction de la
prévision, octobre 1998.
74
105 millions de tonnes (objectif de Kyoto) x 5 %.
75
Il est par ailleurs indispensable de conserver en appoint des
centrales électriques au gaz ou au fuel, car leur mise en route pour les
périodes de pointe est beaucoup plus aisée que celle des
centrales nucléaires.
76
Cf. Rapport " Énergie 2010-2020 ", 1998.
77
Compte tenu des évolutions défavorables de
l'efficacité énergétique et des émissions de
CO
2
en 1997-1998, cet objectif devrait en outre être
aujourd'hui réévalué.
78
p. 166.
79
Cf. " Effet de serre : la controverse sur
l'échange international de quotas d'émission ", Olivier
GODARD, in Transversale Science/Culture, novembre-décembre 1998.
80
67 % des efforts de réduction doivent donc
résulter de mesures nationales. Ce plafonnement est beaucoup moins
restrictif que celui envisagé par l'Union européenne.
81
A Kyoto, la Russie et l'Ukraine ont en effet obtenu un objectif
d'émissions pour 2008-2012 qui serait de 90 à 150 millions
de tonnes supérieur à leurs projections d'émissions
à cette échéance dans un scénario " au fil de
l'eau ".
82
Cf. L'énergie dans le monde d'ici à 2020 :
perspectives et défis ", Maria AEGIRI et Fatih DIROL, Agence
Internationale de l'Energie, in L'Observateur de l'énergie,
n° 215, janvier 1999.
83
Cf. Note de la Direction de la Prévision du
20 août 1998.
84
Soit l'équivalent de 2 à 24 centimes par
litre de carburant, si ce coût était intégralement
répercuté sur les consommations de véhicules automobiles
et utilitaires légers.
85
Plaidoyer d'Olivier GODARD in Transversales Science/culture,
novembre-décembre 1998.
86
In " Le réchauffement planétaire ",
OCDE, 1995.
87
Cf. " contribution de la direction de la Prévision
pour la conférence de Kyoto ", direction de la Prévision,
1997.
88
" La maîtrise de l'énergie ", La
documentation française, 1998.
89
" Energie 2010-2020 ", Rapport de l'atelier
" Quelle politique énergétique pour la France ",
Commissariat général du Plan, 1998.
90
Ibid., note de Laurent GUILLOT (Direction de la
Prévision), p. 147.
91
Ibid, résumé, p. 3.
92
Ibid, p. 84.
93
Dans le cadre de l'exercice prospectif 2010-2020, le
Commissariat général du Plan a construit trois images du futur,
à partir de logiques politiques, économiques et sociologiques
distinctes, supposées assurer une cohérence globale à
chacun des scénarios :
• le scénario " société de marché "
(S1) décrit un futur dans lequel l'Etat réduirait son implication
dans le champ de l'énergie ; ceci suppose que l'énergie ne
soit pas considérée comme un enjeu très important, soit en
termes d'approvisionnement, soit en termes d'impacts sur l'environnement ;
l'énergie deviendrait un bien - presque - comme un autre, en France
comme dans les autres pays ;
• le scénario " Etat industriel " (S2) construit une
image du futur dans laquelle l'Etat intervient pour consolider la place des
industries françaises actives dans le domaine de l'énergie ;
si ce scénario correspond à une logique d'intervention assez
traditionnelle en France, on ne peut pour autant le qualifier de
scénario tendanciel, compte tenu des évolutions de ces
dernières années ;
• enfin, le scénario " Etat protecteur de
l'environnement " (S3) s'inscrit dans un avenir sans doute davantage
contrasté par rapport au passé ; les interventions de l'Etat
portent davantage sur la maîtrise des consommations
d'énergie ; ce scénario supposerait un contexte
européen favorable. Il comporterait notamment l'instauration graduelle
d'une écotaxe européenne, ainsi que des mesures très
ambitieuses en matière d'infrastructure de transport, d'urbanisme, de
rénovation et de réhabilitation de logements. Enfin, l'ensemble
des réglementations relatives aux économies d'énergie
seraient renforcées.
94
A titre d'exemple, il a été estimé que le
TGV Paris-Rennes permettait une économie d'énergie
équivalente à 50 000 tonnes de pétrole par an. Par
surcroît, le TGV substitue au carburant des véhicules de
l'électricité essentiellement nucléaire et hydraulique
(dont la production n'émet pas de CO2), ce qui contribue à la
maîtrise des émissions de gaz à effet de serre.
95
Source : Energie 2010-2020, Rapport de l'Atelier
" Quelle politique énergétique pour la France ",
Commissariat général du Plan, 1998.
96
Ibid.
97
Ibid.
98
A plus long terme, l'accès à ce marché
pourrait être étendu à l'ensemble des producteurs et
importateurs d'énergie primaire, à charge pour eux de
répercuter l'effet de rareté des permis sur leurs prix de vente
aux consommateurs. Cette mesure unifierait le système des permis et la
taxation des émissions diffuses.
99
Rapport du Sénat n° 439, 1997-1998, p . 191.
100
Source : enquête annuelle sur les travaux
d'isolation et de maîtrise de l'énergie réalisée par
la SOFRES pour le compte de l'ADEME.
101
La part des appareils ménagers dans la facture
électrique des ménages est passée de 10 % en 1973 à
près de 40 % aujourd'hui.
102
" La maîtrise de l'énergie ", 1998.
103
" La politique énergétique de la
France : passion ou raison ? ", Rapport du Sénat
n°439, 1997-1998.
104
Agence française de maîtrise de l'énergie
jusqu'en 1991.
105
La Documentation française, 1998.
106
Rapport du Sénat n° 479, 1997-1998.
107
Comme le souligne B. DESSUS, l'amélioration des
techniques d'extraction du pétrole n'accroît pas
indéfiniment les ressources de l'humanité ; elle
accélère seulement le moment où ces ressources seront
épuisées.
108
La Documentation française, 1998, page 290.
109
" L'examen des performances environnementales de la
France ", rapport de l'OCDE commandité par le ministère de
l'Environnement, 1996.
110
Energie 2010-2020 : " Rapport de l'Atelier :
Quelles politiques pour la France ? ", Commissariat
général du Plan, 1998.
111
Le Commissariat général du Plan avait de
même déterminé, dans le cadre du Rapport
" Boîteux " (1994) une valeur de référence
s'imposant aux administrations pour le temps ou les vies humaines
économisés par un projet routier.
112
Cf. Energie 2010-2020, " Rapport de l'Atelier :
quelles politiques pour la France ?", Commissariat général
du Plan, 1998, pp. 86-89.
113
" La politique énergétique de la
France : Passion ou raison ", Rapport du Sénat n° 439,
1997-1998.
114
Ibid.
115
Communiqué du G8 du 5 avril 1998.
Maîtriser les émissions de gaz à effet de serre : quels instruments économiques?
Rapports d'information
Rapport d'information n° 346 (1998-1999), déposé le