1
Les trois autres concernent le
Secrétariat général de la défense nationale (SGDN)
(rapport spécial de M. Michel Moreigne), le Conseil économique et
social (rapport spécial de M. Claude Lise) et le Plan (rapport
spécial de M. Claude Haut) ; le budget des Services
généraux du Premier ministre représente environ 90 % de
l'ensemble de ces crédits.
2
Rapports spéciaux « Communication
audiovisuelle » et « Presse » de M. Claude Belot.
3
Rapport spécial « Fonction publique »
de M. Gérard Braun.
4
Ces mesures nouvelles permettent de compenser pour le secteur de
l'audiovisuel public la diminution des ressources publicitaires (loi n°
2000-719 du 1er août 2000 sur la communication audiovisuelle) par des
recettes publiques supérieures.
5
Selon la Cour, la suppression de 802 emplois nets affichée
par le ministère de l'agriculture ne correspondrait qu'à 2
suppressions effectives, du fait du maintien au sein du ministère de 703
de ces postes et des crédits correspondant, et du transfert d'autres
emplois vers d'autres ministères ou vers des organismes publics.
6
Ce « toilettage » a semble-t-il
été excessif : le « jaune » actuel omet
la mission interministérielle de l'effet de serre, pourtant citée
par le « bleu », et toujours en place.
7
François LOGEROT,
Note à l'attention de Monsieur
le Premier ministre relative au régime des fonds spéciaux
, La
documentation française, octobre 2001.
8
Commission des finances de l'Assemblée nationale, projet de
loi de finances pour 2001, rapport spécial
Premier ministre,
Services généraux, Conseil économique et social, Plan et
journaux officiels
, n°2624, 2000.
9
Jusqu'en 1986, il revenait au chef de l'état-major
particulier du Président de signer le décret permettant
d'abonder, en cours d'année, les fonds spéciaux destinés
à ces opérations. Depuis l'affaire du Rainbow Warrior, le Premier
ministre est seul responsable de la gestion de ces fonds.
10
François Logerot,
Note à l'attention de
Monsieur le Premier ministre relative au régime des fonds
spéciaux
, La documentation française, octobre 2001. L'auteur
précise que les observations et les propositions
présentées dans cette note, qui lui a été
demandée à titre « strictement personnel »,
relèvent de sa seule responsabilité et ne sauraient donc engager
la Cour des comptes.
11
Une telle réforme a été
réalisée dès 1983 pour les membres des cabinets
ministériels relevant du ministère de l'économie et des
finances. En effet, leurs rémunérations accessoires sont
payées depuis cette date uniquement sur crédits
budgétaires et entièrement fiscalisées.
12
Certains continuent de percevoir les indemnités au niveau
antérieur, d'autres sont ramenés à un taux forfaitaire,
d'autres enfin voient leurs indemnités supprimées.
13
Fixée par un décret du 25 avril 1967,
modifié par des décrets du 31 janvier 1984 et du 1
er
juin 1995 (textes non publiés).
14
L'indemnité représentative de frais est
exonérée de l'impôt sur le revenu, selon une application
« coutumière » des dispositions de l'article 81-1° du
Code général des impôts ; par ailleurs, les membres du
gouvernement peuvent conserver pour eux-mêmes une partie des
« enveloppes » de fonds spéciaux et leur train de vie est de
fait partiellement pris en charge par les dotations de fonctionnement du
ministère.
15
Organisées par un décret du 20 juillet 1992 et une
instruction du 29 juin 1993. Des dérogations, prévues par le
décret précité, pourraient être
décidées pour élargir les catégories des
dépenses payables par le régisseur, relever le montant unitaire
par opération (actuellement fixé à 5 000 F, ce qui peut en
effet paraître insuffisant) ou porter l'avance à une proportion
supérieure du volume prévisible des dépenses
annuelles.