M. Jean-François HUSSON, rapporteur spécial
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LES PRINCIPALES OBSERVATIONS
DE VOTRE RAPPORTEUR SPÉCIAL
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PREMIÈRE PARTIE : ANALYSE
GÉNÉRALE DE LA MISSION
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DEUXIÈME PARTIE : LES POLITIQUES
SECTORIELLES PORTÉES PAR LA MISSION
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I. UN MANQUE DE STRATÉGIE ET UNE
INADAPTATION DE MOYENS CONSACRÉS À LA TRANSITION
ÉNERGÉTIQUE
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1. Une politique de transition
énergétique et de lutte contre la pollution de l'air et contre le
changement climatique peu cohérente et
sous-budgétée
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2. La politique de prévention des
risques : vers l'adoption de la quasi-totalité des PPRT, quinze ans
après la catastrophe « AZF »
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3. Une politique de l'eau et de la
biodiversité mal calibrée pour tenir les engagements
européens de la France
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1. Une politique de transition
énergétique et de lutte contre la pollution de l'air et contre le
changement climatique peu cohérente et
sous-budgétée
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II. DES OPÉRATEURS FORTEMENT MIS À
CONTRIBUTION OU SOUS-DIMENSIONNÉS POUR FAIRE FACE À
L'ACCROISSEMENT DE LEURS MISSIONS
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1. Un nouvel opérateur qui devra faire ses
preuves : l'Agence française pour la biodiversité
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2. Des opérateurs trop fortement mis
à contribution : le Cérema et les agences de l'eau
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3. Des opérateurs qui ne sont pas assez
dotés pour faire face à l'évolution de leurs
missions : l'ADEME et l'ASN
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a) Les ressources de l'ADEME sont maintenues mais
sont insuffisantes pour atteindre les objectifs de la loi «
transition énergétique »
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(1) L'annonce du doublement du fonds
« chaleur » d'ici 2017 ne connaît aucune traduction
budgétaire
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(2) La politique
« déchets » dans l'attente d'une réforme de
la TGAP
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(3) Les moyens des programmes d'investissements
d'avenir (PIA) au service de la transition énergétique
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b) Une hausse des moyens humains de l'ASN qui
pourrait être insuffisante à terme
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a) Les ressources de l'ADEME sont maintenues mais
sont insuffisantes pour atteindre les objectifs de la loi «
transition énergétique »
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1. Un nouvel opérateur qui devra faire ses
preuves : l'Agence française pour la biodiversité
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I. UN MANQUE DE STRATÉGIE ET UNE
INADAPTATION DE MOYENS CONSACRÉS À LA TRANSITION
ÉNERGÉTIQUE
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TROISIÈME PARTIE : LE COMPTE
D'AFFECTATION SPÉCIALE « TRANSITION
ÉNERGÉTIQUE »
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1. La nécessité de créer un
compte d'affectation spéciale dédié au financement de la
transition énergétique
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2. Les dépenses du CAS
« Transition énergétique » présentent
une évolution très dynamique
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3. Une augmentation des recettes du CAS
principalement portée par la hausse de la contribution
climat-énergie sur les énergies fossiles
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4. L'augmentation soutenue des charges de service
public de l'énergie pose la question du coût pour les
consommateurs de la transition énergétique et de son
contrôle par le Parlement
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1. La nécessité de créer un
compte d'affectation spéciale dédié au financement de la
transition énergétique
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QUATRIÈME PARTIE
LE COMPTE D'AFFECTATION SPÉCIALE
« AIDE À L'ACQUISITION DE VÉHICULES PROPRES »