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« Pour prolonger notre envol.
Rapport sur les soutiens publics à la construction aéronautique
civile » Sénat Commission des Finances. M. Yvon Collin n°
367.24 juin 1997
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En particulier, les chiffres du tableau sont consolidés.
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C'est le solde commercial de l'ensemble des
sociétés du GIFAS
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Il s'agit du solde des compagnies aériennes (importations
d'avions de plus de 15 tonnes, de pièces de rechanges et de travaux de
maintenance ; exportations de travaux de maintenance)
Les importations d'aéronefs légers ainsi que les importations de
matériels de services officiels français sont également
prises en compte.
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Ce type de configurations est évidemment susceptible
d'introduire un profond décalage entre les schémas
théoriques défendus par les entreprises et leurs décisions
effectives. Il est assez frappant de ce point de vue de mettre en
parallèle les réactions vertueusement outragées de DASA
devant la fusion « verticale » BAEGEC-Marconi et les
intentions prêtées à l'industriel allemand d'une
étroite alliance avec Northrop-Grumman qui, du fait de l'ampleur des
activités électroniques de cette dernière, aurait
exactement les mêmes caractèristiques.
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Cette fourchette correspond à des hypothèses
alternatives de motorisation de l'appareil.
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Pour une appréciation comparée des systèmes
de soutien public, voir »Pour prolonger notre envol ».
Rapport sur les soutiens publics à la construction aéronautique
civile » Sénat Commission des Finances M. Yvon Collin n°
367 du 24 juin 1997.
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Boeing Current Market Outlook 1998
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Il existe d'ailleurs sur ce point une différence
d'anticipation entre Airbus et Boeing.
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« Pour prolonger notre envol. Rapport sur les soutiens
publics à la construction aéronautique civile » .
Sénat. Commission des Finances. M. Yvon Collin - n° 367 -
24 juin 1997.
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Hughes-General Dynamics, UDLP, Martin Marietta-General Electric,
Northrop-Grumman-Vought, Martin Marietta-General Dynamics, Lockheed-Martin
Marietta, Hughes-CAE Link.
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L'échec du projet entre l'Europe et la Chine d'un avion de
100 places a conduit à écarter les industriels italiens d'un
programme petit porteur où ils pesaient pour plus d'1/3. Ils n'ont pas
été associés à l'A 318 dont certains interlocuteurs
rencontrés en Italie ont pu contester l'intérêt, jugeant
l'appareil à la fois hors de portée financièrement de
compagnies « comuters », souvent à courte
durée de vie, et techniquement mal calibré en raison d'un train
d'atterrissage inadapté.
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Rapport Lammert du 14 mai 1997
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La fusion entre Boeing et Mc Donnel Douglas (MDD) est effective
depuis le 1
er
août 1997
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Hors charges spéciales de restructuration de MDD
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La progression du chiffre d'affaires tient compte de l'absorption
de Rockwell en 1996
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BAe aurait ainsi déjà enregistré des profits
sur le programme Eurofighter. Il aurait été plus rigoureux,
financièrement, de passer en provisions les quelques recettes
afférentes à l'Eurofighter (diverses avances, etc) en raison des
incertitudes sur ce programme.
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Toutes les recettes de Daimler Benz Aerospace sont
calculées en dollar et les dépenses en Deutsche Mark. Le seuil de
rentabilité de l'entreprise est d'environ 1,5 mark pour 1 dollar ;
or, en 1995 le taux de change fut longtemps de 1,35 mark pour 1 dollar.
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La reprise des constructeurs d'avions régionaux Ffokker et
Dornier n'a fait qu'amplifier le déficit du groupe
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« Se sauver face à un dollar faible »
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L'intégration de l'activité des missiles fait
exception. Elle a d'ailleurs déjà été
apportée, la filiale LFK étant rapprochée de MBD.
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100 milliards contre 30 milliards, ces chiffres étant
à considérer avec prudence.
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Il est notable qu'un accord fiscal non communiqué
à votre rapporteur soit intervenu à l'occasion du rattachement
des actifs Dassault-Systèmes sortis de Dassault Aviation à la
holding Dassault Industrie.
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Dont 1,3 milliard d'euros au titre des droits de
l'entreprise dans Dassault Aviation.
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Du fait de l'arrivée à maturité du missile
Aster, concurrent du célèbre Patriot.
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Avis n° 99-AC-Z de la Commission des participations et
des transferts du 25 mars 1999 relatif au transfert du secteur public au
secteur privé d'une partie du capital de la société
Aérospatiale, société nationale industrielle. JO du
27 mars 1999.
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Dont 880 millions au titre de la participation de l'entreprise
dans Dassault Aviation
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Il faut observer que ce que l'Etat aurait gagné
patrimonialement à un équilibre des interventions publiques plus
favorable à Aérospatiale aurait été perdu via un
alourdissement des charges publiques nettes. Il n'est pourtant pas certain que
le bilan de ces deux flux soit équilibré puisqu'aussi bien
l'amélioration des résultats d'une entreprise publique est,
patrimonialement, amplifiée par le jeu des multiples boursiers qui sont
susceptibles d'intervenir au moment de son évaluation.
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« Pour prolonger notre envol - Rapport sur les soutiens
publics à la construction aéronautique civile »
Sénat - Commission des finances M. Yvon Collin - n° 367
du 24 juin 1997.
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Sur longue période, en revanche, les interrelations entre
activité et recherche-développement. sont étroites.
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Politique qui aurait rapporté quelques 5 milliards de
francs à l'entreprise entre 1993 et 1996
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Cette solution a, semble-t-il, nécessité un
arbitrage de la commission des opérations de bourse compte tenu de son
originalité comptable.
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L'année 1998n a été moins favorable (v.
suppra.
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Source : Crédit Lyonnais Securities
Europe
L'industrie aéronautique européenne ou l'impératif de l'union
Rapports d'information
Rapport d'information n° 414 (1998-1999), déposé le