II. GRANDES ANTILLES : HAÏTI, RÉPUBLIQUE DOMINICAINE, CUBA (5-13 FÉVRIER 2006)
A. LES PRINCIPALES DONNÉES SOCIO-ÉCONOMIQUES SUR CES TROIS ETATS
République d'Haïti |
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Population (estimation 2004) |
8,4 millions |
Espérance de vie |
50 ans |
Taux d'alphabétisation de la population |
Moins de 50 % |
Indice de développement humain (ONU, 2005) |
153 e sur 177 |
PIB / habitant (2003) |
390 $ |
Taux de croissance (2004/2005) |
1,5 % |
Taux de chômage (2003) |
80 % |
Solde exportations / importations françaises |
10,9 millions d'euros |
Communauté française |
1.402 enregistrés |
Source : ministère des affaires étrangères |
République dominicaine |
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Population (estimation 2005) |
9 millions |
Espérance de vie |
67,2 ans |
Taux d'alphabétisation de la population |
84 % |
Indice de développement humain (ONU, 2005) |
95 e rang sur 177 pays |
PIB / habitant (2003) |
2.102 $ |
Taux de croissance (2004/2005) |
4,5 % |
Taux de chômage (2004) |
18,4 % |
Solde exportations / importations françaises |
7 millions d'euros |
Communauté française |
1.923 personnes et environ 800 non enregistrées |
Coopération française (2005) |
2,07 millions d'euros 7 e bailleur bilatéral |
Source : ministère des affaires étrangères |
République de Cuba |
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Population (estimation 2003) |
11,25 millions |
Espérance de vie |
76,5 ans |
Taux d'alphabétisation de la population |
96,8 % |
Indice de développement humain (ONU, 2005) |
52 e |
PIB / habitant (2004) |
2.950 $ |
Taux de croissance (2004) |
5 % |
Taux de chômage (2003) |
3,1 % |
Solde exportations / importations françaises |
61,7 millions d'euros |
Communauté française |
402 immatriculés (non immatriculés estimés à une centaine) |
Coopération française (2005) |
650.000 euros |
Source : ministère des affaires étrangères |
B. LES IMPERFECTIONS DE LA MISE EN PLACE DE LA LOLF
1) Tous les postes ont souligné les difficultés rencontrées sur le logiciel comptable Corege : données inexploitables, erreurs constatées en début ou fin d'exercice... Compte tenu des difficultés rencontrées début 2005, qui avaient retardé la délégation des crédits dans de nombreux SCAC, il est nécessaire que l'administration centrale remédie rapidement à ces difficultés.
2) L'impact concret de la LOLF sur les postes apparaît encore très réduit . Il ne semble pas que sa mise en oeuvre dans les administrations centrales se soit accompagnée de la construction d'indicateurs spécifiques dans les SCAC ni d'un reporting ascendant permettant d'articuler les résultats des projets avec les indicateurs des programmes de la mission « Aide publique au développement ». La délégation des crédits de paiement auprès du poste de Saint-Domingue est en outre intervenue tardivement.