1
Article L. 35-3 du code des postes
et
télécommunications.
2
Permettant l'utilisation des derniers mètres du
réseau téléphonique de France Télécom par
ses concurrents, pour permettre un accès à l'abonné. Voir
lexique joint en annexe.
3
Commission de régulation de l'électricité
4
Conseil supérieur de l'audiovisuel
5
Même si la loi prévoit que tout opérateur peut
être prestataire de service universel, à condition d'en respecter
les obligations et notamment la présence en tous points du territoire
6 La directive de 1998 (prétexte à la non parution du
décret concerné) n'ayant été transposée
qu'en juillet 2001...
7
La procédure de révision commençait par le
dépôt d'un rapport, au plus tard quatre ans après le vote
de la loi, en fait remis seulement en février 2002 et ne proposant aucun
élargissement du service universel.
8
D'après les mesures
in situ
réalisées
par les départements avec la méthodologie mise au point par l'ART
9
Projet de schéma de services collectifs de l'information et
de la communication, disponible sur le site
www.datar.gouv.fr
10
Voir les développements du chapitre 3 consacrés
à ce sujet.
11
Et en particulier le décret d'application de l'article
L.1511-6 du code général des collectivités territoriales,
fixant notamment les zones dans lesquelles des réductions peuvent
être consenties sur les prix de location des infrastructures de
télécommunications aux opérateurs, n'étant pas
publié
12
Et marginalement (1/3) par le fonds national de
péréquation de la taxe professionnelle
13
Leur liste est annexée au présent rapport
14
Une chronologie plus détaillée des principaux faits
marquants du secteur depuis l'ouverture à la concurrence figure en
annexe du présent rapport
15
Article L. 35-3 du code des postes et
télécommunications.
16
Voir ci-dessous pour la méthodologie.
17
La lettre du SIPPEREC n°21, mars 2002
18
Appel d'offre ouvert pour l'attribution de plusieurs lots
19
Liaisons spécialisées de forte capacité.
20
Digital subscriber line, technologies de transmission à
haut débit par le réseau téléphonique
commuté.
21
Idem.
22
Les sources relatives aux utilisateurs de l'Internet étant
rares et non homogènes en termes de périodicité et de
définitions de la notion d'internaute, les chiffres sont
présentés sous forme de fourchettes.
23
« Que choisir »,
25 février 2002.
24
UFC - Que choisir.
25
gratuits pour l'appelant, type Numéro Vert
26
coût de la communication partagé entre l'appelant et
l'appelé, type Numéro Azur ou Numéro Indigo
27
type Audiotel, avec partage des revenus entre l'opérateur
qui achemine les appels et le fournisseur du service
28
Cette étude a été réalisée par
voie postale auprès d'un échantillon représentatif de
4.000 ménages français issus de l'Access Panel 20.000 de
SOFRES. Sur les 4.000 questionnaires reçus par les
panélistes, un peu plus de 3.000 questionnaires ont été
renvoyés. Au total 2.976 questionnaires ont pu être
exploités.
29
Wireless application protocol
30
Radio local area network.
31
Universal mobile telecommunication system.
32
C'est notamment l'analyse d'Ericsson.
33
Etude disponible sur le site internet de l'IDATE
34
Les technologies de l'information et des communications et
l'emploi en France, juin 2000.
35
Les 4 pages du SESSI, Août 2001.
36
Voir le Journal officiel des débats du
10 mai 1996.
37
Mme Ségolène Royal, MM. Jean-Claude Gayssot et
Georges Sarre, notamment.
38
Le Conseil d'Etat, par exemple, a consacré aux
autorités administratives indépendantes ses rapports
publiés en 1983 et en 2001.
39
Marie-Anne Frison-Roche « La victoire du citoyen
client ». Sociétal. n° 30, page 49.
40
Rapport 2001 du Conseil d'Etat, page 280.
41
A l'exception notable de l'association à ses
délibérations d'un commissaire du Gouvernement, il est vrai
justifié par le choix stratégique français de
l'électronucléaire.
42
Incompatibilités, inamovibilité, non renouvellement.
43
S'agissant notamment du régime de retraite des membres de
l'ART anciens fonctionnaires.
44
Compte rendu en annexe du présent rapport.
45
Association française des opérateurs de
réseaux et de services, regroupant les opérateurs privés
de télécommunications.
46
Association française des opérateurs de
réseaux multiservices.
47
Permettant l'utilisation des derniers mètres du
réseau téléphonique de France Télécom par
ses concurrents, pour permettre un accès à l'abonné. Voir
lexique joint en annexe.
48
La Tribune du 18 janvier 2002 page 17
49
NB : L'ART vient d'imposer une diminution de ces prix et
leur orientation sur les coûts, en les incluant dans le catalogue
d'interconnexion de France Télécom, ce qui devrait limiter,
à l'avenir, les griefs des concurrents
50
Institut de l'audiovisuel et des télécommunications.
51
Annexe 3.6 pages 183 et suivantes.
52
Asynchronous digital subscriber line, technique de raccordement
à haut débit sur le réseau téléphonique
traditionnel.
53
D'ailleurs la France a été mise en demeure par la
Commission, en mars 2002, pour non application du règlement
européen sur le dégroupage, ainsi que quatre autres
Etats membres.
54
Voir annexe lexicale à la fin du présent rapport.
55
European competitive telecommunications association.
56
Disponible sur www. ectaportal.com
57
Associée à la suppression de la zone locale de tri.
58
Réseau national à intégration de services.
59
BT y possède 68,6 % de parts de marché en
valeur au 31 mars 2001
.
60
« Enchères et gestion publique », Elie
Cohen et Michel Mougeot.
61
Global System for mobile.
62
La distinction entre les deux procédures de comitologie
est précisée dans la décision 1999/468/CE du Conseil
du 28 juin 1999.
63
Disponible sur le site Internet du ministère de la
Santé.
64
Mesures dont les résultats sont disponibles sur le site
Internet de l'Agence : www.anfr.fr.
65
Pour une réglementation des implantations d'antennes
relais de téléphonie mobile, www.priartem.fr.
66
Dont la mise en place est actuellement envisagée par l'ART
67
Par exemple le groupe Cégétel.
68
Voir pour plus de détails le rapport n°82 de notre
collègue Henri REVOL , Sénat, 1999-2000, sur le projet de
loi de modernisation de l'électricité.
69
Ainsi par exemple il aboutirait au paradoxe d'un affaiblissement
du contrôle de l'ART, plus lâche sur les filiales de France
Télécom que sur la maison mère.
70
Disponible sur le site www.cre.fr
71
Etude du cabinet Squire Sanders disponible sur le
site : www.europa.eu.int/com/dgs/competition/index_en.htm.
72
page 122.
73
Loi du 3 janvier 2001.
74
Objectifs tarifaires globaux.
75
Son coût définitif, pour 1998, première
année d'application de la loi de réglementation, a
été établi à 4,3 milliards de francs :
près de 5 fois moins !
76
Fondée sur les directives communautaires
transposées en France par la loi de 1996.
77
L'ensemble des fournisseurs de services
téléphoniques au public ayant comme obligation d'acheminer
gratuitement les appels d'urgence (II de l'article L.35-2 du code des
postes et télécommunications).
78
Ce qui n'exclut pas, en droit, qu'un autre opérateur
privé puisse être désigné s'il est capable de
l'assurer et de le fournir sur l'ensemble du territoire.
79
Où l'ART a admis la candidature de l'opérateur
KERTEL à la fourniture de ce service.
80
Dû au fait que, pour des raisons historiques, ses tarifs
d'abonnement très bas ne lui permettaient pas de couvrir ses coûts
de desserte, alors même que cette desserte permettait aux autres
opérateurs de concurrencer l'entreprise publique sur le prix de ses
communications.
81
Le niveau d'abonnement rééquilibré (9,91
€ hors taxes) se situe à un niveau proche de celui observé
chez les grands pays européens, pour permettre le financement
intégral des coûts de raccordement de la boucle locale par les
recettes du segment local (recettes d'abonnement et recettes des communications
locales).
82
Elle avait exprimé la volonté d'intégrer la
téléphonie mobile et l'Internet à haut débit dans
l'offre de service universel ; seul a été retenu
l'accès à Internet par le réseau commuté.
83
Personnes ayant de faibles revenus ou des besoins sociaux
spécifiques.
84
Et depuis l'ordonnance n° 2001-670 du
25 juillet 2001 portant adaptation au droit communautaire du code de
la propriété intellectuelle et du code des postes et
télécommunications, qui précise en son article 12 :
« Le I de l'article L. 35-3 du code des postes et
télécommunications est complété par un
alinéa ainsi rédigé : l'évaluation des
coûts nets des obligations de service universel pesant sur les
opérateurs prend en compte l'avantage sur le marché qu'ils
retirent, le cas échéant, de ces obligations ». Sur ce
point, il est également à noter que l'ART a évalué
pour 1999 à 550 millions de francs l'avantage de marque dont
bénéficie l'opérateur chargé du service universel
en France.
85
Les développements de ce document sont examinés et
commentés dans le chapitre III du présent rapport.
86
« Rapport du Gouvernement au Parlement sur le
service public des télécommunications », prévu
à l'article L. 35-7 du code des postes et
télécommunications (loi du 26 juillet 1996 de
réglementation des télécommunications);
87
Source : Oftel.
88
Cette contribution a été de 8,08 millions
d'euros en 1997 et de 20,27 millions d'euros en 1998.
89
Détaillées au chapitre I du présent
rapport.
90
Source : Rapport 2000 - Le service public des
télécommunications.
91
Arrêtés du 10 mai 2000 publié au Journal
Officiel du 28 février 2001.
92
Mais pas celles d'un abonné d'UPC, par exemple, qui
propose, dans l'Est parisien, des raccordements téléphoniques sur
ses réseaux câblés.
93
Décision n° 2000-1194 du
15 novembre 2000.
94
Dans sa décision n° 2002-34 du 9 janvier 2002,
Journal Officiel du 12 mars 2002, page 4545.
95
Commission supérieure du service public des postes et
télécommunications.
96
Ainsi, en 2000, deux opérateurs de
téléphonie fixe, Telecom Italia et Infostrada, ont
contribué au service universel pour respectivement 48,3 % et
1 % du coût net total, ainsi que deux opérateurs mobiles,
Télécom Italia Mobile (TIM) et Omnitel, à hauteur de 31,4
% et 18,9 %.
97
Dans sa réponse écrite au questionnaire de votre
rapporteur.
98
Il ne conviendrait pas d'envisager un décalque de la
couverture filaire et de viser une couverture à 100 % du
territoire, dont le coût serait exorbitant et tout à fait
disproportionné par rapport au service rendu
.
99
La loi du 26 juillet 1996 de réglementation des
télécommunications prévoit d'ailleurs, rappelons-le, un
enrichissement périodique du contenu du service universel.
100
Solution approchante, le Sénat avait quant à lui
proposé lors de la discussion de la loi de finance pour 2002, une
dégressivité de la taxe UMTS en fonction du taux de couverture
UMTS, pour inciter les opérateurs à une large couverture en UMTS.
101
Cf. chapitre III du présent rapport
102
Voir présentation détaillée des
décisions prises au chapitre III ci-après.
103
Actuellement, 50 % des RMIstes n'ont pas d'abonnement fixe.
Parallèlement, un grand nombre de personnes en situation de
précarité utilisent des cartes « mobiles »
prépayées dont les coûts de communication sont
supérieurs à ceux des forfaits.
104
Rapport n° 343, Sénat 1993-1994,
Président Jean François-Poncet, rapporteurs : Jean Huchon,
Roland du Luart, Louis Perrein et Gérard Larcher.
105
Voir le rapport n° 35 au nom de la commission
spéciale chargée d'examiner le projet de loi d'orientation pour
l'aménagement et le développement du territoire, Sénat
1994-1995.
106
Rapport d'information n° 260 (1995-1996), page 31.
107
Idem, page 97.
108
Voir le rapport n° 389 de M. Gérard
Larcher sur le projet de loi de réglementation des
télécommunications au nom de la Commission des Affaires
économiques. Sénat 1995-1996.
109
Juin 2001, rapporteur M. André Marcon au nom de la
section des économies régionales et de l'aménagement du
territoire.
110
Disponible sur www.senat.fr
111
Voir ci-après chapitre III, B, 1, b.
112
Disponible sur le site de la DATAR www.datar.gouv.fr.
113
Loi du 25 juin 1999.
114
Rapport n° 395, Sénat 2001 « Avis sur
les projets de schéma de services collectifs », disponible sur
www.senat.fr.
115
Rapport n° 395, Sénat 2001 « Avis
sur les projets de schéma de services collectifs », disponible
sur www.senat.fr.
116
Obligation d'accueil sur un réseau des appels des
abonnés des autres réseaux.
117
Voir compte-rendu publié en annexe du présent
rapport.
118
Assemblée des départements de France.
119
A noter qu'interrogé à deux reprises par votre
rapporteur sur la nature des lignes budgétaires susceptibles
d'être mobilisées, le Secrétaire d'Etat à
l'industrie n'a pas répondu sur ce point.
120
D'après l'ART, cf. compte-rendu de l'audition des membres
du collègue en annexe.
121
0,18 million d'euros par pylône TTC.
122
La Tribune du 19 février.
123
Cette segmentation est extraite du rapport
« développement des réseaux d'opérateurs et
territoires ruraux » réalisé pour le groupe de travail
rural de l'Observatoire des Télécommunications dans la Ville et
reprise par la DATAR.
124
Compte-rendu de l'audition du ministre en annexe.
125
Etude publiée à l'occasion des journées
internationales de l'IDATE en novembre 2001.
126
Voir le rapport précité de M. Claude Belot
sur les schémas de services.
127
Secrétariats généraux à l'action
régionale.
128
5 mars 2002.
129
Association des maires de France, mars 2002.
130
Assemblée des départements de France. Avis de mars
2002.
131
Association française des opérateurs de
réseaux multiservices (câblo-opérateurs).
132
18 régions.
133
Source : IDATE.
134
Précisément 147 millions d'euros en 2002.
135
Duquel il faudrait logiquement déduire le retour
financier lié à la location d'une partie des fibres à des
opérateurs.
136
Cf. Chapitre III, C, 1, b.
137
Source : « Pour une république
territoriale, l'unité dans la diversité », Rapport de
M. Jean-Paul Delevoye et M. Michel Mercier sur la décentralisation,
Sénat, 2000.
138
Formulée notamment par l'ADF.
139
Article 18 de la loi n° 90-568 du
2 juillet 1990 relative à l'organisation du service public de
la poste et des télécommunications.
140
Durant la période transitoire, France
Télécom a versé une contribution forfaitaire au budget
général de l'Etat.
141
Ce solde est connu à l'automne alors que la
répartition du FNPTP se fait en début d'année.
142
Lois - rapport au Parlement sur la normalisation de la
fiscalité locale de France Télécom, novembre 2001.
143
785 millions de francs (120 millions d'€), en
2001, répartis par les préfets sous forme de subvention aux
groupements de communes.
144
867 millions de francs (132 millions d'€), en
2001, attribués de façon automatique mais dégressive sur
trois ans aux communes et aux groupements qui connaissent une diminution
de leurs bases de taxe professionnelle.
145
Pour un total de 569 millions de francs (87 millions
d'€) au titre de 1999, 323 millions de francs (49 millions
d'€) au titre de 2000 et 341 millions de francs (52 millions
d'€) au titre de 2001.
146
A hauteur de l'accroissement annuel de l'excédent de
fiscalité de France Télécom, soit 141 millions de
francs (21,5 millions d'€) en 2001.
147
En nombre d'abonnés (37 millions contre
34 millions pour le fixe).
148
Une chronologie plus détailée figure sur le site
de l'IDATE : www.idate.fr
149
Avec pour principaux bénéficiaires Broadnet France
(Comcast/AT&T/Microsoft et Axa) pour 14 licences régionales, BLR
Services (LD Com, Teligent, Artemis/F.Pinault) pour 8 licences, Landtel France
et Belgacom France pour 7 licences chacun. Ces attributions
réalisées par soumission comparative rapporteront 1,5 milliard de
francs à l'Etat français. Elles n'ont pas
sélectionné les principaux concurrents installés sur le
marché français face à France Telecom : Cegetel (Vivendi,
Vodafone, BT), 9 Telecom (détenu par Telecom Italia), Tele 2 et Siris
(Deutsche Telekom), non plus que les spécialistes des licences LMDS tels
Formus et Winstar.
150
Chiffres opérateurs à la fin octobre 2001.
151
Ex-GTS-Omnicom
152
On notera d'ailleurs que les autorités britanniques,
soucieuses de favoriser l'investissement des opérateurs dans les
réseaux de télécommunications ne se sont
intéressé que tardivement au dégroupage et à la
présélection.
153
BT a prévu un tarif spécial pour les offres de
VOD. Il ne ferait payer aux fournisseurs que £40 au lieu des 150
associés au débit de 2 Mb.
Télécommunications : la réforme cinq ans après
Rapports d'information
Rapport d'information n° 273 (2001-2002), déposé le