AVIS N° 88 TOME III - PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 1998 - COOPERATION

Mme Paulette BRISEPIERRE, Sénateur

Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces arméesAvis n° 88 Tome III - 1997/1998

Table des matières

• I. L'AFRIQUE EN QUÊTE DE NOUVEAUX ÉQUILIBRES
  • A. QUEL ÉQUILIBRE POLITIQUE POUR L'AFRIQUE CENTRALE ?
    • 1. Les mutations de la scène politique
      • a) La fin du Zaïre de Mobutu Sese Seko
      • b) Incertitudes en Centrafrique
    • 2. Le fruit logique d'alliances régionales
      • a) L'émergence de nouvelles puissances régionales
      • b) Un jeu diplomatique autonome
  • B. UNE CROISSANCE ENCORE FRAGILE
    • 1. Des économies mieux orientées
      • a) Une croissance fortifiée
      • b) Un assainissement de la situation économique
    • 2. Les facteurs de fragilité
      • a) Une dépendance excessive
      • b) L'insuffisance de l'investissement
• II. LA POLITIQUE DE LA FRANCE EN AFRIQUE À L'ÉPREUVE
  • A. LES RISQUES DE LA FIDÉLITÉ
    • 1. La France, premier partenaire de l'Afrique
      • a) Le reflux historique de l'aide publique au développement
      • b) La France, un effort soutenu
    • 2. Des choix contestés
      • a) Un " pré carré " remis en cause
      • b) Les erreurs françaises
  • B. LES VOIES DU CHANGEMENT
    • 1. Une présence renforcée dans une Afrique élargie
      • a) L'Afrique, partenaire privilégié
      • b) Appuyer la présence française en Afrique
    • 2. Une coopération mieux adaptée
      • a) La nécessité d'une direction politique
      • b) Pour une coopération rénovée
• III. L'ÉVOLUTION PRÉOCCUPANTE DES CRÉDITS DESTINÉS À LA COOPÉRATION
  • A. LA PRÉSENCE FRANÇAISE EN QUESTION
    • 1. Les moyens du ministère sous contrainte
      • a) La réduction des crédits dévolus au service
      • b) Le rayonnement culturel de la France dans les pays du champ soumis à la stricte contrainte budgétaire
    • 2. La baisse prolongée de l'assistance technique : une remise en cause, à terme, de l'une des caractéristiques essentielles de notre coopération
      • a) L'assistance civile
      • b) L'assistance militaire technique : une double priorité pour la formation et le renforcement des capacités africaines de maintien de la paix
  • B. UNE AIDE PROJET ENCORE INSUFFISANTE
    • 1. Les concours financiers
      • a) Une baisse importante des concours financiers
      • b) Un retour aux équilibres financiers contrastés et fragiles
    • 2. L'aide-projet : une priorité confirmée mais vulnérable
      • a) Des moyens accrus pour le fonds d'aide et de coopération et les dons-projets
      • b) La coopération privée et décentralisée : quelle priorité ?
• CONCLUSION
• EXAMEN EN COMMISSION