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Rapport Assemblée nationale
n° 204 enregistré à la présidence le 10
septembre 1997, Didier Migaud.
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" Fiscal Expansions and Adjustments in OECD
Countries "
par Alberto Alesina et Roberto Perrotti, Economic Policy, octobre 1995.
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80 % de la réduction des déficits
résulte d'une baisse des dépenses : les dépenses
baissent en moyenne de 2,19 points de PIB alors que les impôts ne
s'élèvent que de 0,5 points de PIB.
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Rapport de la Commission des Finances du Sénat n° 447
sur la proposition de résolution présentée en application
de l'article 73 bis du Règlement par M. Alain Lambert, sur une
recommandation de la Commission en vue d'une recommandation du Conseil visant
à ce que soit mis un terme à la situation de déficit
public excessif en France.
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le FMI distingue à cet égard deux types de
dépenses à court terme : les mesures d'attente, qui ne font
que différer les réformes en profondeur (réductions
forfaitaires de crédits, réduction des dépenses
d'investissement public et blocage des rémunérations), et les
mesures constructives tendant d'une part à réduire les effectifs
et d'autre part à éliminer les dépenses improductives.
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après déduction entre autres de la taxe
professionnelle.
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Selon les prévisions pour 1996, le produit de la taxe
professionnelle effectivement perçu par les collectivités
territoriales s'élève à 168 milliards de francs. Sur ce
montant, la charge de taxe professionnelle effectivement supportée par
les redevables s'élève à 125 milliards de francs, à
comparer à un montant d'impôt sur les sociétés de
171 milliards de francs.
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Article premier de la loi de finances rectificative pour 1995
n° 95-885 du 4 août 1995.
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Article 10 de la loi de finances pour 1997 codifié au f du
I de l'article 219 du CGI.
10
Et non pas les petites et moyennes entreprises comme l'indique
l'exposé des motifs du présent projet de loi.
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Article 10 de la loi de finances pour 1997 codifié au f
du I de l'article 219 du CGI.
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Qui est lui-même amendé par le présent
projet de loi pour préciser que les participations des
sociétés de capital risque, des fonds communs de placement
à risque, des sociétés de développement
régional et des sociétés financières d'innovation
sont assimilées à des personnes physiques.
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Même si le taux d'imposition des plus-values à long
terme, initialement fixé à 10 % a été
relevé à 15 % en 1973, à 19 % en 1989 et
à 20,9 % en 1995 (si l'on inclut la contribution exceptionnelle de
10 %).
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Il s'agit :
- de l'ensemble des obligations ou titres assimilés, ainsi que des bons
de souscription d'obligations ;
- des titres d'organismes de placement collectif en valeurs
mobilières à l'exception des parts de fonds communs de
placement à risque ;
- des parts ou actions de sociétés dont l'actif est
principalement composé de titres jusqu'alors soumis au taux de 25 %
ou dont l'activité consiste essentiellement à gérer, pour
leur propre compte, de tels actifs.
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L'article 2 de la loi n° 95-885 du 4 août
1995 définit les titres de participation comme étant
" les parts ou actions de sociétés revêtant ce
caractère sur le plan comptable. Il en va de même des actions
acquises en exécution d'une offre publique d'achat ou d'échange
par l'entreprise qui en est l'initiatrice, ainsi que des titres ouvrant droit
au régime des sociétés mères si ces actions ou
titres sont inscrits en comptabliité au compte de titres de
participation ou à une subdivision spéciale d'un autre compte du
bilan correspondant à leur qualification comptable. "
16
qui sont détenues par l'entreprise depuis au moins cinq
ans.
17
En poussant à l'extrême cette logique, on
pourrait même concevoir que les plus-values soient
exonérées d'imposition en tout ou partie.
18
Il n'existe pas de régime spécifique de
taxation des plus-values aux Etats-Unis et au Japon. Le Canada ne retient dans
l'imposition de droit commun que les 3/4 du montant de la plus-value.
19
En principe, les dates d'exigibilité sont le 20
février, le 20 mai, le 20 août et le 20 novembre, mais en
pratique, les sociétés peuvent opérer leur versement sans
pénalité jusqu'au 15 du mois suivant.
20
Le dernier acompte exigible au titre d'un exercice est celui
dont l'échéance légale précède
immédiatement la date de clôture de cet exercice.
21
qui fait obligation au Gouvernement de soumettre une mesure
législative au Parlement afin de modifier le régime patrimonial
des ouvrages d'alimentation générale en électricité.
22
approuvé par les autorités de tutelle le 25
février 1987 sur la base de l'avis de conformité accordé
par le Conseil national de la comptabilité le 19 décembre 1984.
23
dans un avis relatif aux changements comptables du 18 juin 1997,
le CNC autorise la remontée directe des provisions pour renouvellement
devenues injustifiées sur les reports à nouveau
déficitaires, sans transiter par le compte de résultat.
24
Loi n° 96-209 du 14 mars 1996 visant à
étendre aux collectivités locales et à leurs groupements
l'accès aux prêts distribués à partir des fonds
déposés sur les comptes pour le développement industriel
afin d'accompagner le développement ou l'implantation des petites et
moyennes entreprises et à créer une obligation d'information sur
l'utilisation de ces fonds.
25
"Les Codevi : une nécessaire remise en ordre" -
Sénat n° 298, 1994-1995, annexe au procès-verbal de la
séance du 24 mai 1995 - Paul LORIDANT, Philippe MARINI.
26
n° 3492. Enregistré à la présidence de
l'Assemblée nationale le 2 avril 1997 - Article 8.
27
Source : Fascicule "Voies et moyens" (tome II) du
projet de loi
de finances pour 1997.
28
9% des dossiers de prêts, non conformes à la
règlementation, ont été rejetés par les
trésoriers-payeurs -généraux.
29
L'encours de Codevi à fin juin 1997 s'élève
à 208,4 milliards de francs (+ 7,3 % sur un an).
30
L'encours de prêts s'est accru de 100 millions de francs du
31 décembre 1996 au 30 juin 1997.
31
Les trois principaux distributeurs sont à ce jour : le
Crédit agricole (500 millions de francs), les Caisses
d'épargne (300 millions de francs), tous deux collecteurs, et Dexia
(275 millions de francs), non collecteur. Cette répartition est
éloignée du partage du marché des collectivités
locales en général.
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La Banque de France a observé un renforcement du
refinancement à taux administrés dans le bilan des
établissements de crédit : il est passé de 27 %
à 33,6 % du passif d'un échantillon rerésentatif de
douze grandes banques de fin 1995 à fin 1996.
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"Banques : votre santé nous intéresse".
Sénat n° 52. 1996-1997 - Alain Lambert pages 151 et 152
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"Autres sociétés anonymes dans lesquelles plus de
la moitié du capital social est détenu, directement ou
indirectement depuis plus de six mois, conjointement par l'Etat, ses
établissements publics ou les sociétés mentionnés
au présent article, et dont le nombre de salariés employés
en moyenne au cours des vingt-quatre derniers mois est au moins égal
à 200".
Projet de loi portant mesures urgentes à caractère fiscal et financier
Rapports législatifs
Rapport n° 434 (1996-1997), déposé le