ANNEXES
Premier pays occidental à avoir établi des
contacts avec la Corée, la France a, d'emblée, entretenu avec ce
pays des relations culturelles priviliégiées.
Aujourd'hui, le français est la deuxième langue enseignée
en Corée après l'anglais et jouit d'une image prestigieuse,
associée à la culture et au raffinement.
Pour autant, au regard du développement connu par la Corée ces
dernières années, la faiblesse relative des échanges tant
économiques que culturels avec un pays devenu le onzième
exportateur mondial et dont le niveau de vie a cru de façon
considérable, nourrit certaines interrogations.
Les activités du groupe sénatorial, par des contacts
réguliers, ont contribué à une meilleure connaissance du
pays.
Des délégations du groupe sénatorial France-Corée
se sont rendues à plusieurs reprises en Corée, en 1986 puis en
1988, et j'ai moi-même eu l'occasion de me rendre à divers titres
dans ce pays qui frappe par son dynamisme, dans une région dont la
croissance reste très soutenue. Le groupe a des liens avec les
associations présentes en France et des manifestations culturelles ont
pu être organisées au Sénat.
Le Président de la République a affirmé, en 1995, la
volonté française de replacer l'Asie au coeur de ses
préoccupations et de ses intérêts.
Les difficultés nées du retard du chantier du T.G.V.
Séoul-Pusan et de l'affaire Thomson témoignent encore d'une
certaine forme d'incompréhension et de la nécessité du
développement des relations franco-coréennes. Dans ce contexte,
une réflexion approfondie sur la place et le rôle de la langue
française en Corée s'inscrit dans le cadre des objectifs de
soutien à la francophonie assignés aux groupes sénatoriaux.
Cette étude s'appuie sur une mise en perspective culturelle et
historique du système de pensée coréen soulignant en
particulier le rôle du confucianisme et l'influence des pays voisins.
Elle décrit l'ensemble du système éducatif dans lequel
s'inscrit l'enseignement des langues étrangères. Recensant les
actions entreprises en faveur du français en Corée, elle propose
une série d'aménagements.
Au service d'une meilleure compréhension réciproque, en vue d'un
approfondissement réciproque, ces investigations nous montrent que la
grande ouverture culturelle des Coréens demeure une chance pour la
France et la culture française.
Premier pays occidental à avoir établi des contacts avec la
Corée, la France a, d'emblée, entretenu avec ce pays des
relations culturelles priviliégiées.
Aujourd'hui, le français est la deuxième langue enseignée
en Corée après l'anglais et jouit d'une image prestigieuse,
associée à la culture et au raffinement.
Pour autant, au regard du développement connu par la Corée ces
dernières années, la faiblesse relative des échanges tant
économiques que culturels avec un pays devenu le onzième
exportateur mondial et dont le niveau de vie a cru de façon
considérable, nourrit certaines interrogations.
Les activités du groupe sénatorial, par des contacts
réguliers, ont contribué à une meilleure connaissance du
pays.
Des délégations du groupe sénatorial France-Corée
se sont rendues à plusieurs reprises en Corée, en 1986 puis en
1988, et j'ai moi-même eu l'occasion de me rendre à divers titres
dans ce pays qui frappe par son dynamisme, dans une région dont la
croissance reste très soutenue. Le groupe a des liens avec les
associations présentes en France et des manifestations culturelles ont
pu être organisées au Sénat.
Le Président de la République a affirmé, en 1995, la
volonté française de replacer l'Asie au coeur de ses
préoccupations et de ses intérêts.
Les difficultés nées du retard du chantier du T.G.V.
Séoul-Pusan et de l'affaire Thomson témoignent encore d'une
certaine forme d'incompréhension et de la nécessité du
développement des relations franco-coréennes. Dans ce contexte,
une réflexion approfondie sur la place et le rôle de la langue
française en Corée s'inscrit dans le cadre des objectifs de
soutien à la francophonie assignés aux groupes sénatoriaux.
Cette étude s'appuie sur une mise en perspective culturelle et
historique du système de pensée coréen soulignant en
particulier le rôle du confucianisme et l'influence des pays voisins.
Elle décrit l'ensemble du système éducatif dans lequel
s'inscrit l'enseignement des langues étrangères. Recensant les
actions entreprises en faveur du français en Corée, elle propose
une série d'aménagements.
Au service d'une meilleure compréhension réciproque, en vue d'un
approfondissement réciproque, ces investigations nous montrent que la
grande ouverture culturelle des Coréens demeure une chance pour la
France et la culture française.