RIBEYRE (PAUL), sénateur de l'Ardèche (R.I. A. S.).
NOMINATIONS
Membre de la commission des finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques de la nation.
INTERVENTIONS
- Projet de loi de finances pour 1977 ( n° 64).
Deuxième partie :
Travail et santé. - III. Santé [7 décembre 1976], rapporteur spécial (p. 4032) : le budget de la santé ne comprend plus que le financement d'actions et d'aides sanitaires et sociales et les équipements d'accompagnement. La répartition des crédits ; les interventions publiques ; les dépenses d'équipement. Les programmes d'action prioritaires. La recherche médicale; l'Institut national de la santé et de la recherche médicale. Le rôle des chercheurs, leur recrutement. Les thèmes prioritaires retenus par le VII e Plan. Le service central de protection contre les rayonnements ionisants ; (p. 4033) : l'institut Pasteur; les réformes récentes. L'implantation à Lille d'un laboratoire de microbiologie ; la création d'une unité de virologie en Nouvelle-Calédonie. La fondation Curie. L'enseignement. L'école nationale de la santé publique de Rennes : son rôle, ses effectifs, ses ressources. Le programme d'action prioritaire « humaniser les hôpitaux ». La situation des infirmières. La formation sociale. Les subventions de fonctionnement aux écoles. Le recrutement de travailleuses familiales. L'action médicale; la protection et la prévention sanitaires ; (p. 4034) : l'information du public et l'éducation sanitaire; l'action a été entreprise de longue date; la lutte contre le tabagisme. Le contrôle sanitaire de l'environnement. Les vaccinations, celles qui sont obligatoires; l'organisation de campagnes contre certaines maladies. La vaccination antigrippale. Les actions de détection et de prévention. La protection de l'enfance. La création de centres d'action médico-sociale précoce. La prophylaxie mentale ; l'humanisation des hôpitaux psychiatriques. La lutte contre la tuberculose, contre le cancer, contre les maladies vénériennes, contre l'alcoolisme. La toxicomanie. La, régulation des naissances: contraception et interruption volontaire de grossesse. Le service de santé scolaire dont les effectifs restent inférieurs aux normes posées en 1969. L'aide médicale ; (p. 4035) : la croissance des prix de journée. L'équipement hospitalier ; on constate l'accélération du passage du quantitatif au qualitatif. L'utilisation de la carte sanitaire. Les crédits d'humanisation ; la rénovation et l'aménagement de bâtiments anciens; les « unités de soins normalisés ». L'action sociale. L'intervention de l'Etat; la politique d'animation et de prévention. Les centres sociaux. Les handicapés, l'aide qui leur est accordée. Le maintien à domicile des personnes âgées. Les crèches: la répartition de la charge du financement ; leur financement. L'action sociale en faveur des jeunes ; les foyers de jeunes travailleurs ; les postes d'animateurs socioculturels. L'aide sociale, son financement, son importance qui n'est pas décroissante; (p. 4036): la nécessaire modification de la clé de répartition des dépenses d'aide médicale et sociale entre l'Etat, le département et la commune. Des choix ont été opérés dans un budget en stagnation, une véritable politique sanitaire existe bien.