2. Eviter de cumuler les ruptures technologiques et de mettre les risques en série sur un même programme
Le programme A400M cumulait trois risques majeurs, sur la cellule, le moteur et l'avionique.
La bonne gestion du risque semble impliquer d'éviter de cumuler les ruptures technologiques et de mettre les risques en série sur un même programme, à moins d'accepter le risque de délais plus importants.
Par ailleurs, il faut poursuivre réellement l'intégration d'Airbus et des entreprises européennes qui se sont engagées dans cette voie. Or, cela ne se décrète pas. C'est une oeuvre de longue haleine qui suppose de se faire confiance, et de faire circuler l'information.