1
En effet, au titre du budget
général 17,3 milliards de francs de crédits ont
été ouverts et 13,43 milliards de francs ont
été annulés. S'agissant des budgets annexes les ouvertures
nettes s'élèvent à 1,4 milliard de francs.
2
Rapport n° 87 - tome III - annexe 21 ; 2001-2002.
3
Rapport n° 3427, XI
ème
législature.
4
La progression du déficit s'élève donc
à 13,89 % par rapport à l'objectif initial du
gouvernement !
5
Ces chiffres sont ceux qui figurent dans le dossier de presse du
gouvernement sur le « collectif de fin d'année ».
6
Rapport n° 78 (2001-2002).
7
Ces chiffres sont d'ailleurs confirmés par le gouvernement
dans son dernier programme pluriannuel, celui pour 2003-2005 : dans le
scénario reposant sur une croissance annuelle de 3 %, il entend
toujours aboutir à l'équilibre en 2004, ou le cas
échéant en 2005 si le rythme de croissance annuelle
n'était « que » de 2,5 %.
8
Dans l'hypothèse où la croissance annuelle serait
plus proche de 2,1 %, le déficit public s'élèverait encore
à - 1,2 point de PIB en 2006 soit un niveau proche de celui prévu
pour 2001
(-1,4 point de PIB).
9
Rente transmissible, au surplus, aux héritiers du
débiteur.
10
L'article 280 du code civil dispose que « les
transferts et abandons prévus au présent paragraphe sont
considérés comme participant au régime matrimonial. Ils ne
sont pas assimilés à des donations ».
11
Le FOREC a - enfin ! - reçu une existence effective,
grâce à la publication, au Journal Officiel du 26 octobre 2001, du
décret n° 2001-968 du 25 octobre 2001 relatif au fonds de
financement de la réforme des cotisations patronales de
sécurité sociale et modifiant le code de la
sécurité sociale, en application de l'article 5 de la loi de
financement de la sécurité sociale pour 2000.
12
L'accès à ce dispositif a toutefois cessé
à compter de l'entrée en vigueur de la loi « Aubry
I » du 13 juin 1998 d'orientation et d'incitation à la
réduction du temps de travail.
13
SNCF, RATP, EDF-GDF, Banque de France, Comédie
française, Opéra de Paris, Ports autonomes de Strasbourg et de
Bordeaux, Chambre de commerce et d'industrie de Paris.
14
L'article 6 du PLFSS pour 2002 constitue la disposition
« miroir » du présent article, en constatant les
dispositions.
15
Les présentes dispositions sont sans incidence sur les
prélèvements sur le produit de ce droit spécifiques aux
départements corses et au budget annexe des prestations sociales
agricoles (BAPSA).
16
Le Conseil constitutionnel, dans sa décision du 28
décembre 2000, a annulé une disposition du projet de loi de
finances rectificative pour 2000 qui prévoyait d'étendre
l'assiette de la TGAP aux consommations intermédiaires d'énergie.
Cette mesure aurait permis, selon le gouvernement, de doubler le rendement de
cette taxe.
17
Le statut de ce prélèvement est adapté
à cette occasion pour en faire une imposition de toute nature.
18
Le fonds de cessation anticipée d'activité des
travailleurs de l'amiante, créé par l'article 41 de la loi de
financement de la sécurité sociale pour 1999, continuera de
bénéficier de 0,39 % du produit du droit de consommation sur les
tabacs manufacturés.
19
Le budget de l'Etat se voit ainsi affecter une fraction du produit
de cette taxe égale à 69,44 %, soit 3,2 milliards d'euros
(environ 21 milliards de francs).
20
Les articles du code des postes et
télécommunications visés sont les suivants :
- art. L. 33-1 (réseaux de télécommunications ouverts au
public) ;
- art. L. 33-2 (réseaux indépendants) ;
- art. L. 34-1 (fournisseurs de services téléphoniques au public).
21
De façon à ce que leur produit ne couvre que les
frais administratifs correspondants (cf. art. 6 de la directive 97/13/CE
du 10 avril 1997).
22
Soit une baisse de 50 %.
23
Au titre de l'amortissement linéaire de la dette (jusqu'en
2014) décidé par le conseil d'administration de l'EPFR en
1999 : capital + intérêts.
24
GIAT connaît des difficultés aggravées :
le décalage entre la fin de son plan de charge et l'obtention d'un
éventuel contrat avec l'Arabie saoudite risque d'entraîner encore
une diminution de ses capacités de production.
25
N°388 - année parlementaire 1999-2000
26
L'accord de Londres signé par la France le 30 juin 2001
prévoit que les États signataires qui ont une langue en commun
avec l'une des trois langues officielles(allemand, français, anglais) de
l'Organisation européenne des brevets (OEB) renoncent à exiger du
déposant du brevet la traduction complète du brevet dès
lors que celui-ci est rédigé dans une des trois langues
officielles. Cet accord est en mesure de diminuer fortement le coût du
brevet européen (coût de traduction) et de
bénéficier aux PME. La mise en oeuvre de cet accord exigera de
gros efforts de traduction et de documentation de la part de l'INPI pour rendre
accessible rapidement l'ensemble des brevets européens aux entreprises
françaises.
27
Décret n° 93-426 du 18 mars 1993 fixant la
contribution à verser au titre de l'année 1993 au fonds
spécial d'allocation vieillesse institué par l'article L. 814-5
du code de la sécurité sociale.
28
Rapport spécial n°3320, XIème
législature, annexe 42, p. 13.
29
Rapport d'information, au nom de la commission des affaires
sociales, de nos collègues Charles Descours, Alain Vasselle et
Jean-Louis Lorrain, n° 382 (2000-2001).
30
Sur cette question on se reportera très utilement, pour une
analyse des avantages financiers tirés de l'alimentation d'un fonds de
réserve par des ressources pérennes, stables et prévues
à l'avance à l'avis de notre collègue sénateur
Jacques Oudin sur le projet de loi de financement de la sécurité
sociale pour 2001 (n° 68, 2000-2001) pages 196 et suivantes.
31
Contrat emploi-solidarité.
32
Stage d'insertion et de formation à l'emploi.
33
Université du 3
ème
millénaire.
34
La répartition est la suivante :
- 160 millions de francs inscrits en loi de finances initiale pour
2001 ;
- 2.145 millions de francs ouverts par le décret d'avances du 8
octobre 2001 ;
- 160 millions de francs demandés par le présent projet de
loi de finances rectificative.
35
Appareils EC-725 (Ex Cougar MK-2 plus) conçus pour les
missions de recherche et de secours des équipages disparus (RESCO). Leur
rayon d'action est de 700 km avec une masse maximale de onze tonnes,
ravitaillables en vol.
36
Rapport n° 3427, Assemblée nationale,
XI
ème
législature.
37
Rapport de l'Assemblée nationale n° 3427,
XI
ème
législature, page 263.
38
Cf. entretien au journal Le Monde du 16 novembre 2000.
39
Communauté européenne du charbon et de l'acier.
40
Il s'agit d'une règle issue de la loi de finances
rectificative pour 1983 qui venait prendre le contre-pied d'un arrêt du
Conseil d'Etat.
41
Il s'agit, en vertu de l'article L. 169 du livre des
procédures fiscales, de la période qui s'étend
jusqu'à la fin de la troisième année qui suit celle au
titre de laquelle l'imposition est due.
42
« Le défaut ou l'insuffisance dans le paiement
ou le versement tardif de l'un des impôts, droits, taxes, redevances ou
sommes établis ou recouvrés par la direction
générale des impôts donnent lieu au versement d'un
intérêt de retard qui est dû indépendamment de toutes
sanctions. (...) Le taux de l'intérêt de retard est fixé
à 0,75 % par mois. Il s'applique sur le montant des sommes mises
à la charge du contribuable ou dont le versement a été
différé ».
43
Soit 35,44 % en 2002, y compris la contribution sur l'impôt
sur les sociétés et la cotisation sociale sur les
bénéfices.
44
In JO Questions Sénat du 25 octobre 2000, p. 5438.
45
In JO Questions Sénat du 1er mars 2001, p. 729.
46
In Bulletin officiel des impôts n° 111 du 17 juin
1981.
47
Arrêt d'Assemblée du 27 octobre 1995, ministre du
logement c/ Mattio et autres.
48
In rapport général, tome III, n° 92,
annexe 16, 2000-2001.
49
Délibération n° 96-16 du 9 juillet 1996.
50
L'article L. 5211-29 du code général des
collectivités territoriales distingue six catégories d'EPCI
percevant une DGF : les communautés de communes à taxe
professionnelle unique, les communautés de communes à
fiscalité additionnelle, les communautés d'agglomération,
les communautés urbaines à taxe professionnelle unique, les
communautés urbaines à fiscalité additionnelle et les
syndicats d'agglomération nouvelle.
51
Au cours de ses deux premières années d'existence,
il n'est pas possible de déterminer pour l'EPCI un CIF qui permette
véritablement de le comparer aux autres. Des règles
spécifiques sont prévues à l'article L. 5211-32 du code
général des collectivités territoriales.
52
L'effort fiscal est également utilisé pour
déterminer l'éligibilité et le montant des attributions au
titre de la dotation de solidarité rurale et du fonds national de
péréquation.
53
In rapport général n° 87, Tome III,
annexe 29, 2001-2002.
54
Cf. le rapport de notre collègue député
Didier Migaud sur le projet de loi de finances rectificative pour 2001, rapport
n° 3427, XI
ème
législature.
55
Sur ce point, on se reportera très utilement au
commentaire de l'article 53 ter dans le rapport du Sénat n° 87 tome
III (2001-2002).
56
In JO Débats Assemblée nationale 2
e
séance du mercredi 5 décembre 2001.
57
Les sept semaines de passage à l'euro ne correspondent
à aucune période de référence comptable.
58
Directive 77/388/CEE modifiée notamment par les directives
91/680/CEE et 1999/59/CEE.
59
En matière de TVA, le redevable est la personne par
laquelle la taxe doit être acquittée, soit la personne qui doit
concrètement verser le montant de la taxe aux services chargés de
son recouvrement.
60
Loi n° 98-1266 du 30 décembre 1998 de finances pour
1999 et décret n° 99-723 du 3 août 1999. Le dispositif a par
ailleurs été modifié par l'article 39 de la loi n°
99-1172 du 30 décembre 1999 de finances pour 2000, par l'article 12 de
la loi n° 2000-656 du 13 juillet 2000 de finances rectificative pour 2000,
ainsi que par l'article 12 de la loi n° 2000-1352 du 30 décembre
2000 de finances pour 2001.
61
Désormais prévu à l'article 265 septies du
code général des impôts.
62
Loi de finances rectificative pour 2000 (du 13 juillet 2000).
63
La « période de remboursement »
demeure annuelle, du 11 janvier de l'année « n » au
10 janvier de l'année « n+1 », le taux
spécifique du « carburant professionnel » demeurant
calculé annuellement.
64
Cf. « Voies et Moyens » tome II annexé
au projet de loi de finances pour 2000.
65
Cf. « Voies et Moyens » tome II annexé
au projet de loi de finances pour 2002.
66
Désormais prévu à l'article 265 octies du
code des douanes.
67
Pour mettre en place ce régime, la France a obtenu une
dérogation à la directive précitée n° 92/81
par décision du Conseil en date du 12 mars 2001. Ce régime devra
disparaître au 31 décembre 2001.
68
On se reportera utilement au commentaire de l'article 10 du
projet de loi de finances pour 2002, rapport n° 87 tome II (2001-2002).
69
Assemblée nationale n° 3088, XI
eme
législature, p. 160.
70
Loi n° 2000-1352 du 30 décembre 2001.
71
In JO Débats, Sénat, séance du 26 novembre
2001, p. 5553 à 5555.
72
Cf art. 163 du code des douanes : « la production
d'huiles minérales en régime de suspension de taxes et de
redevances s'effectue dans un entrepôt fiscal de production dit usine
exercée ».
73
Article 165 B du code des douanes.
74
Décision n° 2000-441 DC du 28 décembre 2000.
75
Loi n° 2001-1062 du 15 novembre 2001
76
Article L. 32-3-1 nouveau du code des postes et
télécommunications.
77
Commission nationale de l'informatique et des libertés.
78
Alain Lambert : « Assurons l'avenir de
l'assurance », n° 45, Sénat, 1998-1999, page 51.
79
Article 9 de la loi de finances pour 2001 n° 2000-1352 du 30
décembre 2000. A l'occasion de la discussion de ce texte, le
Sénat avait supprimé cette réforme des critères
d'éligibilité des participations au régime
« filles-mères « qui avait notamment pour
objet de financer la baisse de l'impôt sur les sociétés.
80
Il s'agit de la valeur au coût historique enregistré
au bilan.
81
Ordonnance n° 45-1283 du 15 juin 1945.
82
Le capital des entreprises bénéficiaires doit
être entièrement libéré et détenu de
manière continue pour 75 % au moins par des personnes physiques ou
par une société répondant aux mêmes conditions dont
le capital est détenu, pour 75 % au moins, par des personnes
physiques. Pour le calcul des pourcentages ci-dessus, les participations des
sociétés de capital-risque, des fonds communs de placement
à risques (FCPR), des sociétés de développement
régional (SDR) et des sociétés financières
d'innovation (SFI) ne sont toutefois pas prises en compte, à la
condition qu'il n'existe pas de lien de dépendance au sens du 1 bis de
l'article 39 terdecies entre la société en cause et ces
dernières sociétés ou ces fonds.
83
Loi n° 64-1265 du 16 décembre 1964 relative au
régime et à la répartition des eaux et à la lutte
contre leur pollution.
84
Avis du 27 juillet 1967 ; solution entérinée au
contentieux : CE 21 novembre 1973 « Société des
papeteries de Gascogne ».
85
Décision du Conseil constitutionnel n° 82-124 DC du
23 juin 1982. Repris par le Conseil d'Etat dans un arrêt
CE 20 décembre 1985 « SA Etablissements Outters
c/Agence financière de bassin Seine-Normandie ».
86
En particulier, le Conseil constitutionnel estime qu'en
matière fiscale la délégation consentie par le
législateur à un établissement public administratif doit
être limitée : décision n° 87-239 DC du
30 novembre 1987 .
87
Décisions n° 93-320 DC du 21 juin 1993 et n°
97-395 DC du 30 décembre 1997.
88
Décret n° 66-700 du 14 septembre 1966 relatif aux
agences financières de bassin créées par l'article 14 de
la loi n° 64-1245 du 16 décembre 1964.
89
Décret n° 75-996 du 28 octobre 1975 portant
application des dispositions de l'article 14-1 de la loi modifiée du 16
décembre 1964 relative au régime et à la
répartition des eaux et à la lutte contre leur pollution.
90
Au cours de la discussion de la loi sur l'eau de 1992, aucune
mention au système des redevances des agences de l'eau n'a
été faite afin que l'argument d'inconstitutionnalité ne
puisse pas être soulevé par le Conseil constitutionnel. C'est
également en raison du risque constitutionnel que l'actuelle loi de 1964
n'a pas été intégrée dans le code de
l'environnement.
91
On se reportera utilement à la décision n°
89-269 DC du 22 janvier 1990.
92
Décision n° 85-187 DC du 25 janvier 1985
« Etat d'urgence en Nouvelle Calédonie ».
93
Décision n° 99-410 DC du 16 mars 1999.
94
Comme le font les 14 pages de l'article 41 du projet de loi
portant réforme de la politique de l'eau n° 3205, Assemblée
nationale, XI
eme
législature qui devrait venir en discussion
à l'Assemblée nationale dans les premières semaines du
mois de janvier 2002.
95
Définition des pollutions constitutives de l'assiette,
seuils de perception, taux, modulation géographique de ces taux, cas et
conditions de leur estimation forfaitaire et seuil de population au-dessous
duquel les redevances ne sont pas perçues.
96
On se reportera utilement à l'article de Jean-Pierre
Camby, « Une loi promulguée, frappée
d'inconstitutionnalité ? », Revue du droit public,
n° 3 - 1999 mais aussi à l'ouvrage de Mme Catherine Bergeal,
« Savoir rédiger un texte normatif », Editions
Berger-Levrault, 2000, où elle estime que «
la question de
savoir quelle est la portée de la constatation de
l'inconstitutionnalité des dispositions promulguées reste encore
fâcheusement peu claire
».
97
Il s'agit de la directive 2000/60/CE établissant un cadre
pour une politique communautaire dans le domaine de l'eau que viennent
d'adopter le Parlement européen et le Conseil des ministres de l'Union
européenne. Sa transposition est prévue dans le projet de loi
portant réforme de la politique de l'eau précité. Cette
directive consacre au niveau européen l'approche par grands bassins
hydrographiques (appelés districts dans la directive) appliquée
en France depuis la loi de 1964. Elle introduit un principe de
récupération du coût des services liés à
l'utilisation de l'eau. Elle impose aux Etats membres d'atteindre un bon
état écologique des eaux dans un délai de 15 ans et de
supprimer progressivement le rejet de certaines substances dangereuses dans un
délai de 20 ans. Pour ce faire les Etats Membres doivent adopter des
plans de gestion par districts hydrographiques et des programmes de mesure.
98
Sur ce point, on se reportera utilement au rapport n° 276
(1999-2000) de notre collègue Jacques Legendre, au nom de la commission
des affaires culturelles, sur le projet de loi, adopté par
l'Assemblée nationale, relatif à l'archéologie
préventive et sur la proposition de loi de M. Ivan RENAR et
plusieurs de ses collègues relative à l'organisation de
l'archéologie.
99
Impôts sur le revenu, impôts sur les
sociétés, impôts locaux (c'est-à-dire taxes
foncières, d'habitation, et professionnelle).
100
Taxes sur le chiffre d'affaires, droits d'enregistrement,
contributions indirectes, taxe d'apprentissage, retenues à la source.
101
Taxe locale d'équipement, versement pour
dépassement du plafond légal de densité.
102
Rapport public particulier « Les industries d'armement
de l'Etat » - octobre 2001.
103
Amendement de notre collègue député
Jean-Yves Le Drian, rapporteur pour avis de la commission de la défense.
104
On notera que ce terme est impropre : en l'occurrence, il
ne s'agit pas de dividende mais de rémunération statutaire.
105
Projet n° 2396 (XI
ème
législature) sur la modernisation du service public du gaz naturel et le
développement des entreprises gazières.
106
Directive 98/30/CE du Parlement et du Conseil du 22 juin 1998
concernant des règles communes pour le marché intérieur du
gaz naturel.
107
Enagas a ainsi interdit cet été l'accès de
Gaz de France aux canalisations espagnoles.
108
1,2 milliard de francs pour GDF ; 78,7 millions de
francs pour GSO ; 52,5 millions de francs pour Total-Fina-Elf.
109
La commission spéciale instituée par le
présent article dispose de cinq mois pour arrêter le prix de
cession.
110
Arrêt CE - du 5 juillet 1967 : Commune de
Donville-les-Bains - Société générale technique.
111
Pays éligibles au financement de l'Association
internationale de développement (groupe Banque mondiale).
112
Quand un pays débiteur passe en Club de Paris pour la
première fois, une « date butoir » est
définie et n'est pas modifiée dans les traitements
ultérieurs du Club de Paris. Les crédits accordés
après cette date butoir ne sont pas soumis aux
rééchelonnements futurs, ce qui contribue à restaurer
l'accès au crédit extérieur du pays débiteur. En
effet, si aucune date butoir n'était définie, aucun
établissement financier ne pourrait prendre le risque de prêter
à nouveau au pays débiteur puisqu'il pourrait être
exposé à un défaut de paiement sur ces prêts
nouveaux.
113
La France a contribué au financement du fonds fiduciaire
FRPC-PPTE pour un montant total de 77,03 millions d'euros, versés
en deux fois au FMI, sous forme de dons. Ces opérations ont
été retracées sur le compte du Trésor
n° 906-05. Les crédits correspondants sont inscrits au
chapitre 68-04 du budget Économie, finances et industrie
(« Participation de la France à divers fonds »).
114
Les seuls risques non couverts résultent du non-respect
par la banque de ses obligations vis-à-vis de l'assureur (par exemple,
l'obligation d'information sur la situation financière du
débiteur).
115
On rappellera que, afin de se prévenir contre le risque
de défaillance des compagnies aériennes, les banques
prêteuses constituent généralement une structure
spécifique afin de conserver le titre de propriété de
l'avion. Ainsi, en cas de défaut de paiement, elles peuvent toujours se
rembourser en vendant l'appareil. Il s'agit donc généralement
d'un prêt accordé en contrepartie d'une forme d'hypothèque.
116
Les taux « LASU » sont les taux
d'intérêt appliqués aux crédits à
l'exportation. Ils ne peuvent être inférieurs à un taux
minimum fixé tous les quinze jours, pour chaque monnaie
autorisée, par rapport au rendement moyen des obligations du secteur
public.
117
L'établissement public « Export Credit
Guarantee Department » mêle l'octroi d'une garantie totale,
immédiate et inconditionnelle et la stabilisation du taux
d'intérêt des crédits à l'exportation.
118
La BFCE était l'établissement de crédit
public spécialisé dans le financement de l'exportation.
119
Le Crédit national, qui a toujours été un
établissement de crédit à capitaux privés,
était spécialisé dans le financement des moyennes et
grandes entreprises. Il gérait pour le compte de l'Etat un grand nombre
de procédures publiques.
120
Loi n° 97-1269 du 30 décembre 1997.
121
Consenties en application de l'article 5 de la loi de finances
rectificative pour 1963 n° 63-1293 du 21 décembre 1963,
modifié par l'article 90 de la loi n° 67-114 du 21 décembre
1967.
122
En application de l'article 26 de la loi de finances
rectificative pour 1971 n° 71-1025 du 24 décembre 1971.
123
En application de l'article 5 de la loi de finances
rectificative pour 1965 n° 65-1154 du 30 décembre 1965.
124
En application de la convention passée entre l'Etat et le
Crédit national en date du 19 novembre 1986.
125
En application de la convention passée entre l'Etat et le
Crédit national en date du 19 novembre 1986.
126
Exploitations agricoles de la sous-préfecture de Manajary
et des fivondronampohantany
d'Amparafavorala, Ambatondrazaka et
Moramanga.
127
Voir en annexe le texte de l'accord du 1
er
octobre
1998, modifié (articles 3 et 5) par l'avenant du 3 février 2000.
128
L'indemnisation des sociétés françaises
nationalisées au titre du monopole de l'Etat malgache en matière
d'achat, de transport, de stockage, de distribution et de transformation des
produits pétroliers relève, en l'absence de protocole
signé avant le 31 décembre 1998, de l'arbitrage du CIRDI (Centre
international pour le règlement des différends relatifs aux
investissements) ou à défaut d'un tribunal ad hoc
constitué selon le règlement d'arbitrage de la commission des
Nations-Unies pour le droit commercial international.
Quatre sociétés sont concernées : Total, Elf, la
Compagnie marseillaise de Madagascar et la SOSUMAV-Saint-Louis.
129
Etablissement public spécialement créé par
la loi n° 70-632 du 15 juillet 1970 relative à une
contribution nationale à l'indemnisation des Français
dépossédés de biens situés dans un territoire
antérieurement placé sous la souveraineté, le protectorat
ou la tutelle de la France, pour recevoir et instaurer les dossiers de demande
d'indemnisation.
130
Le second versement, de 18 millions de francs, est intervenu fin
juin 2001.
131
A partir de la proclamation de l'état d'urgence le 19
mars 1970 par le général Lon Nol.
132
Au titre de la loi n° 70-632 du 15 juillet 1970, relative
à une contribution nationale à l'indemnisation des
Français dépossédés de biens dans un territoire
antérieurement placé sous la souveraineté, le
protectorat ou la tutelle de la France.
133
Déposée dans les écritures du Trésor
français, cette somme s'élevait à 9,92 millions
d'euros (65,08 millions de francs), dont 6,59 millions d'euros en capital
et 21,88 millions d'euros en intérêts.
134
Hypothèse vraisemblablement fréquente, compte tenu
des conditions de départ de la plupart des propriétaires
concernés.
135
In JO Débats, Assemblée nationale, deuxième
séance du 3 décembre 1998.
136
Malgré, d'ailleurs, le maintien de l'intégration
dans la loi de financement de la sécurité sociale pour 2000,
publiée au Journal officiel, d'un total de recettes prenant en compte la
suppression des frais de recouvrement.
137
In JO Débats, Assemblée nationale,
3
ème
séance du 25 octobre 2000, page 7517.
138
Il vient d'intervenir...
139
Il convient de noter que les caisses d'allocation familiales ne
perçoivent aucune rémunération pour le service de l'ASA
aux allocataires du RMI totalisant plus de 40 années de cotisations
à l'assurance vieillesse, alors que l'UNEDIC, pour le service de la
même prestation, perçoit une rémunération de
1 % des allocations versées !
140
Un pavillon d'accueil d'environ 5.000 m
2
situé
à l'entrée du site, à l'articulation de l'aire des Vents
et du parc de La Courneuve.
Trois pavillons thématiques d'environ 3.000 m
2
, points de
départ des parcours de l'exposition.
Une grande scène et une agora pouvant accueillir jusqu'à 15.000
personnes. D'autres installations seront provisoires.
Les pavillons nationaux soit 12 bâtiments de 3.000 m2 pour accueillir 60
pavillons nationaux, un même pays pouvant occuper un ou plusieurs de ces
espaces.
Six " carrefours des images ", partiellement couverts, de 1 200 m2 chacun ;
Vingt-quatre " kiosques à images " d'environ 100 m2 destinés
à accueillir les propositions des artistes invités.
Projet de loi de finances rectificative de finances rectificative pour 2001
Rapports législatifs
Rapport n° 143 (2001-2002), déposé le