III. LES AUTRES DÉPENSES
- Les dépenses d'intervention, en hausse,
s'élèveraient à 55 millions d'euros, soit une croissance
de 13 %. Sans l'inscription de la nouvelle agence française pour
les investissements internationaux (4,6 millions d'euros au chapitre 44-84),
l'augmentation des crédits d'intervention, à structure constante,
ne serait plus que de 3,7 %.
-Les crédits d'investissement poursuivraient leur baisse en 2002 avec
des autorisations de programme en diminution de 3,8 % et des
crédits de paiement qui, avec 91,1 millions d'euros inscrits
connaîtraient une diminution de 12,4 %.
Ces crédits ne seraient toutefois pas en baisse si les crédits
d'informatique correspondant à des immobilisations (nouveau
système d'information des administrations fiscales, 51 millions d'euros,
et projet de modernisation du système d'information budgétaire et
comptable, 20,5 millions d'euros) étaient imputées non en
fonctionnement, mais en investissement.