Avis n° 100 (2008-2009) de M. Jean-Claude CARLE , Mmes Françoise FÉRAT et Brigitte GONTHIER-MAURIN , fait au nom de la commission des affaires culturelles, déposé le 20 novembre 2008
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INTRODUCTION
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PREMIÈRE PARTIE - LE BUDGET DE
L'ENSEIGNEMENT SCOLAIRE : PASSER D'UNE LOGIQUE DE DÉPENSES À
UNE LOGIQUE D'INVESTISSEMENT ET D'ÉVALUATION
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I. LE PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2009 :
VERS UN ENRICHISSEMENT DE L'OFFRE ÉDUCATIVE À MOYENS QUASI
CONSTANTS
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A. LE BUDGET POUR 2009 TRADUIT LA VOLONTÉ DE
PROPOSER DE NOUVEAUX SERVICES GRATUITS À TOUS LES
ÉLÈVES
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B. L'OPTIMISATION DE LA GESTION DES POLITIQUES
SCOLAIRES PERMET DE CONTENIR L'ÉVOLUTION DU BUDGET DE LA MISSION
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1. Le schéma d'emplois du ministère
de l'éducation nationale est volontariste
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a) Développer le financement sur projet des
associations complémentaires
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b) Mettre à profit les compétences
des maîtres spécialisés
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c) Tenir compte des évolutions
démographiques
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d) Des informations parfois contradictoires
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e) Une réforme des concours dont les effets
sont anticipés
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f) Des suppressions de postes administratifs
liées à l'essor de nouvelles applications informatiques
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a) Développer le financement sur projet des
associations complémentaires
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2. La gestion des ressources humaines du
ministère offre encore d'indiscutables marges de progrès
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3. Les contours de la mastérisation du
recrutement restent encore flous
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4. Les débuts de la revalorisation des
personnels dans l'éducation nationale
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1. Le schéma d'emplois du ministère
de l'éducation nationale est volontariste
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A. LE BUDGET POUR 2009 TRADUIT LA VOLONTÉ DE
PROPOSER DE NOUVEAUX SERVICES GRATUITS À TOUS LES
ÉLÈVES
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II. DES POLITIQUES SCOLAIRES PROFONDÉMENT
RÉFORMÉES, QUI RENDENT NÉCESSAIRES LA CONCERTATION ET
L'ÉVALUATION
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A. UNE ÉCOLE EN PROFONDE MUTATION
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B. UN SERVICE PUBLIC DE L'ÉDUCATION QUI
DOIT CONTINUER DE S'OUVRIR À L'ENSEMBLE DE LA COMMUNAUTÉ
ÉDUCATIVE
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1. Rassembler l'ensemble des personnels
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2. Reconnaître la contribution
apportée par les classes sous contrat au service public de
l'éducation
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3. Associer les parents d'élèves
à la réflexion
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4. Concevoir les réformes avec les
collectivités territoriales qui auront à les mettre en
oeuvre
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5. Construire une école ouverte sur le
monde socio-économique
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1. Rassembler l'ensemble des personnels
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C. DÉVELOPPER UNE ÉVALUATION QUI
RESTE ENCORE PERFECTIBLE
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A. UNE ÉCOLE EN PROFONDE MUTATION
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I. LE PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2009 :
VERS UN ENRICHISSEMENT DE L'OFFRE ÉDUCATIVE À MOYENS QUASI
CONSTANTS
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DEUXIÈME PARTIE - LES RISQUES D'UNE
REVALORISATION À MARCHE FORCÉE
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I. EN AVAL, L'IMPÉRATIF DE SOUPLESSE ET DE
PRAGMATISME
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A. LE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN 3 ANS,
UN REMÈDE QUI POURRAIT SE RÉVELER PIRE QUE LE MAL
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1. A l'origine du baccalauréat
professionnel en 3 ans, un diagnostic indiscutable
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2. Des expérimentations aux
résultats en demi-teinte
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3. Une généralisation hâtive,
un accompagnement pédagogique incertain
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4. Un risque d'abaissement du niveau de
qualification global
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5. Au total, une opportunité pour certains
élèves, un risque d'échec pour les autres et un mixage des
effectifs qui reste loin d'être assuré
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1. A l'origine du baccalauréat
professionnel en 3 ans, un diagnostic indiscutable
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B. LA REVALORISATION DES CARRIÈRES DES
PROFESSEURS DE LYCÉE PROFESSIONNEL, UNE NÉCESSITÉ À
LAQUELLE NE RÉPONDENT ENCORE QUE DE TIMIDES AVANCÉES
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C. LA PROMOTION DE L'APPRENTISSAGE NE PEUT SE
SUBSTITUER À UNE RÉFLEXION SUR L'ÉVOLUTION DE LA VOIE
SCOLAIRE
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1. Les diplômés de l'enseignement
professionnel sous statut scolaire s'insèrent moins bien à court
terme que les apprentis, mais l'écart se réduit avec le temps
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2. Les taux de réussite aux examens restent
encore très inférieurs pour les élèves de
l'apprentissage
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3. L'apprentissage est d'autant plus fécond
qu'il intervient en fin de parcours, avec un niveau élevé de
connaissances générales
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4. Entre panacée et renoncement, construire
une image juste de l'apprentissage
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1. Les diplômés de l'enseignement
professionnel sous statut scolaire s'insèrent moins bien à court
terme que les apprentis, mais l'écart se réduit avec le temps
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A. LE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN 3 ANS,
UN REMÈDE QUI POURRAIT SE RÉVELER PIRE QUE LE MAL
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II. EN AMONT, L'ORIENTATION DOIT DEVENIR LA
PRIORITÉ AU SEIN D'UN COLLÈGE UNIQUE QUI RESTE POUR L'HEURE UN
COLLÈGE GÉNÉRAL
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A. UNE ORIENTATION VERS L'ENSEIGNEMENT
PROFESSIONNEL QUI N'EST JAMAIS RÉELLEMENT PRÉPARÉE
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1. Des enseignements essentiellement
généraux
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2. Un parcours de découverte des
métiers et des formations fort peu innovant
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3. Un stage d'observation très largement
formel
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4. Un enseignement de découverte
professionnelle qui joue trop souvent le rôle d'une
présélection
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5. Un impératif d'orientation qui n'est de
la compétence de personne
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1. Des enseignements essentiellement
généraux
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B. FAIRE DE L'ORIENTATION L'OBJECTIF CENTRAL DE
L'ORGANISATION DES ÉTUDES AU COLLÈGE
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1. Attribuer à un adulte
référent la responsabilité première en
matière d'orientation
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2. Pérenniser le corps des conseillers
d'orientation-psychologues, à présent menacé de
disparition
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3. Mutualiser les stages d'observation
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4. Élargir la découverte
professionnelle « 3 heures » pour en faire l'outil d'une
ouverture aux métiers tout au long du premier cycle secondaire
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1. Attribuer à un adulte
référent la responsabilité première en
matière d'orientation
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A. UNE ORIENTATION VERS L'ENSEIGNEMENT
PROFESSIONNEL QUI N'EST JAMAIS RÉELLEMENT PRÉPARÉE
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I. EN AVAL, L'IMPÉRATIF DE SOUPLESSE ET DE
PRAGMATISME
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TROISIÈME PARTIE - LE BUDGET DE
L'ENSEIGNEMENT AGRICOLE POUR 2009 : REFUSER LA PÉNURIE
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I. UN BUDGET EN TRÈS LÉGÈRE
PROGRESSION QUI NE PERMETTRA PAS DE RÉPONDRE AUX BESOINS
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A. UN BUDGET QUI N'EST À LA HAUTEUR NI DES
ATTENTES NI DES BESOINS
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1. Une très faible croissance
budgétaire attendue en 2008 et un plafond d'emplois qui poursuit sa
baisse
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2. Des suppressions d'emplois qui se traduisent
par une forte réduction de la masse salariale du programme
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3. Des réductions d'emplois qui se
poursuivent à un rythme insoutenable dans l'enseignement public
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4. Des engagements à l'endroit de
l'enseignement privé du temps plein qui ne sont toujours pas tenus
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5. Un enseignement privé du rythme
approprié qui continue à supporter l'essentiel des mesures
d'économie en exécution
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6. Une gestion budgétaire qui doit
être revue en profondeur
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1. Une très faible croissance
budgétaire attendue en 2008 et un plafond d'emplois qui poursuit sa
baisse
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B. UN PROJET DE LOI DE FINANCES OÙ
PRÉVALENT DES DÉSÉQUILIBRES ENTRE ENSEIGNEMENT AGRICOLE ET
ÉDUCATION NATIONALE
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1. Un budget en nette progression dans
l'éducation nationale
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2. Un taux de remplacement des départs
à la retraite de personnels administratifs plus favorable dans
l'éducation nationale
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3. Des gisements de productivité
déjà largement exploités dans l'enseignement agricole
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4. Une logique de rigueur budgétaire qui
contient le développement de l'enseignement agricole
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1. Un budget en nette progression dans
l'éducation nationale
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A. UN BUDGET QUI N'EST À LA HAUTEUR NI DES
ATTENTES NI DES BESOINS
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II. L'ENSEIGNEMENT AGRICOLE, UNE EXCEPTION
REMARQUABLE QUI MÉRITE D'ÊTRE RENFORCÉE
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I. UN BUDGET EN TRÈS LÉGÈRE
PROGRESSION QUI NE PERMETTRA PAS DE RÉPONDRE AUX BESOINS
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EXAMEN EN COMMISSION
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ANNEXE 1 - LISTE DES PERSONNES
AUDITIONNÉES