Calvel dresse un état des lieux
« Le terrein sur lequel les Chartreux avaient élevé leurs pépinières, n’existait qu’en partie. On avait morcelé ce vaste enclos, dont une partie a été réunie au jardin du Luxembourg, et le reste avait été vendu, pour construire des maisons, ou former une rue : ce qui restait n’offrait en très grande partie, que des fondements d’une église, d’un cloître immense, des cuisines, des maisons, des masures, et partout des ruines. L’extrémité du terrein ne présentait et ne présente encore momentanément, que des hauteurs, des bas-fonds et des inégalités considérables. »