Préférant l’ordre à l’aventure, Victor Hugo défend la République contre toutes les menées qui pourraient porter atteinte à ses fondements ou à la fraternité nationale.
" La République est une idée, la République est un principe, la République est un droit. La République est l’incarnation même du progrès. "
Choses vues (18 juillet 1851)
" La République affirme le droit et impose le devoir. "
Choses vues (7 juin 1884)
Il est ainsi partisan du suffrage universel, du bicamérisme et défenseur vigilant de la légitimité institutionnelle, notamment lors de la crise du 16 mai 1877. Après les déchirements de la Commune, il milite pour l’amnistie, instrument nécessaire de la réconciliation nationale.