Projet de loi relatif à l’orientation et à la réussite des étudiants
Article 1er
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I. – L’article L. 612‑3 du code de l’éducation est ainsi modifié :
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2° Les trois premiers alinéas sont remplacés par seize alinéas ainsi rédigés :
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« I. – Le premier cycle est ouvert à tous les titulaires du baccalauréat et à ceux qui ont obtenu l’équivalence ou la dispense
de ce grade en justifiant d’une qualification ou d’une expérience jugées suffisantes conformément à l’article L. 613‑5. Afin
de favoriser la réussite de tous les étudiants, des dispositifs d’accompagnement pédagogique et des parcours de formation
personnalisés tenant compte de la diversité et des spécificités des publics étudiants accueillis sont mis en place au cours
du premier cycle par les établissements dispensant une formation d’enseignement supérieur.
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« L’inscription dans une formation du premier cycle dispensée par un établissement public est précédée d’une procédure nationale
de préinscription qui permet aux candidats de bénéficier d’un dispositif d’information et d’orientation qui, dans le prolongement
de celui proposé au cours de la scolarité du second degré, est mis en place par les établissements d’enseignement supérieur
avec la participation des enseignants, enseignants‑chercheurs et personnels d’orientation. Au cours de cette procédure, les
caractéristiques de chaque formation sont portées à la connaissance des candidats ; elles font l’objet d’un cadrage national
fixé par arrêté du ministre chargé de l’enseignement supérieur. L’inscription est prononcée par le président ou le directeur
de l’établissement ou, dans le cas prévu au VII du présent article, par l’autorité académique.
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« L’inscription peut, compte tenu, d’une part, des caractéristiques de la formation et, d’autre part, de l’appréciation portée
sur l’acquis de la formation antérieure du candidat ainsi que sur ses compétences, être subordonnée à l’acceptation, par ce
dernier, du bénéfice des dispositifs d’accompagnement pédagogique ou du parcours de formation personnalisé proposés par l’établissement
pour favoriser sa réussite.
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« I
bis
(nouveau)
. – La communication, en application des dispositions du code des relations entre le public et l’administration, du code source
des traitements automatisés utilisés pour le fonctionnement de la plateforme mise en place dans le cadre de la procédure nationale
de préinscription prévue au I s’accompagne de la communication du cahier des charges présenté de manière synthétique et de
l’algorithme du traitement.
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« II. – Les capacités d’accueil des formations du premier cycle de l’enseignement supérieur des établissements relevant des
ministres chargés de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur sont arrêtées chaque année par l’autorité académique
après proposition de chaque établissement.
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« III. – Pour l’accès aux formations autres que celles prévues aux V et VI, lorsque le nombre de candidatures excède les capacités
d’accueil d’une formation, les inscriptions sont prononcées par le président ou le directeur de l’établissement dans la limite
des capacités d’accueil, au regard de la cohérence entre, d’une part, le projet de formation du candidat, les acquis de sa
formation antérieure et ses compétences et, d’autre part, les caractéristiques de la formation.
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« IV. – Pour l’accès aux formations autres que celles mentionnées aux V et VI, lorsque le nombre de candidatures excède les
capacités d’accueil d’une formation, l’autorité académique fixe un pourcentage minimal de bacheliers retenus bénéficiaires
d’une bourse nationale de lycée, en fonction du rapport entre le nombre de ces bacheliers boursiers candidats à l’accès à
cette formation et le nombre total de demandes d’inscription dans cette formation enregistrées dans le cadre de la procédure
de préinscription prévue au deuxième alinéa du I.
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« Pour l’accès à ces mêmes formations et compte tenu du nombre de candidats à ces formations résidant dans l’académie, l’autorité
académique fixe également, afin de faciliter l’accès des bacheliers qui le souhaitent aux formations d’enseignement supérieur
situées dans l’académie où ils résident, un pourcentage maximal de bacheliers retenus résidant dans une académie autre que
celle dans laquelle est situé l’établissement. Pour l’application du présent alinéa, les candidats ressortissants français
ou ressortissants d’un État membre de l’Union européenne qui sont établis hors de France, les candidats préparant ou ayant
obtenu le baccalauréat français dans un centre d’examen à l’étranger et les candidats qui souhaitent accéder à une formation
ou à une première année commune aux études de santé qui n’est pas dispensée dans leur académie de résidence sont assimilés
à des candidats résidant dans l’académie où se situe la formation à laquelle ils présentent leur candidature.
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« Les pourcentages prévus aux premier et deuxième alinéas du présent IV sont fixés en concertation avec les présidents d’université
concernés. Seule l’obligation de respecter le pourcentage minimal de bacheliers boursiers retenus peut conduire à déroger
au pourcentage maximal de bacheliers retenus résidant dans une autre académie.
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« Pour les formations dont le bassin de recrutement diffère de l’académie, le ministre chargé de l’enseignement supérieur
détermine par arrêté la zone géographique de résidence des candidats prise en compte en lieu et place de l’académie pour l’établissement
du pourcentage maximal prévu au deuxième alinéa du présent IV.
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« V. – Une sélection peut être opérée, selon des modalités fixées par le ministre chargé de l’enseignement supérieur, pour
l’accès aux sections de techniciens supérieurs, instituts, écoles et préparations à celles‑ci, grands établissements au sens
du titre I
er
du livre VII et tous établissements où l’admission est subordonnée à un concours national ou à un concours de recrutement
de la fonction publique.
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« Pour l’accès aux formations mentionnées au présent V, l’autorité académique fixe un pourcentage minimal de bacheliers retenus
bénéficiaires d’une bourse nationale de lycée.
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« VI. – En tenant compte de la spécialité du diplôme préparé et des demandes enregistrées dans le cadre de la procédure de
préinscription prévue au deuxième alinéa du I, l’autorité académique prévoit, pour l’accès aux sections de techniciens supérieurs
et aux instituts universitaires de technologie, respectivement un pourcentage minimal de bacheliers professionnels retenus
et un pourcentage minimal de bacheliers technologiques retenus ainsi que les modalités permettant de garantir la cohérence
entre les acquis de la formation antérieure du candidat et les caractéristiques de la formation demandée. Ces pourcentages
sont fixés en concertation avec les présidents d’université, les directeurs des instituts universitaires de technologie, les
directeurs des centres de formation d’apprentis et les proviseurs des lycées ayant des sections de techniciens supérieurs,
chacun pour ce qui le concerne.
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« VII. – L’autorité académique propose aux candidats domiciliés dans la région académique auxquels aucune proposition d’admission
n’a été faite dans le cadre de la procédure nationale de préinscription une inscription dans une formation en tenant compte,
d’une part, des caractéristiques de cette dernière et, d’autre part, des acquis de leur formation et de leurs compétences.
Cette proposition fait l’objet d’un dialogue préalable avec le candidat. Avec l’accord de ce dernier, l’autorité académique
prononce son inscription dans la formation proposée.
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« VII
bis
(nouveau)
. – Lorsque la situation d’un candidat justifie, eu égard à des circonstances exceptionnelles tenant à son état de santé,
à son handicap ou à ses charges de famille, son inscription dans un établissement situé dans une zone géographique déterminée,
l’autorité académique, saisie par ce candidat, peut procéder au réexamen de sa candidature. En tenant compte de la situation
particulière que l’intéressé fait valoir, des acquis de sa formation antérieure et de ses compétences ainsi que des caractéristiques
des formations, l’autorité académique prononce, avec son accord, son inscription dans une formation du premier cycle.
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« VII
ter
(nouveau)
. – Au mois de décembre de chaque année, le ministre chargé de l’enseignement supérieur rend public un bilan détaillé par
académie de la procédure nationale de préinscription dans le premier cycle de l’enseignement supérieur. » ;
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2°
bis
(nouveau)
Au début du quatrième alinéa, est ajoutée la mention : « VIII. – » ;
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3° Le dernier alinéa est supprimé.
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I
bis
A
(nouveau)
. – Le I
bis
de l’article L. 612‑3 du code de l’éducation entre en vigueur au plus tard six mois après la promulgation de la présente
loi.
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I
bis
(nouveau)
. – Après l’article L. 612‑3‑1 du code de l’éducation, il est inséré un article L. 612‑3‑2 ainsi rédigé :
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«
Art. L. 612‑3‑2
. – L’inscription dans une formation du premier cycle de l’enseignement supérieur dispensée par un établissement privé sous
contrat d’association ou par un établissement d’enseignement supérieur privé d’intérêt général ou l’inscription dans toute
formation conduisant à la délivrance d’un diplôme national de l’enseignement supérieur ou d’un titre ou diplôme de l’enseignement
supérieur délivré au nom de l’État dans les conditions prévues à l’article L. 335‑6 est précédée de la procédure nationale
de préinscription prévue au deuxième alinéa du I de l’article L. 612‑3. L’établissement définit, dans le respect du cadrage
national arrêté par le ministre chargé de l’enseignement supérieur, les caractéristiques de chaque formation, qui sont portées
à la connaissance des candidats au cours de cette procédure.
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« Lorsqu’un contrat conclu entre l’État et un établissement d’enseignement privé dispensant des formations initiales d’enseignement
supérieur prévoit l’application, à ces formations, de certaines des dispositions du même article L. 612‑3, le chef d’établissement
est associé, le cas échéant, aux dispositifs de concertation que ces dispositions prévoient. »
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I
ter
(nouveau)
. – Les établissements mentionnés au I de l’article L. 612‑3 et à l’article L. 612‑3‑2 du code de l’éducation dont les formations
du premier cycle de l’enseignement supérieur n’étaient pas répertoriées dans la procédure de préinscription en première année
d’une formation postbaccalauréat à la date de promulgation de la présente loi inscrivent ces formations dans la procédure
nationale de préinscription prévue au deuxième alinéa du I de l’article L. 612‑3 du même code au plus tard le 1
er
janvier 2020.
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II. – À la première phrase de l’article L. 621‑3 et du premier alinéa de l’article L. 650‑1 du code de l’éducation, la référence :
« troisième alinéa » est remplacée par la référence : « V ».
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Article 2
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L’article L. 612‑3‑1 du code de l’éducation est ainsi rédigé :
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«
Art. L. 612‑3‑1
. – Sur la base de leurs résultats au baccalauréat, les meilleurs élèves dans chaque série et spécialité de l’examen de chaque
lycée bénéficient, dans le cadre de la procédure de préinscription prévue au deuxième alinéa du I de l’article L. 612‑3, d’un
accès prioritaire à l’ensemble des formations de l’enseignement supérieur public, y compris celles où une sélection peut être
opérée. Le pourcentage des élèves bénéficiant de cet accès prioritaire est fixé par décret. L’autorité académique réserve
dans les formations de l’enseignement supérieur public un contingent minimal de places au bénéfice de ces bacheliers. »
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Article 2 bis A(nouveau)
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L’article L. 611‑5 du code de l’éducation est ainsi modifié :
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1° La première phrase du dernier alinéa est ainsi modifiée :
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a)
Après le mot : « académique », sont insérés les mots : « et au conseil d’administration » ;
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b)
Après la seconde occurrence du mot : « étudiants, », sont insérés les mots : « sur les actions mises en œuvre par l’établissement
pour préparer et favoriser l’insertion professionnelle des étudiants, » ;
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2° Il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :
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« Un rapport quinquennal est élaboré à l’appui de la préparation du contrat pluriannuel mentionné au cinquième alinéa de l’article L. 711‑1. »
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Article 2 bis(nouveau)
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Après le premier alinéa de l’article L. 612‑2 du code de l’éducation, il est inséré un 1° A ainsi rédigé :
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« 1° A De contribuer à l’émancipation sociale et culturelle des étudiants afin qu’ils soient en mesure de développer un libre
arbitre et une pensée critique leur permettant d’exercer leur citoyenneté de façon éclairée ; ».
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Article 2 ter(nouveau)
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L’article L. 613‑5 du code de l’éducation est complété par un alinéa ainsi rédigé :
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« Les universités mettent en œuvre un enseignement modulaire capitalisable. »
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Article 3
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I. – Le code de la sécurité sociale est ainsi modifié :
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1° L’article L. 160‑2 est ainsi modifié :
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a)
Au premier alinéa, après les mots : « les enfants », il est inséré le mot : « mineurs » ;
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b)
Le deuxième alinéa est ainsi rédigé :
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« Le statut d’ayant droit prend fin, à une date fixée par décret, l’année au cours de laquelle l’enfant atteint l’âge de sa
majorité. » ;
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c)
L’avant‑dernier alinéa est supprimé ;
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2° À la première phrase du deuxième alinéa de l’article L. 160‑17, la référence : « L. 381‑4, » est supprimée ;
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3° À la fin du 3° de l’article L. 160‑18, les mots : « ou entreprend des études le conduisant à relever du troisième alinéa
de l’article L. 160‑17 » sont supprimés ;
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4° L’intitulé du chapitre II du titre VI du livre I
er
est complété par les mots : « et à la prévention » ;
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4°
bis
A
(nouveau)
L’article L. 221‑3 est ainsi modifié :
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a)
Au cinquième alinéa, les mots : « De personnalités qualifiées » sont remplacés par les mots : « D’une personnalité qualifiée »
et le mot : « désignées » est remplacé par le mot : « désignée » ;
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b)
Après le même cinquième alinéa, il est inséré un 5° ainsi rédigé :
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« 5° Une personne représentant les associations d’étudiants mentionnées à l’article L. 811‑3 du code de l’éducation. » ;
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c)
À la première phrase du neuvième alinéa, les références : « deuxième, troisième et quatrième alinéas » sont remplacées par
les références : « 1°, 2°, 3° et 5° ci‑dessus » ;
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4°
bis
L’article L. 262‑2, qui devient l’article L. 162‑1‑12‑1, est ainsi modifié :
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a)
(nouveau)
À la première phrase, après le mot : « couverture », sont insérés les mots : « obligatoire et complémentaire » ;
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b)
Sont ajoutés trois alinéas ainsi rédigés :
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« Les organismes gestionnaires des régimes obligatoires assurent des actions de prévention et de pédagogie visant à améliorer
l’état de santé de leurs ressortissants âgés de seize à vingt‑cinq ans. Ces actions de prévention s’inscrivent dans un programme
annuel de prévention élaboré après concertation avec les représentants des associations d’étudiants mentionnées à l’article L. 811‑3
du code de l’éducation. Un bilan de ces actions sur l’année passée est présenté à l’occasion de ces concertations.
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« Les organismes de gestion des régimes obligatoires de sécurité sociale ainsi que les mutuelles mentionnées à l’article L. 111‑1
du code de la mutualité, les associations d’étudiants mentionnées à l’article L. 811‑3 du code de l’éducation et les associations
d’éducation à la santé peuvent être associés à la programmation ou l’organisation des actions mentionnées à l’article L. 841‑5
du même code lorsqu’elles ont pour but la prévention, l’éducation ou la promotion des comportements favorables à la santé
ou de développer l’accès des étudiants à des actes de dépistage et de vaccination. Dans les mêmes conditions, ils peuvent
également être associés aux actions qui sont coordonnées par les services universitaires de médecine préventive.
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« Les actions mentionnées au troisième alinéa du présent article s’inscrivent dans le cadre du programme annuel de prévention
mentionné au deuxième alinéa. » ;
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5° Au 1° du I de l’article L. 351‑14‑1, les mots : « , écoles et classes mentionnés à l’article L. 381‑4 » sont remplacés
par les mots : « d’enseignement supérieur, les écoles techniques supérieures, les grandes écoles et les classes des établissements
du second degré préparatoires à ces écoles ou dans lesquelles est dispensé un enseignement postbaccalauréat, qui relèvent
des catégories d’établissements d’enseignement supérieur définies par arrêté interministériel, » ;
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6° La section 3 du chapitre I
er
du titre VIII du livre III est abrogée ;
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8° Le 1° de l’article L. 643‑2 est ainsi rédigé :
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« 1° Les périodes d’études mentionnées au 1° de l’article L. 351‑14‑1, lorsque le régime d’assurance vieillesse de base des
professions libérales est le premier régime d’affiliation à l’assurance vieillesse après lesdites études ; »
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9° À la fin du 4° de l’article L. 722‑1, les mots : « lorsqu’ils ne bénéficient pas des dispositions de l’article L. 381‑4 »
sont supprimés ;
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10° Le 1° de l’article L. 723‑10‑3 est ainsi rédigé :
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« 1° Les périodes d’études mentionnées au 1° de l’article L. 351‑14‑1, lorsque le régime d’assurance vieillesse de base des
avocats est le premier régime d’affiliation à l’assurance vieillesse après lesdites études ; ».
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II. – Au 4° du I de l’article L. 111‑1 du code de la mutualité, la référence : « , L. 381‑8 » est supprimée.
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III. – Le premier alinéa de l’article L. 732‑27‑1 du code rural et de la pêche maritime est ainsi modifié :
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1° À la première phrase, les mots : « accomplies dans les établissements, écoles et classes mentionnés à l’article L. 381‑4 »
sont remplacés par les mots : « mentionnées au 1° de l’article L. 351‑14‑1 du code de la sécurité sociale » ;
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2° Les deux dernières phrases sont supprimées.
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IV. – L’article L. 832‑1 du code de l’éducation est ainsi rédigé :
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«
Art. L. 832‑1
. – Les étudiants bénéficient de la prise en charge de leurs frais de santé en cas de maladie ou de maternité dans les conditions
prévues aux articles L. 160‑1 à L. 160‑18 du code de la sécurité sociale. »
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V. – Au premier alinéa de l’article L. 9
bis
du code des pensions civiles et militaires de retraite, la référence : « à l’article L. 381‑4 » est remplacée par la référence :
« au 1° de l’article L. 351‑14‑1 ».
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VI. – Les I à V entrent en vigueur le 1
er
septembre 2018.
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1° Tant qu’elles ne viennent pas à remplir à d’autres titres les conditions les conduisant à être rattachées à d’autres organismes
pour la prise en charge de leurs frais de santé en cas de maladie ou de maternité, les personnes rattachées, au 31 août 2018,
en tant qu’étudiants, pour une telle prise en charge, aux organismes délégataires mentionnés aux deuxième et troisième alinéas
de l’article L. 160‑17 du code de la sécurité sociale, dans sa rédaction antérieure à la présente loi, le demeurent au plus
tard jusqu’aux dates mentionnées au 2° du présent article. À compter de ces dates, la prise en charge de leurs frais de santé
en cas de maladie ou de maternité est assurée par les organismes du régime général ;
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2° Sauf accord des parties sur des dates antérieures, il est mis fin au 31 août 2019 aux conventions et contrats conclus,
pour le service des prestations dues aux étudiants, en application du troisième alinéa du même article L. 160‑17, dans sa
rédaction antérieure à la présente loi.
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Les droits et obligations des organismes délégataires, pour le service des prestations dues aux étudiants, mentionnés aux
deuxième et troisième alinéas dudit article L. 160‑17, dans sa rédaction antérieure à la présente loi, y compris les contrats
de travail, qui sont afférents à la gestion leur ayant été confiée sont transférés de plein droit aux mêmes dates aux organismes
d’assurance maladie du régime général. Ces transferts ne donnent pas lieu à la perception de droits, impôts ou taxes de quelque
nature que ce soit.
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Le préjudice susceptible de résulter, pour les organismes délégataires, de l’application du présent 2° fait l’objet d’une
indemnité s’il présente un caractère anormal et spécial. Cette indemnité est fixée dans le cadre d’un constat établi à la
suite d’une procédure contradictoire. Les conditions et le montant de l’indemnité sont fixés par décret.
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VII
(nouveau)
. – Le Gouvernement remet au Parlement, au plus tard le 1
er
septembre 2021, un rapport présentant le bilan du nouveau dispositif du régime obligatoire de sécurité sociale pour les étudiants,
et notamment l’évaluation de la qualité de l’accueil et du service.
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Article 3 bis(nouveau)
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Dans un délai de six mois à compter de la publication de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur
l’accès aux soins des étudiants. Ce rapport porte notamment sur la couverture santé complémentaire des étudiants et les moyens
à mettre en œuvre pour l’améliorer.
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Article 4
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I. – L’article L. 831‑3 du code de l’éducation est ainsi modifié :
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1° Au début du premier alinéa, les mots : « L’avant‑dernier » sont remplacés par les mots : « Le dernier » ;
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2° Le second alinéa est supprimé.
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II. – Le chapitre unique du titre IV du livre VIII de la troisième partie du code de l’éducation est complété par un article L. 841‑5
ainsi rédigé :
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«
Art. L. 841‑5
. – I. – Une contribution destinée à favoriser l’accueil et l’accompagnement social, sanitaire, culturel et sportif des étudiants
et à conforter les actions de prévention et d’éducation à la santé réalisées à leur intention est instituée au profit des
établissements publics d’enseignement supérieur, des établissements mentionnés aux articles L. 443‑1 et L. 753‑1 dispensant
des formations initiales d’enseignement supérieur, des établissements d’enseignement supérieur privés d’intérêt général et
des centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires.
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« Les associations d’étudiants mentionnées à l’article L. 811‑3 et, dans chaque établissement, les représentants des étudiants
au conseil d’administration et dans les autres conseils, lorsque les établissements en sont dotés, participent à la programmation
des actions financées au titre de cet accompagnement.
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« II. – La contribution est due chaque année par les étudiants lors de leur inscription à une formation initiale dans un établissement
d’enseignement supérieur.
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« Sont exonérés du versement de cette contribution les étudiants bénéficiant, pour l’année universitaire au titre de laquelle
la contribution est due, d’une bourse de l’enseignement supérieur en application des articles L. 821‑1 à L. 821‑3. Sont également
exonérés les étudiants bénéficiant du statut de réfugié ou de la protection subsidiaire ou étant enregistrés par l’autorité
compétente en qualité de demandeur d’asile et disposant du droit de se maintenir sur le territoire dans les conditions prévues
aux articles L. 742‑1 et L. 743‑1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.
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« Lorsque l’étudiant s’inscrit au titre d’une même année universitaire à plusieurs formations, la contribution n’est due que
lors de la première inscription.
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« III. – Le montant annuel de cette contribution est fixé à 90 €. Ce montant est indexé chaque année universitaire sur l’indice
des prix à la consommation hors tabac constaté par l’Institut national de la statistique et des études économiques pour la
France pour l’année civile précédente. Il est arrondi à l’euro le plus proche ; la fraction d’euro égale à 0,50 est comptée
pour 1.
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« V. – La contribution est acquittée auprès du centre régional des œuvres universitaires et scolaires dans le ressort territorial
duquel l’établissement a son siège.
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« Elle est liquidée et recouvrée par l’agent comptable du centre régional des œuvres universitaires et scolaires selon les
règles en matière de recouvrement des créances des établissements publics.
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« VI. – Le produit de la contribution est affecté au centre régional des œuvres universitaires et scolaires auprès duquel
elle est acquittée.
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« Le centre régional des œuvres universitaires et scolaires reverse à chaque établissement d’enseignement mentionné au premier
alinéa du I une part de la contribution acquittée par chaque étudiant qui y est inscrit.
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« Un décret fixe cette part pour les différentes catégories d’établissements d’enseignement mentionnés au même premier alinéa,
en fonction des effectifs et du nombre de sites d’implantation de ces établissements. »
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III. – Le II entre en vigueur le 1
er
juillet 2018.
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Article 5
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Le chapitre I
er
du titre I
er
du livre VI de la troisième partie du code de l’éducation est complété par un article L. 611‑12 ainsi rédigé :
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«
Art. L. 611‑12
. – Tout étudiant peut, sur sa demande et avec l’accord du président ou directeur de l’établissement dans lequel il est inscrit,
suspendre temporairement, pour une durée maximale d’une année universitaire, sa présence dans l’établissement pour exercer
d’autres activités lui permettant d’acquérir des compétences qui seront utiles pour sa formation ou de favoriser un projet
personnel ou professionnel.
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« Une convention conclue entre l’étudiant et l’établissement dans lequel il est inscrit définit notamment l’objet et les finalités
de cette suspension de formation et les modalités de restitution de l’expérience acquise dans ce cadre par l’étudiant. »
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Article 5 bis(nouveau)
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L’article L. 611‑7 du code de l’éducation est ainsi modifié :
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1° Après le mot « informent », sont insérés les mots : « chaque année » ;
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2° Sont ajoutés les mots : « et de la possibilité de bénéficier des dispositions de l’article L. 611‑9 ».
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Article 5 ter(nouveau)
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La troisième phrase de l’avant‑dernier alinéa de l’article L. 613‑1 du code l’éducation est complétée par les mots : « ou
en état de grossesse ».
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Article 6
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I. – Au premier alinéa de l’article L. 681‑1 et aux articles L. 683‑1 et L. 684‑1 du code de l’éducation, la référence : « loi n° 2016‑1828
du 23 décembre 2016 portant adaptation du deuxième cycle de l’enseignement supérieur français au système Licence‑Master‑Doctorat »
est remplacée par la référence : « loi n° du relative à l’orientation et à la réussite des étudiants » et, après
la référence : « L. 611‑8 », est insérée la référence : « , L. 611‑12 ».
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II. – Au dernier alinéa de l’article L. 681‑1 du code de l’éducation, les références : « des deuxième et troisième alinéas
de l’article L. 612‑3 » sont remplacées par les références : « du deuxième alinéa du I et des II, IV, VI et VII de l’article L. 612‑3 »
et les mots : « au recteur d’académie, chancelier des universités » sont remplacés par les mots : « à l’autorité académique ».
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III. – Au troisième alinéa de l’article L. 683‑2 du code de l’éducation, les références : « cinquième et sixième alinéas »
sont remplacées par les références : « deuxième et troisième alinéas du VIII ».
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IV. – L’article L. 684‑2 du code de l’éducation est ainsi modifié :
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1°
(nouveau)
Après le deuxième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
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« Pour l’accès aux formations d’enseignement supérieur en Nouvelle‑Calédonie, la procédure de préinscription prévue au I de
l’article L. 612‑3 est adaptée afin de respecter le calendrier universitaire propre à la Nouvelle‑Calédonie. » ;
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2° À l’avant‑dernier alinéa, les mots : « prévues aux » sont remplacés par les mots : « dévolues à l’autorité académique et
au recteur chancelier par les ».
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Article 7(nouveau)
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Avant le 31 octobre 2020, le Gouvernement remet au Parlement un rapport présentant le bilan de la présente loi.
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